Par Shérazade 10 septembre 2019
Algérie – Le bureau de Slimane Chenine à l’APN devra prochainement agir à la demande du ministère de la Justice concernant la levée de l’immunité parlementaire d’une trentaine de députés. Ces derniers seront alors auditionnés par les services de la justice dans diverses affaires de corruption, a-t-on appris de sources bien informée.
Ainsi, le bureau de l’Assemblée nationale avait commencé par traiter la demande de la justice visant à lever l’immunité parlementaire du député et secrétaire général du FLN Mohamed Djemai. Slimane Chenine et ses vice-présidents s’étaient réunis pour étudier ce dossier et le transférer à la commission juridique. De son côté, Mohamed Djemai avait déclaré qu’il comptait volontairement renoncer à son immunité parlementaire. Cependant, la liste de la levée de l’immunité parlementaire contient une trentaine d’autres noms.
Assemblée populaire algérienne : L’heure de la justice a sonné
D’après notre source, la liste de la levée de l’immunité parlementaire est longue. En plus de Mohamed Djemai, de Abderrahmane Benhamadi (Groupe Condor), et de Boudjema Talai, la justice détiendrait pas moins d’une trentaine de dossiers de corruption où des parlementaires y seraient « bien impliqués ». Avant que la justice ne puisse convoquer ces députés pour les auditionner, celle-ci va demander la levée de leur immunité parlementaire. Une garantie pour la justice, afin qu’elle puisse effectuer son travail en toute transparence et indépendance.
Le processus veut que la justice fasse d’abord une requête, qu’elle enverra au président de l’APN. Le président de l’Assemblée populaire transfère alors cette demande au service concerné ; la commission juridique, en l’occurrence. D’après notre source, « les demandes de levée d’immunité se feront petit à petit. Une demande ne pourra contenir que quelques noms. Mais ils seront tous appelés par la justice ». D’après cette même source, il s’agirait principalement de d’anciens ministres devenus députés, d’hommes d’affaires, d’entrepreneurs, d’industriels, de directeurs et de commerçants issus de différentes formations politiques.
Algérie – Le bureau de Slimane Chenine à l’APN devra prochainement agir à la demande du ministère de la Justice concernant la levée de l’immunité parlementaire d’une trentaine de députés. Ces derniers seront alors auditionnés par les services de la justice dans diverses affaires de corruption, a-t-on appris de sources bien informée.
Ainsi, le bureau de l’Assemblée nationale avait commencé par traiter la demande de la justice visant à lever l’immunité parlementaire du député et secrétaire général du FLN Mohamed Djemai. Slimane Chenine et ses vice-présidents s’étaient réunis pour étudier ce dossier et le transférer à la commission juridique. De son côté, Mohamed Djemai avait déclaré qu’il comptait volontairement renoncer à son immunité parlementaire. Cependant, la liste de la levée de l’immunité parlementaire contient une trentaine d’autres noms.
Assemblée populaire algérienne : L’heure de la justice a sonné
D’après notre source, la liste de la levée de l’immunité parlementaire est longue. En plus de Mohamed Djemai, de Abderrahmane Benhamadi (Groupe Condor), et de Boudjema Talai, la justice détiendrait pas moins d’une trentaine de dossiers de corruption où des parlementaires y seraient « bien impliqués ». Avant que la justice ne puisse convoquer ces députés pour les auditionner, celle-ci va demander la levée de leur immunité parlementaire. Une garantie pour la justice, afin qu’elle puisse effectuer son travail en toute transparence et indépendance.
Le processus veut que la justice fasse d’abord une requête, qu’elle enverra au président de l’APN. Le président de l’Assemblée populaire transfère alors cette demande au service concerné ; la commission juridique, en l’occurrence. D’après notre source, « les demandes de levée d’immunité se feront petit à petit. Une demande ne pourra contenir que quelques noms. Mais ils seront tous appelés par la justice ». D’après cette même source, il s’agirait principalement de d’anciens ministres devenus députés, d’hommes d’affaires, d’entrepreneurs, d’industriels, de directeurs et de commerçants issus de différentes formations politiques.
Commentaire