Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Le Polisario répond par une tribune à l’article du Wall Street Journal Faute de compter sur ses traditionnels soutiens

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Le Polisario répond par une tribune à l’article du Wall Street Journal Faute de compter sur ses traditionnels soutiens

    Le Polisario répond par une tribune à l’article du Wall Street Journal

    Faute de compter sur ses traditionnels soutiens américains pour répondre à l’article du Wall Street Journal, le Polisario a fini par se résoudre à confier cette mission à son représentant en Australie et Nouvelle Zélande.



    Après une semaine de colère et une sortie peu convaincante de son représentant aux Nations unies, le Polisario a fini par répondre via une tribune à l’article du journaliste Dion Nissenbaum travaillant au quotidien Wall Street Journal ayant porté sur le rejet des Etats-Unis de l’option de l’indépendance du Sahara occidental.
    Alors qu’étrangement le site du Wall Street Journal ne mentionne pas le nom de l’auteur de la lettre publiée lundi soir, l’agence SPS précisera, le mardi 20 août, qu’elle est signée Mohamed Kamal Fadel, le représentant du Front en Australie et Nouvelle Zélande.
    L’auteur s’emporte contre «les fausses affirmations véhiculées par l'article de Dion Nissenbaum» qualifiées égalemment de «trompeuses». Il plaide, en revanche, pour le droit des Sahraouis à «être autorisés à décider de leur avenir par référendum».
    Les soutiens américains du Polisario se font discrets
    Fadel estime que «toute solution mal conçue ou à moitié préparée pourrait attiser le mécontentement et conduire à la reprise des hostilités». Des menaces souvent agitées par les hauts cadres du Front, dont la dernière en date portait la signature de Brahim Ghali. Les bruits de bottes sont souvent suivis de messages d’apaisement comme à Boumerdes par le même Brahim Ghali.
    Dans sa tribune, le représentant du Polisario accuse par ailleurs, le royaume «d'utiliser la carte de la peur pour maintenir l'occupation illégale de la dernière colonie en Afrique».
    «Il faut trouver rapidement une solution juste et durable à la question du Sahara occidental ce qui contribuera à la stabilité de la région et à la protection de toute menace à la paix dans le monde.»
    Mohamed Kamal Fadel

    La signature de Fadel de cette tribune n’est pas sans soulever des interrogations. D’habitude ce sont des lobbyistes américains qui se chargent de remplir cette mission. C’est notamment le cas de Mme Suzanne Scholte, présidente de l’ONG «Defense Forum Foundation», très connue pour ses nombreuses interventions en faveur du Polisario dans les médias outre Atlantique ou encore Kerry Kennedy, présidente du Centre Robert Kennedy pour la justice et des Droits de l’Homme.
    Il faudra tomber par hasard sur un tweet pour apprendre que Kamal Fadel avait bien un co-signataire américain ; l’agence de presse du Polisario l’ayant curieusement passé sous silence. En effet, c’est Joey Huddleston, un professeur assistant américain, qui révélera l’information, confirmée par Kamal fadel par un retweet.
    Une signature qui n’est sans doute pas à la hauteur des enjeux d’influence aux yeux d’un Polisario sensiblement agacé par l’article du journaliste du Wall Street Journal citant des sources à Washington révélant une prise de distance avec l’option référendaire pour le Sahara occidental.






    ya biladi

  • #2
    Chkoupi BIBI dénigre sans voir la réalité sur le terrain , combien casque le masque pour des articles pour dénigrer le polisario
    A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

    Commentaire


    • #3
      ......
      Dernière modification par Anzoul, 21 août 2019, 17h59.

      Commentaire


      • #4
        La signature de Fadel de cette tribune n’est pas sans soulever des interrogations. D’habitude ce sont des lobbyistes américains qui se chargent de remplir cette mission. C’est notamment le cas de Mme Suzanne Scholte, présidente de l’ONG «Defense Forum Foundation», très connue pour ses nombreuses interventions en faveur du Polisario dans les médias outre Atlantique ou encore Kerry Kennedy, présidente du Centre Robert Kennedy pour la justice et des Droits de l’Homme.
        parceque la cagnotte est vide.

        l'gouar marchent avec leflouss,
        si t'as pas de flouss klamek messouss..

        Commentaire


        • #5
          interessant article du journal el ligne le Desk

          21.08.2019 à 11 H 28 • Mis à jour le 21.08.2019 à 11 H 28
          Par Issam El Yadari
          Sahara
          Le Polisario réplique à un article du Wall Street Journal qui lui est défavorable


          Un soldat du Polisario en faction sur la route menant de Guerguerat à la frontière mauritanienne arborant le macaron de la ‘RASD’ le 18 octobre 2016. JOHAN PERSSON/ KONTINENT

          Des officiels de l’administration Trump cités dans un article du Wall Street Journal daté du 11 août « ont clairement fait savoir que Washington ne soutiendrait pas un plan visant à créer une nouvel État en Afrique ».

          Un point de vue qui a causé l’ire du Polisario, qui en réplique avait dans un premier temps contesté, par l’intermédiaire de Sidi Mohamed Ammar, son représentant à New York, le fait que celle-ci soit en ligne avec la position officielle de Washington.


          Le Front a par la suite mobilisé Mohamed Kamal Fadel, son représentant en Australie et Nouvelle Zélande et Joey Huddleston, un professeur assistant à la Seton Hall School of Diplomacy (New Jersey) connu pour ses positions pro-Polisario pour commettre une tribune libre le 19 août demandant à « laisser le peuple du Sahara s’exprimer ».

          « L’affirmation selon laquelle un Sahara occidental indépendant serait probablement instable et offrirait une base à l’Etat islamique est une conjecture erronée », écrivent ses auteurs, arguant qu’une solution conçue hors de l’option référendaire pourrait « attiser les tensions » et mener à une reprise des « hostilités ».


          Le Polisario, à travers ses porte-voix voient dans cet argument souvent avancé par Rabat, un épouvantail agité pour « faire peur ».


          ******** a relevé une certaine cacophonie entourant la publication de cette tribune non signée sur le Wall Street Journal. L’agence du Polisario (SPS) l’a d’abord attribuée à Mohamed Kamal Fadel qui l’a partagée sur Twitter avant que Joey Huddleston en réclame la copaternité, lui aussi à travers le réseau social. Ce que SPS puis l’agence officielle algérienne APS ont rapidement confirmé…
          Dernière modification par Anzoul, 21 août 2019, 18h29.

          Commentaire


          • #6
            toujours la presse marocaine écrit l inverse pour cacher la vérité à l opinion locale et internationale
            A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

            Commentaire


            • #7
              toujours la presse marocaine écrit l inverse pour cacher la vérité à l opinion locale et internationale
              Ce qui est évident nonobstant les écrits de la presse des uns et des autres,

              Le Sahara esr marocain par les faits et les gestes.

              C'est ce qui dérange Alger et Tindouf.

              Commentaire


              • #8
                Le Sahara esr marocain par les faits et les gestes.
                .

                Est ce que t es sérieux ???

                la diplomatie marocaine est aussi sérieuse à l ONU , UA et les ONG ??
                A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                Commentaire

                Chargement...
                X