La majorité des participants à la rencontre des membres de l'Instance nationale de dialogue et de médiation (INDM), avec les représentants des associations et du hirak populaire, ont affirmé la nécessité de hâter la préparation d'une élection présidentielle comme solution définitive à la crise que traverse le pays.Lors de la 6e rencontre de l'INDM avec des membres du mouvement associatif et des représentants de wilaya du Hirak populaire, les propositions des intervenants pour la sortie de la crise politique actuelle ont porté essentiellement sur l'importance d'élire, dans les plus brefs délais, un président légitime qui prendra en charge la réalisation des réformes souhaitées par le peuple algérien.
A cet effet, le militant politique et représentant du Hirak issu de la wilaya de Khenchela, Hakim Bougas, a estimé que la régularité de la prochaine Présidentielle était tributaire de la neutralité de l'administration, insistant sur l'impératif de respecter la Constitution et partant hâter l'organisation de la Présidentielle, comme seul moyen de règlement de la crise que traverse le pays.
Pour sa part, l'intervenant au nom de l'initiative des "Novembristes", a jugé nécessaire de former, en plus d'une instance nationale pour l'organisation des élections, dont les membres seront bientôt désignés, un comité supplémentaire regroupant des représentants du Hirak qui veillera à accompagner et surveiller le processus électoral devant aboutir à l'élection d'un président légitime.
L'intervenant a rappelé que cette proposition formulée par les représentants du Hirak était à même de garantir la régularité du processus électoral et de rétablir la confiance avec le peuple, en sus de barrer la route à ceux qui servent les agendas étrangers qui tentent, selon lui, d'exploiter la crise politique pour ébranler la stabilité du pays.
L'intervenant au nom de l'instance nationale de réinsertion des repris de justice, Okba Boussaï, a insisté sur l'importance d'installer l'instance nationale chargée de la surveillance des élections, en lui conférant toutes les prérogatives nécessaires pour garantir la régularité du scrutin.
L'INDM avait rencontré depuis le début de ses missions, 23 partis politiques et tenu plus de 5000 rencontres avec des militants et associations, selon son coordonnateur, Karim Younes qui avait affirmé, mercredi, que "toutes les plateformes de travail issues du processus de dialogue ont été prises en considération dans l'élaboration du document final qui sera soumis, bientôt, aux hautes autorités du pays".
A.News
A cet effet, le militant politique et représentant du Hirak issu de la wilaya de Khenchela, Hakim Bougas, a estimé que la régularité de la prochaine Présidentielle était tributaire de la neutralité de l'administration, insistant sur l'impératif de respecter la Constitution et partant hâter l'organisation de la Présidentielle, comme seul moyen de règlement de la crise que traverse le pays.
Pour sa part, l'intervenant au nom de l'initiative des "Novembristes", a jugé nécessaire de former, en plus d'une instance nationale pour l'organisation des élections, dont les membres seront bientôt désignés, un comité supplémentaire regroupant des représentants du Hirak qui veillera à accompagner et surveiller le processus électoral devant aboutir à l'élection d'un président légitime.
L'intervenant a rappelé que cette proposition formulée par les représentants du Hirak était à même de garantir la régularité du processus électoral et de rétablir la confiance avec le peuple, en sus de barrer la route à ceux qui servent les agendas étrangers qui tentent, selon lui, d'exploiter la crise politique pour ébranler la stabilité du pays.
L'intervenant au nom de l'instance nationale de réinsertion des repris de justice, Okba Boussaï, a insisté sur l'importance d'installer l'instance nationale chargée de la surveillance des élections, en lui conférant toutes les prérogatives nécessaires pour garantir la régularité du scrutin.
L'INDM avait rencontré depuis le début de ses missions, 23 partis politiques et tenu plus de 5000 rencontres avec des militants et associations, selon son coordonnateur, Karim Younes qui avait affirmé, mercredi, que "toutes les plateformes de travail issues du processus de dialogue ont été prises en considération dans l'élaboration du document final qui sera soumis, bientôt, aux hautes autorités du pays".
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