Tweet
26 août 2019
L’Égypte, l’Afrique du Sud et le Rwanda, la « troïka » de l’Union africaine, de même que le Sénégal et le Burkina Faso, qui président respectivement le Nepad et le G5 Sahel, sont les représentants de l’Afrique au grand sommet des puissances mondiales.
Le thème général de l’ouverture du sommet est la « lutte contre les inégalités », un sujet qui concerne l’Afrique au premier plan, mais aussi autres thèmes abordés concernant le continent africain, notamment l’insécurité au Sahel.
La France particulièrement s’est exprimée à ce sujet à Biarritz, Elle souhaite faire débloquer le financement des forces de sécurité des États sahéliens, qui luttent contre les djihadistes. Effectivement, il s’agirait d’épauler les forces armées des pays membres du G5 Sahel, mais également leurs policiers et douaniers. Reste à savoir si la formule séduira le président Trump.
Concernant la question de transformer le G5 Sahel en mission des Nations unies, cela ne fait pas l’unanimité. En effet, plusieurs hésitent, notamment Washington, qui s’abstient à financer une énième mission onusienne en Afrique. Les États-Unis ont préféré jusqu’à maintenant négocier des accords militaires bilatéraux avec des États considérés comme fiables, à commencer par le Niger et le Burkina.
L’Égypte, l’Afrique du Sud et le Rwanda, la « troïka » de l’Union africaine, de même que le Sénégal et le Burkina Faso, qui président respectivement le Nepad et le G5 Sahel, sont les représentants de l’Afrique au grand sommet des puissances mondiales.
Le thème général de l’ouverture du sommet est la « lutte contre les inégalités », un sujet qui concerne l’Afrique au premier plan, mais aussi autres thèmes abordés concernant le continent africain, notamment l’insécurité au Sahel.
La France particulièrement s’est exprimée à ce sujet à Biarritz, Elle souhaite faire débloquer le financement des forces de sécurité des États sahéliens, qui luttent contre les djihadistes. Effectivement, il s’agirait d’épauler les forces armées des pays membres du G5 Sahel, mais également leurs policiers et douaniers. Reste à savoir si la formule séduira le président Trump.
Concernant la question de transformer le G5 Sahel en mission des Nations unies, cela ne fait pas l’unanimité. En effet, plusieurs hésitent, notamment Washington, qui s’abstient à financer une énième mission onusienne en Afrique. Les États-Unis ont préféré jusqu’à maintenant négocier des accords militaires bilatéraux avec des États considérés comme fiables, à commencer par le Niger et le Burkina.