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En désaccord avec Gaid Salah : Bensalah a voulu démissionner au début de cette semaine

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  • En désaccord avec Gaid Salah : Bensalah a voulu démissionner au début de cette semaine

    Rien ne va plus entre Gaid Salah et Bensalah. Le chef d’Etat-Major de l’ANP et le Président par intérim de l’Etat sont en froid. Pis encore, les relations se sont envenimées ces derniers jours au point où Abdelkader Bensalah a voulu démissionner de son poste pour exprimer son désaccord avec Gaid Salah, le patron de l’armée, a-t-on appris de sources sûres.

    Bensalah a voulu déposer sa démission au début de cette semaine pour protester contre les pressions qu’il subit de la part du patron de l’Armée. Selon nos sources, Bensalah n’apprécie plus la manière de faire de Gaid Salah qui ne respecte pas ses prérogatives de Chef d’Etat. Selon nos investigations, la tension est montée d’un cran lorsque Bensalah a refusé de signer un décret qui lui a été soumis par le cabinet d’Ahmed Gais Salah. Un décret portant sur la nomination et désignation de nouvelles prérogatives au profit du haut commandement militaire de l’ANP.

    Après cet épisode, Bensalah a exprimé son désarroi en faisant part de son désir de jeter l’éponge prétextant la dégradation continue de son état de santé. Mais l’institution militaire a rejeté catégoriquement l’idée de cette démission. Après l’annonce de la convocation du corps électoral, Gaid Salah aggrave encore ce climat de tension qui prévaut au plus haut sommet de l’Etat en raison de sa « guerre froide » avec Abdelkader Bensalah.


    algérie part

  • #2
    C'est Gaid salah qui a appelé à convoquer le corp électoral et non le chef de l'état ,ce dernier n'a donc pas souhaité le faire probablement .
    Il remonte dans mon estime ce bensallah ,il a encore une chance de rentrer dans l'histoire par la petite porte .
    ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
    On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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    • #3
      puisque qu'il y'a un chef d’état qui parle,bensalah peut rendre le tablier

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      • #4
        je pense pas qu'il a songé une seul seconde de démissionné pour allé rejoindre la selecao del harach
        L'escalier de la science est l'échelle de Jacob,il ne s'achève qu'aux pieds de Dieu
        Albert Einstein

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        • #5
          Un homme politique disait : "un ministre ça s'exécute et ça ferme sa gueule, sinon, ça démissionne."

          Le président ayant toute l'autorité.

          Ici ce n'est pas un 1er ministre, ni même un ministre, mais un général qui donne des ordres.

          Et c'est le président qui doit s'exécuter et se la fermer.

          Ils l'ont déjà enterré le pays, qu'est ce qu'ils ont encore à creuser ?

          On peut être encore plus ridiculisés ?
          “Les mensonges sont nécessaires quand la vérité est très difficile à croire”
          Pablo Escobar après avoir brûlé le tribunal qui devait le juger.

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          • #6
            le problème algerien est qu'on ne peux même pas l'expliquer aux étrangers, tellemùent il est d'une logique de fous...

            - une armée qui veut des elections le plus rapidement possible, et un peuple qui ne le veut pas
            - un vice ministre des armées qui commande son président qui ne dit rien, à part dire oui oui

            si on rajoute que tu prend 2 algériens, ils ne sont d'accord sur rien politiquement sauf deux opinions censées régir nos pensées :

            - tu pense par la religion ou par l'esprit d'une république
            - si tu es de mon patelin, on est d'accord à l'avance, sinon tu doit montrer patte blanche !!

            c'est valable partout chez nous, et ici sur ce forum c'est écrit noir sur blanc.

            c'est compréhensible cette précision ou pas ? LOL

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            • #7
              une armée qui veut des elections le plus rapidement possible, et un peuple qui ne le veut pas

              C'est une opposition constituée d'un courant rejeté par la majorité du peuple qui refuse les élections tout court. Mokrane Ait Laarbi a bien expliqué la raison.

              Mais je suis d'accord que cette situation est bizarre et insolite. Dans tous les pays c'est les pouvoirs en place qui tendent à éviter les élections et à perpétuer le statu quo. Mais ici chez nous, c'est l'inverse.
              Cette même opposition participait avec un large sourire sur le visage dans les scrutins précédents où y participait un candidat du pouvoir bien déterminé. Qu'est-ce qu'il a changé ?
              C'est qu'ils avaient l'habitude de marchander pour bien se positionner. Une chose qu'ils n'arrivent plus a obtenir. D'où ce refus total de participer.
              Comme je l'ai prédit, les élections seront dans quelques mois, et les opposants les plus fervents y participeront.

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              • #8
                après que gaid salah a pris l'initiative de donner une date pour la convocation du corps électoral et même des élections ,il est clair qu'il a dépassé ses prérogatives de bcp et a humilié bensalah et avec cela il dit qu'il fait pas de politiques ,bientot je suppose lundi ou mardi prochain il nous dira que les bureaux de vote seront remplacés par des casernes

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                • #9
                  La “suggestion” d’Ahmed Gaîd Salah met Abdelkader Bensalah sous haute pression

                  Huffpost Algérie

                  J’avais abordé lors de ma précédente intervention la priorité d’entamer sérieusement la préparation des élections présidentielles dans les quelques semaines à venir, et je confirme aujourd’hui, et partant de nos missions et prérogatives, ainsi que de notre respect de la Constitution et des lois de la République, que nous considérons qu’il est opportun de convoquer le corps électoral le 15 du mois de septembre courant et que les élections puissent se tenir dans les délais fixés par la loi, des délais raisonnables et acceptables qui répondent à une revendication populaire insistante”.

                  Les “analystes” des plateaux pourront toujours faire valoir que du point de vue formel, le chef d’état-major de l’armée s’est contenté de “suggérer” de convoquer le corps électoral et n’a pas donné d’ordre. Mais les formes ayant été largement outrepassées depuis la démission de Bouteflika, c’est bien l’aspect politique qui prime.

                  Le général Ahmed Gaïd passe désormais d’un appel encore assez vague à la tenue des élections dans les plus “brefs délais” à la désignation d’une date pour l’élection présidentielle. En parlant de la convocation du corps électoral pour le 15 septembre, l’élection présidentielle se trouve ainsi “fixée” vers la mi-décembre. La loi organique n° 16-10 du 25 août 2016 relative au régime électoral dispose que le corps électoral est convoquée “quatre-vingt-dix (90) jours avant la date du scrutin, sous réserve des dispositions de l’article 102”.

                  Le chef de l’armée met clairement la pression sur le chef de l’Etat et même sur l’Instance du dialogue et de la médiation de Karim Younès pour hâter le rythme. Même si le “respect de la Constitution et des lois de la république” sont invoqués, on n’est pas dans la simple “suggestion”.

                  La Constitution et les lois de la République réservent clairement l’acte de convocation du corps électoral au chef de l’Etat et à nul autre. Il est évident qu’un ministre, ou un chef d’état-major de l’armée peut avoir un “avis” sur la tenue et la date des élections. Mais c’est un avis qui se transmet par des canaux appropriés de la consultation au sein de l’exécutif et non par le biais d’un discours public.

                  Le poids du chef de l’armée étant déjà important dans des circonstances “normales”, il l’est encore davantage depuis la démission forcée du président Bouteflika et la “fatwa”, que d’aucuns ont jugé exorbitante, du Conseil Constitutionnel interprétant l’article 102 et prolongeant l’intérim de Abdelkader Bensalah jusqu’à l’élection d’un nouveau président. Cette exégèse du Conseil Constitutionnel fait que la mission principale de Abdelkader Bensalah est la tenue de l’élection présidentielle.



                  Une quasi-injonction

                  On n’a jamais vu, par le passé, le chef de l’armée s’avancer aussi ouvertement sur ce domaine réservé du chef de l’Etat. C’est d’ailleurs sur ce terrain que les premières réactions se sont exprimées sur les réseaux sociaux. Certains ont souligné que le chef d’Etat par intérim vient de recevoir une injonction via un discours télévisé sur une question qui relève de ses prérogatives. Rien n’empêchait, au plan de la forme, à ce que Gaïd Salah suggère, dans la discrétion, à Bensalah de convoquer le corps électoral., Bensalah est le chef de l’Etat et Ahmed Gaïd Salah est vice-ministre, la communication entre les deux ne pose aucun problème, en théorie du moins.

                  Pour rappel, le chef de l’armée a rejeté des mesures d’apaisement suggérées par le panel et qui aurait été acceptées, selon Karim Younès, par Abdelkader Bensalah. Cette nouvelle suggestion “publique” ne manquera pas de susciter des débats sur le rôle du chef d’Etat par intérim.
                  La Réalité est la Perception, la Perception est Subjective

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                  • #10
                    qu'il le fasse s'il a des c.....

                    au moins il aura servi a quelque chose.

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                    • #11
                      Situation comique , du cadavre de boutef on est passé au cadavre
                      de bensalah. Ce dernier n a pas un gramme de pouvoir , ils s en sont servi pour sauvegarder un semblant de continué de l Etat .
                      La mer apportera à chaque homme des raisons d'espérer , comme le sommeil apporte son cortège de rêves C.C.

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                      • #12
                        Je ne crois pas à cette rumeur de démission.

                        Bensalah n’a pas le cran. Il a toujours été un petit exécutant du pouvoir.
                        Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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                        • #13
                          Stratégie de com ou comment faire de la diversion , pendant qu ils mettent a exécution leur plan de mascarade électorale , ils occupent les masses avec un conflit imaginaire entre deux vieux illégitimes placés tous deux par bouger.
                          La mer apportera à chaque homme des raisons d'espérer , comme le sommeil apporte son cortège de rêves C.C.

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                          • #14
                            Benzdaira

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                            • #15
                              Bensalah cherche à tout prix à se faire une "virginité" en voulant zaama s'opposer au général bien qu'il soit et qu'il a été un corrompu du système , comme il sait que sa maladie va l'emporter , il veut justement sortir par la grande porte , mais le peuple n'est pas dupe
                              Dernière modification par ACAPULCO, 03 septembre 2019, 19h11.
                              Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
                              (Paul Eluard)

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