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La filière “fruits et légumes” cherche à se professionnaliser
La 2ème édition du Salon international des techniques de la filière fruits et légumes "LFL Algérie" se tiendra à Alger du 28 au 30 octobre 2007. Après la réussite de sa première édition, cette seconde connaîtra un aménagement inédit jusque là en Algérie, apprend -on de source sûre. En effet, trois chapiteaux couvrant une superficie d'exposition de 9 000 m², ainsi qu'une exposition extérieure. Ces espaces permettront d'accueillir environ 200 exposants. A noter, la mise en place de nombreux pavillons nationaux, ainsi qu'un pôle oléiculture et un espace dédié à la production de dattes. Dans le cadre de son ouverture économique, l'Algérie a mis en oeuvre un plan de développement agricole dont l'objectif est de favoriser les échanges et l'investissement. LFL Algérie constitue l'outil idéal pour accompagner les opérateurs de la filière dans leur développement international, sur un marché à fort potentiel. Ce salon professionnel unique en son genre en Algérie est exclusivement dédié à la filière fruits et légumes. A souligner que l'Algérie a un fort potentiel dans le domaine agricole avec un dynamisme et une attractivité particuliers de la filière fruits et légumes considérée comme moteur du développement du secteur agricole, potentiel et besoin du plus vaste marché d'Afrique du nord, les équipements et technologies représentent 40% des importations algériennes du secteur. La proximité avec l'Europe, qui constitue également le premier fournisseur de technologies agricoles et de savoir-faire est également un atout considérable pour l'agriculture algérienne. Afin de favoriser l'ouverture de l'économie sur le marché international, les pouvoirs publics ont mis en œuvre un plan de développement agricole dont l'objectif est de favoriser les échanges et l'investissement. LFL Algérie constitue, donc, un outil idéal pour accompagner les professionnels dans leurs démarches à la conquête des marchés extérieurs. Par ailleurs, beaucoup reste à faire pour mettre en place les moyens matériels nécessaires permettant d'exporter les fruits et légumes dans de meilleurs conditions d'autant plus qu'il s'agit de produits périssables. A signaler à ce propos que des terminaux portuaires répondants aux exigences spécifiques d'exportation des fruits et légumes sont déjà en projet. Un premier terminal sera opérationnel sur l'unité portuaire de Skikda. C'est ce qu'a fait savoir l'Association nationale des exportateurs algériens de fruits et légumes, qui révèle qu'" un groupement d'intérêt commun (GIC) est en constitution avec la participation de neuf exportateurs et importateurs d'origines algérienne et française ". Les terminaux spécialisés seront d'un grand apport pour la stimulation des exportations des produits agricoles. Les exportateurs jugent, en effet, que d'importants maillons dans la chaîne d'exportation n'existent pratiquement pas. La collecte, le calibrage, le conditionnement, l'emballage, la transformation, le transport à l'heure et la logistique nécessaires font défaut. Selon des exportateurs qui participent à la création de ce GIC, les problèmes du fret, l'irrégularité des dessertes au départ des ports algériens brisent les volontés.
Dalila B.
La 2ème édition du Salon international des techniques de la filière fruits et légumes "LFL Algérie" se tiendra à Alger du 28 au 30 octobre 2007. Après la réussite de sa première édition, cette seconde connaîtra un aménagement inédit jusque là en Algérie, apprend -on de source sûre. En effet, trois chapiteaux couvrant une superficie d'exposition de 9 000 m², ainsi qu'une exposition extérieure. Ces espaces permettront d'accueillir environ 200 exposants. A noter, la mise en place de nombreux pavillons nationaux, ainsi qu'un pôle oléiculture et un espace dédié à la production de dattes. Dans le cadre de son ouverture économique, l'Algérie a mis en oeuvre un plan de développement agricole dont l'objectif est de favoriser les échanges et l'investissement. LFL Algérie constitue l'outil idéal pour accompagner les opérateurs de la filière dans leur développement international, sur un marché à fort potentiel. Ce salon professionnel unique en son genre en Algérie est exclusivement dédié à la filière fruits et légumes. A souligner que l'Algérie a un fort potentiel dans le domaine agricole avec un dynamisme et une attractivité particuliers de la filière fruits et légumes considérée comme moteur du développement du secteur agricole, potentiel et besoin du plus vaste marché d'Afrique du nord, les équipements et technologies représentent 40% des importations algériennes du secteur. La proximité avec l'Europe, qui constitue également le premier fournisseur de technologies agricoles et de savoir-faire est également un atout considérable pour l'agriculture algérienne. Afin de favoriser l'ouverture de l'économie sur le marché international, les pouvoirs publics ont mis en œuvre un plan de développement agricole dont l'objectif est de favoriser les échanges et l'investissement. LFL Algérie constitue, donc, un outil idéal pour accompagner les professionnels dans leurs démarches à la conquête des marchés extérieurs. Par ailleurs, beaucoup reste à faire pour mettre en place les moyens matériels nécessaires permettant d'exporter les fruits et légumes dans de meilleurs conditions d'autant plus qu'il s'agit de produits périssables. A signaler à ce propos que des terminaux portuaires répondants aux exigences spécifiques d'exportation des fruits et légumes sont déjà en projet. Un premier terminal sera opérationnel sur l'unité portuaire de Skikda. C'est ce qu'a fait savoir l'Association nationale des exportateurs algériens de fruits et légumes, qui révèle qu'" un groupement d'intérêt commun (GIC) est en constitution avec la participation de neuf exportateurs et importateurs d'origines algérienne et française ". Les terminaux spécialisés seront d'un grand apport pour la stimulation des exportations des produits agricoles. Les exportateurs jugent, en effet, que d'importants maillons dans la chaîne d'exportation n'existent pratiquement pas. La collecte, le calibrage, le conditionnement, l'emballage, la transformation, le transport à l'heure et la logistique nécessaires font défaut. Selon des exportateurs qui participent à la création de ce GIC, les problèmes du fret, l'irrégularité des dessertes au départ des ports algériens brisent les volontés.
Dalila B.