Et que dire des rifains condamnés à 20 ans de prison pour avoir brandi- entre autres- le drapeau amazigh?
- Cette Algérie où il ne fait pas bon être amazigh
Un manifestant a été interpellé lors du 26e mardi des marches estudiantines anti-régime, qui ont eu lieu hier, 20 août à Alger. Motif: avoir brandi le drapeau amazigh!
La bêtise galonnée en Algérie ne porte vraiment pas l’amazigh dans son coeur. Il suffit de brandir un tissu aux couleurs de l’amazigh, pourtant partie intégrante de l’identité algérienne, pour se voir interpeller, embarquer, rouer de coups, voire jeté en taule!
Ainsi en a décidé le nouveau satrape d’Alger, le Général Ahmed Gaïd Salah, auquel rien qu’un morceau de tissu frappé aux couleurs amazighes semble faire peur, si peur qu’il a pénalisé jusque son port dans les rues algériennes!
Ce Général inculte, brute et sous-instruit - à peine a-t-il décroché un Certificat d’études primaires (CEP!), peut-il pour autant décider d’un seul claquement de doigt de la destruction de l’identité d’une population dont le seul «délit» est de revendiquer une langue, une culture et une civilisation dont les racines trempent au plus profond de l’Algérie?
Il est curieux de constater que parmi les pays restés sous la chape de la dictature militaire, l’Algérie est l'un des rares à continuer d’ignorer les droits de sa population, à leur tête l’autodétermination, celle-là même que la bande d'hypocrites terrée au luxueux Club des Pins, à Alger, continue de revendiquer au nom des séquestrés de Lahmada-Tindouf!
Quelle menace pourrait bien représenter le port du drapeau amazigh pour des apparatchiks bons pour le musée de l’histoire? À l’évidence, aucun. À part, peut-être, que cet emblème ou autre n'entre pas dans le schéma étriqué de leur pensée unique et «inique», héritée de la pourtant défunte époque stalinienne-.
Le 360.ma
- Cette Algérie où il ne fait pas bon être amazigh
Un manifestant a été interpellé lors du 26e mardi des marches estudiantines anti-régime, qui ont eu lieu hier, 20 août à Alger. Motif: avoir brandi le drapeau amazigh!
La bêtise galonnée en Algérie ne porte vraiment pas l’amazigh dans son coeur. Il suffit de brandir un tissu aux couleurs de l’amazigh, pourtant partie intégrante de l’identité algérienne, pour se voir interpeller, embarquer, rouer de coups, voire jeté en taule!
Ainsi en a décidé le nouveau satrape d’Alger, le Général Ahmed Gaïd Salah, auquel rien qu’un morceau de tissu frappé aux couleurs amazighes semble faire peur, si peur qu’il a pénalisé jusque son port dans les rues algériennes!
Ce Général inculte, brute et sous-instruit - à peine a-t-il décroché un Certificat d’études primaires (CEP!), peut-il pour autant décider d’un seul claquement de doigt de la destruction de l’identité d’une population dont le seul «délit» est de revendiquer une langue, une culture et une civilisation dont les racines trempent au plus profond de l’Algérie?
Il est curieux de constater que parmi les pays restés sous la chape de la dictature militaire, l’Algérie est l'un des rares à continuer d’ignorer les droits de sa population, à leur tête l’autodétermination, celle-là même que la bande d'hypocrites terrée au luxueux Club des Pins, à Alger, continue de revendiquer au nom des séquestrés de Lahmada-Tindouf!
Quelle menace pourrait bien représenter le port du drapeau amazigh pour des apparatchiks bons pour le musée de l’histoire? À l’évidence, aucun. À part, peut-être, que cet emblème ou autre n'entre pas dans le schéma étriqué de leur pensée unique et «inique», héritée de la pourtant défunte époque stalinienne-.
Le 360.ma
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