Blocage du projet Cevital en France :
Emmanuel Macron se prononceEmmanuel Macron affirme que la France est fortement engagée aux côtés de Cevital
Par*Ahmed Oul
27 août 2019 à 15:15
France*– Le président français Emmanuel Macron a indiqué qu’en dépit des difficultés financières persistantes et des retards liés à l’incarcération en Algérie de Issad Rebrab, PDG de Cevital, l’État Français restera toujours engagé à réunir toutes les conditions nécessaires à l’implantation du groupe algérien Cevital à Charleville-Mézières dans les Ardennes.
Selon le journal régional L’Ardennais, qui rapporte l’information ce lundi 26 août 2019, le chef de l’État français a répondu à une interpellation du député Les Républicains Pierre Cordier, qui a rappelé à Macron que « malgré l’annonce d’une levée de fonds de 175 millions d’euros, le plan de financement n’est pas encore bouclé ».
Le président français a répondu à la mi-août à l’élu ardennais, indiquant qu’il a « demandé aux services de l’État compétents de suivre de près ce projet et de tout mettre en œuvre afin qu’il aboutisse ». Emmanuel Macron a assuré qu’en « dépit des difficultés financières persistantes et de celles liées à l’incarcération de son PDG, l’État demeure fortement engagé aux côtés du groupe industriel afin que ce dernier présente toutes les conditions nécessaires à la viabilité du projet ».
Emmanuel Macron se prononceEmmanuel Macron affirme que la France est fortement engagée aux côtés de Cevital
Par*Ahmed Oul
27 août 2019 à 15:15
France*– Le président français Emmanuel Macron a indiqué qu’en dépit des difficultés financières persistantes et des retards liés à l’incarcération en Algérie de Issad Rebrab, PDG de Cevital, l’État Français restera toujours engagé à réunir toutes les conditions nécessaires à l’implantation du groupe algérien Cevital à Charleville-Mézières dans les Ardennes.
Selon le journal régional L’Ardennais, qui rapporte l’information ce lundi 26 août 2019, le chef de l’État français a répondu à une interpellation du député Les Républicains Pierre Cordier, qui a rappelé à Macron que « malgré l’annonce d’une levée de fonds de 175 millions d’euros, le plan de financement n’est pas encore bouclé ».
Le président français a répondu à la mi-août à l’élu ardennais, indiquant qu’il a « demandé aux services de l’État compétents de suivre de près ce projet et de tout mettre en œuvre afin qu’il aboutisse ». Emmanuel Macron a assuré qu’en « dépit des difficultés financières persistantes et de celles liées à l’incarcération de son PDG, l’État demeure fortement engagé aux côtés du groupe industriel afin que ce dernier présente toutes les conditions nécessaires à la viabilité du projet ».
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