Comment un homme aussi brillant que Ahmed Benchemsi ait pu commettre la grave la grave erreur de se rendre en Algérie avec son passeport marocain?
Il possède un passeport américain et il lui aurait été bien inspiré de voyager avec ce document en Algérie du fait qu'il se serait vu contraint d'obtenir un visa au préalable. Et cette variante aurait éviter un déplacement pour rien dès lors qu'un visa lui aurait été refusé en raison de sa mission. Donc, même si son expulsion d'Algérie est scandaleuse, elle peut se défendre.
- Algérie : pour Ahmed Reda Benchemsi, « les autorités ne veulent pas que l’information circule »
Ahmed Reda Benchemsi, le directeur de la communication de l'ONG Human Rights Watch (HRW) pour la zone Maghreb-Moyen-Orient, revient sur son arrestation et son expulsion lors de sa dernière mission en Algérie, tout en livrant un diagnostic inquiétant sur l'évolution de la situation dans le pays.
(…).
Arrivé le 1er août « dans le cadre d’une mission d’observation des plus classiques », Benchemsi avait déjà voyagé et assisté à des manifestations en Algérie en mars dernier. À l’aéroport, il assure avoir présenté son passeport marocain « pour ne pas avoir à demander de visa », et inscrit sur la fiche d’arrivée « tous les renseignements demandés, notamment sa fonction, et le cadre professionnel de sa visite »-.
Jeune Afrique, succincts extraits
Il possède un passeport américain et il lui aurait été bien inspiré de voyager avec ce document en Algérie du fait qu'il se serait vu contraint d'obtenir un visa au préalable. Et cette variante aurait éviter un déplacement pour rien dès lors qu'un visa lui aurait été refusé en raison de sa mission. Donc, même si son expulsion d'Algérie est scandaleuse, elle peut se défendre.
- Algérie : pour Ahmed Reda Benchemsi, « les autorités ne veulent pas que l’information circule »
Ahmed Reda Benchemsi, le directeur de la communication de l'ONG Human Rights Watch (HRW) pour la zone Maghreb-Moyen-Orient, revient sur son arrestation et son expulsion lors de sa dernière mission en Algérie, tout en livrant un diagnostic inquiétant sur l'évolution de la situation dans le pays.
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Arrivé le 1er août « dans le cadre d’une mission d’observation des plus classiques », Benchemsi avait déjà voyagé et assisté à des manifestations en Algérie en mars dernier. À l’aéroport, il assure avoir présenté son passeport marocain « pour ne pas avoir à demander de visa », et inscrit sur la fiche d’arrivée « tous les renseignements demandés, notamment sa fonction, et le cadre professionnel de sa visite »-.
Jeune Afrique, succincts extraits
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