Abdelaziz Rahabi dénonce l’arrestation de Karim Tabbou
TSA - 10:34 - Politique
Le placement en détention de Karim Tabbou continue de susciter des réactions au sein de la classe politique. Abdelaziz Rahabi a qualifié, ce samedi 14 septembre, d’ « inacceptable » la décision d’arrêter et de placer en détention le porte-parole de l’UDS et ex-premier secrétaire du FFS.
« La décision d’arrêter et d’emprisonner un opposant politique est inacceptable. Elle représente la poursuite de l’instrumentalisation politique habituelle de la justice et une restriction des libertés individuelles et collectives », écrit l’ancien diplomate dans une déclaration.
« Le pouvoir appelle à une solution politique et à la participation à des élections programmées. Dans le même temps, il créé un environnement inapproprié pour l’action politique qui se caractérise par la restriction de l’action politique et des pressions sur les médias », ajoute-t-il.
« Cette dualité ne sert ni la confiance ni l’apaisement. Elle alimente l’extrémisme politique », poursuit M. Rahabi.
« Karim Tabbou a le droit, comme tout citoyen algérien, de donner son avis sur l’Etat et ses institutions. Il a également le droit de s’opposer politiquement au projet de sortie de crise du commandement de l’armée », affirme l’ex-diplomate.
« La liberté d’opinion est un pilier des droits de l’Homme. Elle fait partie du combat politique pacifique pour lequel des millions d’Algériens sont sortis pour une Algérie forte où régnera la justice », conclut-il.
TSA - 10:34 - Politique
Le placement en détention de Karim Tabbou continue de susciter des réactions au sein de la classe politique. Abdelaziz Rahabi a qualifié, ce samedi 14 septembre, d’ « inacceptable » la décision d’arrêter et de placer en détention le porte-parole de l’UDS et ex-premier secrétaire du FFS.
« La décision d’arrêter et d’emprisonner un opposant politique est inacceptable. Elle représente la poursuite de l’instrumentalisation politique habituelle de la justice et une restriction des libertés individuelles et collectives », écrit l’ancien diplomate dans une déclaration.
« Le pouvoir appelle à une solution politique et à la participation à des élections programmées. Dans le même temps, il créé un environnement inapproprié pour l’action politique qui se caractérise par la restriction de l’action politique et des pressions sur les médias », ajoute-t-il.
« Cette dualité ne sert ni la confiance ni l’apaisement. Elle alimente l’extrémisme politique », poursuit M. Rahabi.
« Karim Tabbou a le droit, comme tout citoyen algérien, de donner son avis sur l’Etat et ses institutions. Il a également le droit de s’opposer politiquement au projet de sortie de crise du commandement de l’armée », affirme l’ex-diplomate.
« La liberté d’opinion est un pilier des droits de l’Homme. Elle fait partie du combat politique pacifique pour lequel des millions d’Algériens sont sortis pour une Algérie forte où régnera la justice », conclut-il.
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