L’avocate générale de la Cour d’assises des Pyrénées-Orientales a requis, mardi 10 septembre, 27 ans de prison ferme contre un homme de 45 ans accusé d’avoir étranglé et battu à mort sa femme algérienne, rapporte le quotidien Franceinfo.
Le média français précise que la jeune femme, d’origine algérienne et âgée de 26 ans, avait découvert l’homosexualité de son mari et souhaitait alors divorcer. Le jour du meurtre, en novembre 2016, la victime et son mari franco-algérien étaient à leur domicile à Perpignan. Le mis en cause a expliqué au juge qu’il a été saisi d’ « une pulsion ingérable » qui l’a poussé à s’attaquer à sa femme avec une clé à cliquet avant de l’étrangler à mort. Le mis en cause avait été ensuite, interpellé à proximité de l’hôtel de police où il était venu se rendre.
La victime était née en Algérie et avait rencontré son époux à l’université, par l’intermédiaire d’un membre de sa famille. Le mariage avait été célébré en 2012 en Algérie, avant de venir en France poursuivre ses études. Lors de l’audience, l’avocate générale Marie-Céline Straub souligne que « l’intention de tuer ne souffre d’aucun doute ». Elle explique que « les causes sont multiples, l’émancipation de son épouse qui voulait divorcer, mais aussi le fait que si elle partait son homosexualité serait révélée ». Elle a requis 27 ans de réclusion criminelle contre l’accusé.
ObsevAlgérie.
Le média français précise que la jeune femme, d’origine algérienne et âgée de 26 ans, avait découvert l’homosexualité de son mari et souhaitait alors divorcer. Le jour du meurtre, en novembre 2016, la victime et son mari franco-algérien étaient à leur domicile à Perpignan. Le mis en cause a expliqué au juge qu’il a été saisi d’ « une pulsion ingérable » qui l’a poussé à s’attaquer à sa femme avec une clé à cliquet avant de l’étrangler à mort. Le mis en cause avait été ensuite, interpellé à proximité de l’hôtel de police où il était venu se rendre.
La victime était née en Algérie et avait rencontré son époux à l’université, par l’intermédiaire d’un membre de sa famille. Le mariage avait été célébré en 2012 en Algérie, avant de venir en France poursuivre ses études. Lors de l’audience, l’avocate générale Marie-Céline Straub souligne que « l’intention de tuer ne souffre d’aucun doute ». Elle explique que « les causes sont multiples, l’émancipation de son épouse qui voulait divorcer, mais aussi le fait que si elle partait son homosexualité serait révélée ». Elle a requis 27 ans de réclusion criminelle contre l’accusé.
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