Il nous arrive souvent de lier certaines situations à d'autres comme s'il s'agissait de "cause à effet".
Un jour, j'étais en voiture avec quelqu'un. À Bouira mon compagnon m'a demandé d'arrêter pour la prière du "Dhohr". Comme nous étions préssés d'arriver à Alger (Pour un enterrement prévue près Salat El Âsr), j'ai reffusé de m'arrêter. A l'entrée d'Alger nous sommes tombés sur un bouchon monstre. C'était tellement lent que les gens éteingnaient leurs moteurs entre chaque avancées de quelques metres pour économiser du carburant.
Après une demi-heure de nervosité, de vociferations, baves et de sueur, mon compagon, croyant me calmer avec une "p'tite leçon de morale me dit: (c'est traduit en grosso modo)
- "Calme toi, calme toi !! Tu sais pourquoi nous sommes là, dans cet encombrement ?? Est-ce que tu t'es posé la question ??
Ma réponse sur la mauvaise qualité de l'autoroute qui necéssite des réparation quotidienne, ne l'avait convaincu.
- "Non, non, non !! C'est parce que tu es préssé. C'est parce que tu as voulu aller contre la volonté de Dieu. Si tu t'es arrêté à Bouira et fait ta prière de "Dhohr", nous ne serions, peut-être, pas dans cette situation"
Puis il s'est étalé dans la récitation des "Ayat" et des "Hadith" en rapport avec notre situation.
Quand il s'est tû, j'ai essayé de lui répondre en dépit du bouillonnement de ma tête :
- "Ok !! Soit !! Admettons !! Si je comprends bien, nous sommes ici au milieu de l'embouteillage parce que nous avons manqué la prière du "Dhohr". Donc, les gens qui sont derrère nous doivent avoir raté le "Sobh" et le "Dhohr". Si je comprends bien, Dieu a rassemblé ici dans cet embouteillage, tous les gens qui ne se sont pas arrêtés a Bouira pour faire la prière du "Dhohr". Autrement dit, GHOUL a ordonné aux chinois de "bacler" le travail uniquement pour punir ceux qui ne s'arrêteraient pas à Bouira pour la prière du "Dhohr".
Voyant des enfants dans les voitures autour de nous, je me suis tû de peur que ma tête finirait par exploser et faire un dégat.
Un jour, j'étais en voiture avec quelqu'un. À Bouira mon compagnon m'a demandé d'arrêter pour la prière du "Dhohr". Comme nous étions préssés d'arriver à Alger (Pour un enterrement prévue près Salat El Âsr), j'ai reffusé de m'arrêter. A l'entrée d'Alger nous sommes tombés sur un bouchon monstre. C'était tellement lent que les gens éteingnaient leurs moteurs entre chaque avancées de quelques metres pour économiser du carburant.
Après une demi-heure de nervosité, de vociferations, baves et de sueur, mon compagon, croyant me calmer avec une "p'tite leçon de morale me dit: (c'est traduit en grosso modo)
- "Calme toi, calme toi !! Tu sais pourquoi nous sommes là, dans cet encombrement ?? Est-ce que tu t'es posé la question ??
Ma réponse sur la mauvaise qualité de l'autoroute qui necéssite des réparation quotidienne, ne l'avait convaincu.
- "Non, non, non !! C'est parce que tu es préssé. C'est parce que tu as voulu aller contre la volonté de Dieu. Si tu t'es arrêté à Bouira et fait ta prière de "Dhohr", nous ne serions, peut-être, pas dans cette situation"
Puis il s'est étalé dans la récitation des "Ayat" et des "Hadith" en rapport avec notre situation.
Quand il s'est tû, j'ai essayé de lui répondre en dépit du bouillonnement de ma tête :
- "Ok !! Soit !! Admettons !! Si je comprends bien, nous sommes ici au milieu de l'embouteillage parce que nous avons manqué la prière du "Dhohr". Donc, les gens qui sont derrère nous doivent avoir raté le "Sobh" et le "Dhohr". Si je comprends bien, Dieu a rassemblé ici dans cet embouteillage, tous les gens qui ne se sont pas arrêtés a Bouira pour faire la prière du "Dhohr". Autrement dit, GHOUL a ordonné aux chinois de "bacler" le travail uniquement pour punir ceux qui ne s'arrêteraient pas à Bouira pour la prière du "Dhohr".
Voyant des enfants dans les voitures autour de nous, je me suis tû de peur que ma tête finirait par exploser et faire un dégat.
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