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Interview du ministre de l'énergie, Chakib Khelil

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  • Interview du ministre de l'énergie, Chakib Khelil

    Dans un anglais tout à fait correct, le ministre algérien de l'énergie, Chakib Khelil, analyse le rôle de l'OPEP et son influence sur les marchés mondiaux des hydrocarbures, à l'occasion du 10e Forum international de l'énergie tenu à Doha au Qatar (fin avril 2006).

    - clip : Interview de Chakib Khelil


  • #2
    Chakib Khelil est né à Oujda au Maroc le 8 août 1939. En 1968, il obtient son doctorat en ingéniorat pétrolier dans l'université Texas A M. Après avoir travaillé aux États-Unis, il retourne en Algérie ou il travaille pour la Sonatrach. Entre 1973 et 1976 il dirige le programme "Valhyd" (ou « valorisation des hydrocarbures »). En 1980 il a été nommé conseiller pétrolier à la Banque mondiale, à la fin des années 1990 il devient chef de département du secteur énergétique d'Amérique latine. Il quitte la banque en 1999 par retraite anticipé pour devenir conseiller du président Abdelaziz Bouteflika. Le 26 décembre 1999 il est nommé ministre de l'énergie et des mines, poste qu'il occupe toujours aujourd'hui.

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Chakib_Khelil

    En 1968, il obtient son doctorat en ingéniorat pétrolier dans l'université Texas A M
    sa m'etonne pas qu'il parle bien anglais
    Se tromper est humain, persister dans son erreur est diabolique. (Saint Augustin)

    Commentaire


    • #3
      Mr. Nassim pour ce post.

      Dr. Chekib Khalil, non seulement s'exprime plus que correctement en Anglais (ce qui nous changent un peu de la majorite de nos ministres), mais il pose les vraies questions. J'ai trouve que cet interview est assez revelateur des tensions qui exister entre les pays producteurs d'un cote et les pays consommateurs de l'autre. L'idee developee du "Take or Pay" est extremement interessante et a mon avis n'est pas contre les pays consommateurs, car ca permettera a l'Opec de prevoir les investissement necessaires et eviter les crises planetaires liees par exemple aux manques de capacitees de raffinage de par le monde (due aux arrets d'investissement dans les annees 80...prix du baril tres bas). En tout les cas, notre ministre semble maitriser son sujet et c'est toujours a l'Algerie de provoquer les vrais debats.

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      • #4
        En effet, Khelil semble maîtriser son sujet en plus de parler couramment l'anglais. Son profil contraste avec celui du médiocre Mohamed Meziane, le PDG de Sonatrach.

        Khelil a mis l'accent sur le fait que l'OPEP, c'est avant tout le respect du client consommateur, ce qui ne contredit pas forcément la défense des intérêts des pays producteurs.

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