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Sahara occidental : Le Polisario renforce ses bases au Panama

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  • Sahara occidental : Le Polisario renforce ses bases au Panama

    Le mois d'août de 2019 aura été cauchemardesque pour la dictature
    Marocaine. Car auparavant de s'être fate renvoyée à ses études par l'Union africaine envers le TICAD VII, elle (dictature marocaine) s'était déjà contrainte d'avaler une autre couleuvre par le Panama.

    - Pour faire face aux percées du Maroc sur le plan diplomatique, en Amérique latine, le Front Polisario continue de renforcer sa présence. Ainsi, après ses actions en Equateur et en Bolivie, le mouvement séparatiste vient de créer une «un groupe d'amitié interparlementaire» à l'Assemblée nationale du Panama.

    Selon l’agence de presse du Front, l’objectif de ce groupe d’amitié est de «réaffirmer les liens d'amitié et de coopération entre les deux peuples et pays frères».

    Une cérémonie de lancement de ce groupe a été organisée mardi par la Commission des relations extérieures de l'Assemblée nationale du Panama, présidée par le député Fernando Arce, poursuit SPS. «Le président du groupe d'amitié interparlementaire (…), le député Gonzalo Gonzalez, le chargé des affaires de l'ambassade [du Polisario] au Panama, Omar Hassena Ahreyem, ainsi qu'une délégation de l'Association panaméenne de solidarité avec la cause sahraouie (APASOCASA) conduite par son président, Gloria Esther Castillo, ont pris part à cette cérémonie», poursuit la même source.

    Et SPS de rappeler que le mouvement de Brahim Ghali et le Panama «entretiennent d'excellentes relations bilatérales depuis 1978».

    Pour rappel, le Polisario était présent, début juillet, à l’investiture du nouveau président panaméen Laurentino Cortizo. Brahim Ghali était présent à cette cérémonie à laquelle Saâdeddine El Othmani, chef du gouvernement, a aussi pris part.

    Le Panama reconnaît la «RASD» bien que le petit Etat d’Amérique latine avait annoncé, en novembre 2013, la «suspension» de sa reconnaissance de cette entité. Car, un an plus tard, le Panama avait renoué le fil du dialogue avec le Polisario et autorisé la réouverture d’une «ambassade» du mouvement séparatiste. Ce même cas de figure s’est reproduit avec l’Equateur qui, après avoir annoncé le retrait de sa reconnaissance de la «RASD» en juin 2014, avait fini par faire marche arrière, deux ans plus tard.

    Ya...bi, Le 16/08/2019 à 19h05
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