Mokrane Ait Larbi a choisi la date symbolique du 20 août pour lancer un nouvel appel aux autorités pour libérer les personnes arrêtées pour port du drapeau Amazigh lors des journées de manifestations.
« Le drapeau Amazigh est un symbole de la culture et de l’identité Amazigh, millénaire et moderne et ne saurait être mis en opposition ou en concurrence avec le drapeau national qui est symbole de l’unité et des souverainetés nationales », écrit-il dans une déclaration.
En bon avocat il s’est attelé à démonter, articles de la Constitution à l’appui que cette arrestation ne repose sur aucun fondement juridique ; ce qui a d’ailleurs contraint l’autorité judicaire à indiquer le motif d’ « atteinte à l’unité nationale ».
La libération des détenus et la réponse aux autres revendications du Hirak pourraient constituer « le point de départ au dénouement de la crise », écrit le militant des Droits humains pour qui « la prise de décisions courageuses et rapides va tendre vers l’apaisement et ne saurait être un signe de faiblesse, comme certains le laissent entendre ».
Bien au contraire, ajoute-t-il, ces mesures courageuses « traduisent la force de chaque Etat de répondre aux revendications légitimes et sa capacité à régler les crises avec des moyens civilisés ».
A1
20 Août 2019
« Le drapeau Amazigh est un symbole de la culture et de l’identité Amazigh, millénaire et moderne et ne saurait être mis en opposition ou en concurrence avec le drapeau national qui est symbole de l’unité et des souverainetés nationales », écrit-il dans une déclaration.
En bon avocat il s’est attelé à démonter, articles de la Constitution à l’appui que cette arrestation ne repose sur aucun fondement juridique ; ce qui a d’ailleurs contraint l’autorité judicaire à indiquer le motif d’ « atteinte à l’unité nationale ».
La libération des détenus et la réponse aux autres revendications du Hirak pourraient constituer « le point de départ au dénouement de la crise », écrit le militant des Droits humains pour qui « la prise de décisions courageuses et rapides va tendre vers l’apaisement et ne saurait être un signe de faiblesse, comme certains le laissent entendre ».
Bien au contraire, ajoute-t-il, ces mesures courageuses « traduisent la force de chaque Etat de répondre aux revendications légitimes et sa capacité à régler les crises avec des moyens civilisés ».
A1
20 Août 2019
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