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Arjuyi/ Belle reprise

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  • Arjuyi/ Belle reprise

    Une des chansons du grand Ait Menguellet Par Tayaqout Koutama

    Je copie le descriptif: Sublime reprise par une voix envoûtante... Vidéo dédiée aux oubliés des guerres de Kippour et d'Amgala.
    Rectificatif sous-titrage : Mon visage identique aux leurs au lieu de siens.... la terre finira par nous lapider.



    “Si je ne brûle pas, si tu ne brûles pas, si nous ne brûlons pas,
    comment veux-tu que les ténèbres deviennent clarté!”

    Nazim Hikmet

  • #2
    Merci du partage, Hirondelle.

    C'est une bombe de silmiya ce texte...

    La description de la guerre est tellement vraie que même Hollywood n'aurait pas fait mieux.

    Widak ig ttdebbiren snulfan-iyid a3dawen...

    La chute est extraordinaire : sligh s teqcic terna semmiy-as lehna ahat atelhu d lfal.

    La reprise et le montage sont excellents.
    "Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien."
    Socrate.

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    • #3
      Ait Mengullet: "tameghra"

      The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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      • #4
        sligh s teqcic terna semmiy-as lehna ahat atelhu d lfal.
        elfamilia,
        Nchallah d lfal nelxir..

        Ps : merci Hirondelle pour ce texte pacifiste qui tombe dans le contexte

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        • #5
          tawnza,
          J'ai un ami qui a prénommé sa fille Lehna.
          "Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien."
          Socrate.

          Commentaire


          • #6
            Familia,
            Joli..
            J'aime bien tiziri aussi..

            Dans la chanson lounis dit tiziri tved af yezra..

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            • #7
              Heu Nagh,
              tiziri id idhehnen tighaltine..
              Il compare la lueur des étoiles à l'huile (d'olive) qui fzit briller les collines.

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              • #8
                tjs un plaisir de lire tes commentaires ElFamilia, on apprend tjs avec toi!

                Tawenza

                idhehnen ne serait ce pas dans sens 'peindre'?

                Bonsoir et au revoir
                “Si je ne brûle pas, si tu ne brûles pas, si nous ne brûlons pas,
                comment veux-tu que les ténèbres deviennent clarté!”

                Nazim Hikmet

                Commentaire


                • #9
                  http://www.algerie-dz.com/forums/sho...10&postcount=1

                  Que s’est-il passé, cette nuit
                  Des cris, le village fut choqué
                  Les gens, dans les rues, furent sortis
                  Le clair de lune éclairant
                  Dans la lumière, on passa
                  Ce que l’on porta
                  Au dessus des têtes, le voyant

                  Le lendemain, au lever
                  Je n’étais pas au courant
                  On l’enterra, moi, absent
                  Alors qu’au village, étant
                  Comme qui dirait : je te battrais
                  Et je te jurerai
                  Si tu cries, je me plaindrais


                  Tout ce qu’on a dit
                  C’est avec des si
                  Donné à l’automne, par l’été
                  Patience, si je te dis
                  Pourquoi tu me le dis
                  C’est une patience obligée
                  Qu’on dise bas, qu’on crie
                  Qu’on pleure ou qu’on rie
                  Le lourd ne sera pas allégé

                  Attends-moi, attends-moi
                  On m’appelle pour faire la guerre
                  C’est pour eux, prioritaire
                  Attends-moi


                  Je dois te dire, attends
                  Sans trop m’attarder
                  Tu sais ce nous affectant
                  Je dois partir, maintenant
                  Ce qui arrive l’acceptant
                  Les nouvelles au revenant
                  Quand j’arriverai
                  Là-bas, je t’écrirai
                  Ce m’affectant, te le conterai

                  Attends-moi, attends-moi
                  Les décideurs m’ont, ainsi
                  Inventé des ennemis
                  Attends-moi


                  Dans le train, montant
                  Les compagnons trouvés
                  Nos visages se ressemblaient
                  Tels que les voyant
                  A eux, ressemblant
                  Frappés par le même fouet
                  Je suis là, si vous tombez
                  Si je tombe, vous êtes présents
                  Et frères, dans l’adversité

                  Attends-moi, attends-moi
                  On m’envoie pour me battre, et
                  Je ne sais si je reviendrai
                  Attends-moi


                  A notre arrivée
                  Nombreux, on était
                  Au loin, le tonnerre grondant
                  Ils se changent, me changeant
                  Les vêtements enlevés
                  Attendront ma destinée
                  Peur à ce moment
                  Les minutes, comptant
                  Qui reviendrait vous dirait

                  Attends-moi, attends-moi
                  Un collier, mon nom se lient
                  Et dans mes mains, un fusil
                  Attends-moi


                  Parfois, t’oubliant
                  Enlevé par le fer
                  D’entre mes yeux, t’enlevant
                  Chaleur et poussière
                  N’ont besoin de propos
                  Ceux tournant dans mon cerveau
                  Un jour passe, encore
                  Demain, il reviendra
                  Égarés, mes calculs, là

                  Attends-moi, attends-moi
                  Sable et soleil chauffant
                  Et balles brûlantes s’ajoutant
                  Attends-moi


                  J’apprends qu’une fille est née
                  Appelle-la : Paix
                  Un bon présage, espérant
                  De la guerre, lassés
                  Assez bataillé
                  Ou la terre nous caillasserait
                  Tristes quand nous tuons
                  Gais, quand nous restons
                  Au conflit, son tour, enlèverons

                  Attends-moi, attends-moi
                  Chacun, chez lui, retournant
                  Et ses blessures, les pansant
                  Attends-moi.
                  The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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                  • #10
                    Nacereddine, merci
                    La vidéo de Tayaqout est sous titrée aussi
                    “Si je ne brûle pas, si tu ne brûles pas, si nous ne brûlons pas,
                    comment veux-tu que les ténèbres deviennent clarté!”

                    Nazim Hikmet

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                    • #11
                      Hirondelle,

                      Ok ça doit être peindre aussi..

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                      • #12
                        aussi belle soit le reprise, rien ne vaut l'original... el qelb yetza3ze3 en l'écoutant lui...


                        “Si je ne brûle pas, si tu ne brûles pas, si nous ne brûlons pas,
                        comment veux-tu que les ténèbres deviennent clarté!”

                        Nazim Hikmet

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                        • #13
                          Tawenza,
                          Entre « tbed » et «tedhen» on dirait qu'il y a une belle nuance.
                          Sur les collines, tiziri s'étale. Tandis que sur les pierres, elle rayonne, en se mettant debout.

                          el qelb yetza3ze3 en l'écoutant lui...
                          Et ce dès la première note.
                          "Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien."
                          Socrate.

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                          • #14
                            familia,

                            mam dit tjrs adhen seksu (huile d'olive cela s'entend)
                            on dit seksu ach3thane ithechith u fuhaneoeilfermé

                            qd on met de l'huile, le couscous brille voire scintille.

                            au même temps dhane = peinture.. ce terme ne vient pas de l'arabe d'ailleurs c de l'algérien...
                            puis je vais fermer ma gueule car j'en ai marre

                            une der qui m'émeus pour tjrs.. talemest iggeni-- littéralement le milieu du ciel ! une très belle image pour dire le soleil de la vie.
                            Dernière modification par tawenza, 30 septembre 2019, 10h16.

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                            • #15
                              thaggi tmdint iw umb3ad dayen fukegh aghani assaggi..
                              laissez moi aller bosser sinon je serai rigolo cette aprèm..

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