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Saleh Al Hakim : « L’islam politique détruit la religion et l’homme »

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  • Saleh Al Hakim : « L’islam politique détruit la religion et l’homme »

    La Croix : Les Irakiens reconnaissent volontiers que la fatwa promulguée en juin 2014 par l’ayatollah Ali Al Sistani, le plus haut dignitaire chiite d’Irak, a été déterminante dans la mobilisation du pays contre Daech. Maintenant que Daech a été vaincu, quelle est la position des responsables religieux sur l’avenir de l’Irak ?

    Saleh Al Hakim : Il faut écouter les prêches du représentant du grand ayatollah Ali Al Sistani le vendredi pour comprendre les orientations de la marjayiah (NDLR : l’autorité religieuse chiite, composée de quatre grands ayatollahs et qui supervise la hawza, c’est-à-dire l’ensemble des centres d’enseignements de Nadjaf). La marjayiah de Nadjaf veut un État laïc, qui respecte la religion mais séparé des religieux et fondé sur la citoyenneté. Elle ne croit pas au sectarisme religieux et elle s’oppose à l’islam politique. Ali Sistani l’a répété de nombreuses fois : il n’y a pas de différence à faire entre un député chrétien ou chiite.


    Malheureusement, la France connaît mal à la pensée et la théologie chiite. Les Français croient souvent que le clergé et le gouvernement sont liés, un peu comme le grand imam d’Al Azhar qui est nommé par le président égyptien. Ce n’est pas le cas en Irak : les quatre grands ayatollahs qui composent la marjayiah sont choisis par le peuple en fonction de leur nombre de fidèles, et ils peuvent être destitués par le peuple.

    Comme responsables religieux, comment pouvez-vous contribuer à la reconstruction, au relèvement du pays ?

    S. A. H. : Notre rôle est de guider, d’instruire, éventuellement et seulement lorsqu’on nous le demande, de donner conseil. Parce que les gens ont confiance en nous, nous pouvons les guider vers ce qui nous semble bon pour la reconstruction de l’Irak. Or le plus important à nos yeux est la droiture, la fidélité à l’Irak et non pas à d’autres pays. Hélas, ceux qui nous gouvernent ont le cœur tourné vers leurs voisins (NDLR : iraniens). Nous espérons que les jeunes générations, nées après 2000 et qui n’ont pas connu la dictature, nous apporteront le changement.

    En quoi consiste le Centre al Hikma pour le dialogue et la coopération que vous animez à Nadjaf ?


    S. A. H. : Il est composé d’une vingtaine de professeurs d’université, chiites, sunnites, comme chrétiens, et d’un cercle d’amis qui se réunissent régulièrement pour échanger et trouver le moyen de cohabiter quelle que soit notre appartenance religieuse. Ce centre montre bien que le dialogue est un thème de préoccupation pour la marjayiah de Nadjaf.

    Ensemble, en Irak ou en participant à des conférences à l’étranger, nous travaillons à instiller des valeurs humanistes, à revoir nos systèmes de valeurs ou nos approches idéologiques pour bâtir la paix entre les communautés : une paix fondée sur le dialogue, l’acceptation de l’autre comme il est et le respect mutuel.
    Seul un envoyé de Dieu, comme le mahdi dont nous attendons l’avènement, pourrait prendre la tête d’un gouvernement religieux. En attendant, nous ne pouvons désigner personne pour cela et personne ne peut se déclarer « envoyé de Dieu ». Nous, les chiites, ne croyons pas à un califat, comme les sunnites l’ont institué à la mort de prophète Mohammed. Et, en Irak, nous ne croyons pas même à la velayat-e faqih (NDLR : littéralement « la tutelle des juristes », autrement dit le système politique imaginé par l’ayatollah Khomeyni en Iran qui confère aux religieux la primauté sur le politique en Iran).

    Que pèse l’islam politique en Irak ?

    S. A. H. : Le gouvernement actuel est constitué de tenants de l’islam politique, l’équivalent – au sein du chiisme – des Frères musulmans. Le parti Hizbet Dawa qui nous gouverne depuis quinze ans est responsable de la destruction actuelle du pays.

    Les religieux n’ont-ils pas le pouvoir de changer le gouvernement ?

    S. A. H. : L’autorité religieuse ne veut pas se mêler de politique. Si un changement doit être fait, il doit être décidé par le peuple, non par l’autorité religieuse.


    Un savant iranien a dit un jour : « Il est beaucoup plus facile de devenir un grand scientifique que d’être un homme ». Malheureusement, j’ai vu beaucoup de gens perdre leur humanité. Au Moyen-Orient, nous faisons face à deux grandes maladies : la dictature et l’islam politique. De l’intérieur, je vois à quel point l’islam politique détruit la religion et détruit l’homme. À nous de valoriser ceux qui ont su garder leur humanité.

    la croix.com

  • #2
    Un savant iranien a dit un jour : « Il est beaucoup plus facile de devenir un grand scientifique que d’être un homme ». Malheureusement, j’ai vu beaucoup de gens perdre leur humanité. Au Moyen-Orient, nous faisons face à deux grandes maladies : la dictature et l’islam politique. De l’intérieur, je vois à quel point l’islam politique détruit la religion et détruit l’homme. À nous de valoriser ceux qui ont su garder leur humanité.
    Très juste, c'est on ne peut plus vrai.
    ثروة الشعب في سكانه ’المحبين للعمل’المتقنين له و المبدعين فيه. ابن خلدون

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    • #3
      Au Moyen-Orient, nous faisons face à deux grandes maladies : la dictature et l’islam politique.

      Les deux maladies que les nord-africains ont importées et continuent de le faire volontiers du proche et moyen-orient au lieu de s'inspirer de leurs voisins du nord libres, démocratiques et développés.

      Commentaire


      • #4
        Les deux maladies que les nord-africains ont importées et continuent de le faire volontiers du proche et moyen-orient au lieu de s'inspirer de leurs voisins du nord libres, démocratiques et développés
        C'est en effet le grand malheur de l'AFN!
        Toutes les fleurs de l'avenir sont dans les semences d'aujourd'hui.

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        • #5
          Les deux maladies que les nord-africains ont importées et continuent de le faire

          @democracy

          désolé ya akhi el oudjdi, si on veut être honnête et complet dans ses analyses, on devrait aller jusqu'au bout du raisonnement, bien que c'est politiquement incorrect ou de l'auto censure consciente ou inconsciente dont on est dramatiquement imprégnés

          la première et seule erreur que les amazighs avaient commises c'est d'avoir épousé l'Islam tout court,

          volontairement ou imposé c'est secondaire à le savoir, mais mieux le savoir quand même on gagnera en serenité ou en.... résignation !

          en Algérie, seul Matoub Lounès avait pu dit clairement les choses, comme par hasard, il n' pas fait long feu

          toutefois comme il était un chanteur ( et un poète ) ça a beau parler et chanter, ça reste un chanteur et un poète, ( n'est ce pas Ferhat Mhenni lol ) alors que c'est un solide et honnête homme politique qu'il faudrait pour ce genre de changement de paradigme, si reelle volonté de changement existe, perso, je ne le crois pas, pas encore en tous cas.

          evidement, on peux aller encore plus loin ( et ça aussi ça ne plait pas non plus hein lol ) les amazigh avaient succombé également à Rome et pendant longtemps...

          moralité :

          comme avait dit un jour Nouredine Boukrouh qui n'est pas spécialement militant de l'amazighité ( il est du courant philosophique de Malek Bennabi ) :

          - nous autres Algériens, on n'est pas encore sorti du ventre de nos mères !!

          pour moi, il a tout résumé avec ça, et peu importe les détails qu'on mettra dedans.

          c'est pas tous les jours que j'entend des mots simples qui résument et identifient nos maux millénaires, et pourtant, c'est pas faute de pouvoir s'exprimer, facebobook est un océan de parlottes pour ne citer que celui la
          Dernière modification par tizi oualou, 08 septembre 2019, 12h05.

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          • #6
            la première et seule erreur que les amazighs avaient commises c'est d'avoir épousé l'Islam tout court,
            L'islam est là et il fait maintenant partie de l'Histoire de l'AFN. Il faut plutôt travailler pour :

            - dénoncer son instrumentalisation par les mafias au pouvoir, par l'école, la mosquée, les oulémas;

            - préserver la stabilité spirituelle des nord-africains en empêchant les courants violents comme le salafisme, le wahhabisme, l'islam politique...etc de s'installer;

            - séparer entre la religion et le politique;

            - désacraliser la langue arabe standard, langue morte, que les mafias imposent aux enfants et développer les langues nationales Tamazight et Darja;

            - instaurer les bases de la démocratie, la liberté dans toutes ses formes, libérer les énergies, s'ouvrir sur la modernité et le monde libre...etc

            C'est que de cette façon que les nord-africains se renaitront et s'éloigneront de la tutelle politico-religieuse du moyen-orient malade et néfaste, de surcroit sous-développé.


            P.S. : je suis Rifain et non oujdi
            Dernière modification par democracy, 08 septembre 2019, 12h35.

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            • #7
              l'islame n'est pas politique mais juridique

              entre un islame politique et un islame exploité par des financiers la difference est énorme

              ce sont ces financier qui ont crée l'islame politique une fois le pouvoir et le menopole entre les mains il balance l'islame et leurs adepte et ouvre un bar hotel ou la femme installe une troupeaux de femme sexuelle pour lui apporté les 20% du marché
              et lorsque ces femmes provoquent de l'agitation de la violence l'etat ordonne au fisc d'interdir cette activité...et la femme s'expatrie en thailande

              il n ya que la france qui comprend ce jeux
              le fisc élimine ce financier et prend les impots..
              le financier devrait partir ailleurs au maroc si les bandits locaux ne vont pas lui causé de probléme..
              il doit encore chercher un autre pays peut etre le bresil
              Dernière modification par pack2000, 08 septembre 2019, 13h57.

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              • #8
                @democracy

                ce que tu dit est plus que logique ya akhi Rifi, c'est le chemin raisonnable sur quoi nous devons cheminer sinon on restera comme on l'a toujours été, des non citoyens et surtout la croissance ( par la force et le nombre ) de l'hégémonie dominante de nos etats
                ceci dit, comme je suis pessimiste ( ou alors optimiste mais réaliste ) je ne crois pas à un changement dans ce sens avant longtemps
                et cela pour deux raisons :
                nos peuples ont été déculturés au maximum, et donc la transition vers le mieux sera très longue, à supposer qu'on ferait les efforts pour y arriver

                deux, les forces du mal ( pas le baâthisme mort et enterré qu'on a lui avait accolé toutes les tares possibles pendant qu'on bai_se avec le salafisme, wahabisme daechisme mille fois plus destructeurs )
                ces forces ont des connexions internationales dont l'occident historiquement jusqu'a nos jours fait partie intégrale de cette toile anti amazigh, la preuve avec la colonisation fr en algérie, les berberistes extremistes le disent ( quand ça les arrange lol ) que la france a bien contribué à assimiler pour ne pas dire réduire sinon dissimulé la question amazigh au profit d'une 'arabité' confortable pour un colonisateur ( mais diviseur à souhait quand meme en sous jacent , faut pas se leurrer )


                @Pack2000

                l'islam est juridique et non politique ? je ne demande que de te croire, mes croyances c'est plutot les additionner et en rajouter d'autres , aussi bien juridique que politique entre autres

                depuis l'avénement de l'islam, le politique etait concomittante au reste, et wallah 3alem
                Dernière modification par tizi oualou, 08 septembre 2019, 15h42.

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                • #9
                  volontairement ou imposé c'est secondaire à le savoir, mais mieux le savoir quand même on gagnera en serenité ou en.... résignation !

                  en Algérie, seul Matoub Lounès avait pu dit clairement les choses, comme par hasard, il n' pas fait long feu
                  Bien avant Matoub des Algériens (Kabyles ou autres) sont conscients de l'arnaque de la propagation doctrinaire ...sauf que Matoub en tant que poète et chanteur a us le piédestal de véhiculer cela ...

                  En attendant cet éveil de conscience prend de l'ampleur, ne fait que se propager... une évidence irréversible de la fin d'une imposture.
                  Dernière modification par infinite1, 09 septembre 2019, 00h23.

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                  • #10
                    L'islam politique a cela de magique, qu'il est à géométrie variable.

                    Hier la femme n'avait pas le droit de conduire ni de voyager à l'etranger seule.

                    Aujourd'hui par la magie de l'économie et de la diminution des pétrodollars c'est possible.

                    Exemple :

                    L'Arabie saoudite se paye des influenceurs Instagram pour améliorer son image
                    Slate.fr Il y a 17 heures
                    Cette capture d'écran de la vidéo publiée le 9 avril 2019 par les représentants de l'ancien chef de Nissan, Carlos Ghosn, montre que Ghosn s'exprime dans un message vidéo enregistré le 3 avril avant son retour au début de ce mois à Tokyo. Ghosn a accusé "d'avoir poignardé" les dirigeants de Nissan d'une "conspiration" ayant conduit à son arrestation, dans la vidéo révélée le 9 avril par ses représentants.L'avocat de C. Ghosn révèle les «scandales de l'affaire»
                    Violences conjugales: les enfants sont aussi des victimes

                    Le royaume, qui envisage pour la première fois de délivrer des visas touristiques, mise beaucoup sur ses paysages instagramables pour occulter les crimes du régime.

                    Aggie Lal lors de son tour sponsorisé en Arabie saoudite | Gateway KSA via Instagram© Fournis par SLATE Aggie Lal lors de son tour sponsorisé en Arabie saoudite | Gateway KSA via Instagram
                    Ils ont été nombreux à dénoncer une opération de propagande, et encore plus nombreux à s'émerveiller: c'est ce qu'il se passe quand une influenceuse Instagram avec plus de 876.000 abonnés vient faire des shootings en Arabie saoudite aux frais du prince.

                    Au printemps dernier, Aggie Lal, recevait une invitation officielle pour une tournée de dix jours dans le pays, organisée par Gateway KSA, un programme dirigé par le prince Turki al-Faisal, ancien directeur de l'Agence saoudienne de renseignements et ex-ambassadeur aux États-Unis.

                    Une dignité instagramable
                    Un échange de bons procédés qui peut surprendre: dans un pays où les couples non mariés peuvent faire l'objet d'une arrestation et où la police religieuse veille au maintien de bonnes mœurs à l'acception très restreinte, l'influenceuse basée à Los Angeles, connue pour ses photos de voyageuse en maillot de bain, s'est retrouvée à poser dans le désert de Madâin Sâlih, tête découverte aux côtés d'un homme torse nu et de gros quatre-quatre tournoyant dans le sable.




                    Voir cette publication sur Instagram
                    There was a language in the world that everyone understood. It was the language of enthusiasm, of things accomplished with love and purpose, and as part of a search for something believed in and desired 💫 #TheAlchemist ::::: It’s been forever since I was in the flow of creativity so deep, this entire week has felt like a one long moment of ‘now’. I owe it to the talent (& humor) of @moliverallen who together with @seapea.vibes and myself created some incredible moments (& photos) together like this one here. Moment I will remember forever! Thanks boys for your drive & wiping my tears sometimes haha ::::: Photo idea: me 😌 Photo by: @seapea.vibes Photo edit: @moliverallen using his presets 💪🏻 #dreamteam :::: Please note that the sites of Madain Saleh are currently closed to the public whilst the Royal Commission develops the area to allow for future tourism. I received an official invitation allowing me to film and document these sites to share it with you. #DiscoverAlUla #LivingMuseum #AlUla @gatewayksa #saudi #saudiarabia #stars #nightphotography

                    Une publication partagée par TRAVEL IN HER SHOES (@aggie) le 2 Mars 2019 à 9 :52 PST



                    Alors que le meurtre du journaliste Jamal Khashoggi, couplé à la guerre au Yémen, ont nettement endommagé le travail de communication aux allures modernistes sinon progressistes amorcé par le prince héritier Mohammed ben Salman, ce type d'images, destinées à un public occidental, permet de présenter une face plus amène du pays.

                    Tandis que l'Arabie saoudite envisage ce mois-ci pour la première fois de délivrer des visas de tourisme à des personnes étrangères, le royaume n'a pas tant tergiversé pour accueillir à bras ouverts plusieurs célébrités. Fin 2018, c'est David Guetta qui était invité pour donner un concert lors d'un festival de courses automobiles, aux côtés des Black Eyed Peas, de OneRepublic et d'Enrique Iglesias –le DJ avait alors été critiqué pour son hommage musical au roi Salman bin Abdulaziz Al Saud.

                    Une nouvelle narration pour l'Arabie saoudite

                    Gateway KSA est né quant à lui il y a deux ans, à la suite d'une rencontre entre le prince Turki al-Faisal et l'influenceuse sportive australo-néerlandaise Nelleke Van Zandvoort Quispel, qui avait visité le pays un peu plus tôt.

                    Le programme est présenté comme étant dédié aux «influenceurs, aux décideurs et aux dirigeants de demain. Des jeunes hommes et des jeunes femmes qui peuvent voir au-delà des gros titres et des tweets pour imaginer et façonner ensemble un avenir d'ouverture, de collaboration et d'innovation». Autrement dit, il cherche à produire de nouveaux discours sur l'Arabie saoudite en utilisant la puissance de communication des réseaux sociaux, tout en jouant la carte des «médias occidentaux biaisés».

                    Voir cette publication sur Instagram
                    You may say that I'm a dreamer, but I'm not the only one. I love to imagine there's no countries... Nothing to kill or die for and no religion too. Just all the people living life in peace ✌🏻👩*👩*👧*👦👩*👩*👧*👦 ☮️ #JohnLennon #mood #dreamers ::::: Captured by @moliverallen for @gatewayksa ::::: Special thanks to my dad for exposing me and explaining this song to me at the age of 7 — changed my world for sure😊 ::::: #gatewayksa #saudiarabia #saudi #desert #camels

                    Une publication partagée par TRAVEL IN HER SHOES (@aggie) le 6 Mars 2019 à 8 :10 PST

                    Alors que le meurtre du journaliste Jamal Khashoggi, couplé à la guerre au Yémen, ont nettement endommagé le travail de communication aux allures modernistes sinon progressistes amorcé par le prince héritier Mohammed ben Salman, ce type d'images, destinées à un public occidental, permet de présenter une face plus amène du pays. Tandis que l'Arabie saoudite envisage ce mois-ci pour la première fois de délivrer des visas de tourisme à des personnes étrangères, le royaume n'a pas tant tergiversé pour accueillir à bras ouverts plusieurs célébrités. Fin 2018, c'est David Guetta qui était invité pour donner un concert lors d'un festival de courses automobiles, aux côtés des Black Eyed Peas, de OneRepublic et d'Enrique Iglesias –le DJ avait alors été critiqué pour son hommage musical au roi Salman bin Abdulaziz Al Saud.

                    Une nouvelle narration pour l'Arabie saoudite Gateway KSA est né quant à lui il y a deux ans, à la suite d'une rencontre entre le prince Turki al-Faisal et l'influenceuse sportive australo-néerlandaise Nelleke Van Zandvoort Quispel, qui avait visité le pays un peu plus tôt. Le programme est présenté comme étant dédié aux «influenceurs, aux décideurs et aux dirigeants de demain. Des jeunes hommes et des jeunes femmes qui peuvent voir au-delà des gros titres et des tweets pour imaginer et façonner ensemble un avenir d'ouverture, de collaboration et d'innovation». Autrement dit, il cherche à produire de nouveaux discours sur l'Arabie saoudite en utilisant la puissance de communication des réseaux sociaux, tout en jouant la carte des «médias occidentaux biaisés».
                    “Les mensonges sont nécessaires quand la vérité est très difficile à croire”
                    Pablo Escobar après avoir brûlé le tribunal qui devait le juger.

                    Commentaire


                    • #11
                      Le respect de l'islam c'est pour leur peuple.

                      Pour les dirigeants, ils ont une sorte de congé rtt à vie
                      “Les mensonges sont nécessaires quand la vérité est très difficile à croire”
                      Pablo Escobar après avoir brûlé le tribunal qui devait le juger.

                      Commentaire


                      • #12
                        Des gens comme Ammar al Hakim les savants des palais sont les ennemis de l'Imam Mahdi a.s

                        Commentaire


                        • #13
                          Saleh Al Hakim : « L’islam politique détruit la religion et l’homme »
                          Une realite tres simple que nous avons deja entendu en Algerie depuis des decenies.
                          Si la vie n'est pas une partie de plaisir, l'alternative est pire.

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