Le Hirak aura en définitive, non seulement redonné de l’espoir aux millions d’Algériens qui battent le pavé depuis plus de six mois mais, aussi, bousculé profondément le train de vie du gouvernement et de ses cadres supérieurs.
En effet, pour la première fois, ces derniers n’ont pas eu droit à des vacances payées sur l’argent du contribuable dans les différentes résidences d’Etat, au Club-des-Pins, Moretti ou encore Zeralda, où des villas et des chalets étaient réservés chaque année à cette catégorie professionnelle des différentes institutions et ministères qui y séjournaient selon la période de congé des uns et des autres.
Il reste à espérer que cette mesure puisse augurer, enfin, d’une réouverture de ces résidences au grand public et surtout de la fin d’une époque, celle des privilégiés du système.
periscoop- le soir d'algérie-
En effet, pour la première fois, ces derniers n’ont pas eu droit à des vacances payées sur l’argent du contribuable dans les différentes résidences d’Etat, au Club-des-Pins, Moretti ou encore Zeralda, où des villas et des chalets étaient réservés chaque année à cette catégorie professionnelle des différentes institutions et ministères qui y séjournaient selon la période de congé des uns et des autres.
Il reste à espérer que cette mesure puisse augurer, enfin, d’une réouverture de ces résidences au grand public et surtout de la fin d’une époque, celle des privilégiés du système.
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