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Mohamed Chorfi élu président de l’autorité nationale indépendante des élections

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  • Mohamed Chorfi élu président de l’autorité nationale indépendante des élections

    L’ancien ministre de la justice, Mohamed Chorfi, a été élu président de l’autorité indépendante des élections qui aura pour mission d’organiser le scrutin présidentiel prévu en fin d’année.

    Mohamed Chorfi a occupé le poste de ministre de la justice, garde des sceaux, à deux reprise en 2002 puis en 2012.Il a, par ailleurs, été conseiller enquêteur à la Cour Suprême. Mohamed Chordi a également officié comme secrétaire général du ministère de la justice.

    Il a été désigné comme premier président de l’autorité nationale indépendante des élections créée récemment. Ce dernier aura pour mission de chapeauter l’organisation des élections présidentielles prévues au mois de décembre prochain.

    alg24

  • #2
    Gallek indépendante









    Dernière modification par sako, 15 septembre 2019, 12h21.

    Commentaire


    • #3
      Candidat unique, et cerise sur le gâteau issu de la I3ssaba!...
      Mais ils se foutent de la gueule du monde!!
      "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

      Commentaire


      • #4
        D’après la nouvelle loi concernat cette autorité "indépendante"


        Les candidats devront aussi justifier de 5 années minimum sans appartenance partisane, ne pas occuper de fonction supérieure, ne pas exercer de mandat d’élus que ce soit au sein des assemblée locales ou du Parlement…


        -----------------

        Qui est Mohamed Chorfi ?


        Limogé pour avoir assumé l’affaire Khelil et refusé de mêler la Justice aux chamailleries du FLN

        septembre 16, 2013 - 3:51 apdz 42 Commentaires

        L’ancien ministre de la Justice, Mohamed Charfi, n’a jamais accepté de mêler la justice aux intrigues politiciennes ou à la guerre des clans. Il fait les frais de sa volonté de préserver son autonomie de décision et celle du département dont il avait la charge. Mohamed Charfi a été limogé pour avoir accéléré l'instruction de l'affaire Chakib Khelil et la délivrance d'un mandat d'arrêt international contre lui et sa famille dans l'affaire Sonatrach. Une décision courageuse et historique qui a dû surprendre certains cercles de décideurs et amené les «amis» de l’ancien ministre de l’Energie à prendre leurs précautions pour s’en prémunir, en s’attelant à parasiter l’information dans les médias, distillant dans la presse qu’Interpol ne rechercherait pas Chakib Khelil et évoquant des erreurs de procédure.


        Pour rappel, la justice algérienne avait lancé, le 12 août dernier, des mandats d’arrêt internationaux contre neuf personnes, dont l’ex-ministre de l’Energie. Le procureur général près la cour d’Alger avait affirmé avoir envoyé une convocation à M. Khelil pour comparaître devant les juges algériens et répondre des accusations de corruption sur des marchés conclus entre 2003 et 2011. C’est à la suite du refus du mis en cause de se présenter que des mandats d’arrêt avaient été lancés. L’enquête était encore en cours et promettait de nouveaux rebondissements, mais le départ précipité de Mohamed Charfi risque de tout remettre en cause. Des observateurs craignent même que d’autres subterfuges soient inventés pour ralentir la procédure, voire même classer l’affaire.


        Par ailleurs, on reproche à Charfi d’avoir refusé de mêler son département à la guerre intestine qui ronge le FLN et de valider la tenue de la session extraordinaire du comité central qui a permis, fin août dernier, d’introniser Amar Saïdani, coopté par le clan présidentiel pour s’en servir comme tremplin pour les besoins de la prochaine présidentielle qui s’annonce capitale. Ultime injure à l’Etat de droit et à l’indépendance de la justice, la décision rendue par le Conseil d’Etat sera annulée par un jugement prononcé le lendemain par un simple tribunal administratif. Cet acte flagrant de manipulation et de pervertissement de la justice annonçait, en fait, la disgrâce d’un homme qui est resté intraitable jusqu’au bout.



        A peine Mohamed Charfi a-t-il été remercié, que ses bourreaux actionnent déjà une certaine presse pour attribuer son départ à des accointances politiques avec Ali Benflis, candidat potentiel à la prochaine présidentielle. Envelopper l’éviction de ce ministre courageux dans un emballage politique est une façon de le discréditer et de dévaluer son travail remarquable dans la lutte contre la corruption durant son court passage à la tête du ministère de la Justice.
        R. Mahmoudi


        algerie partriotique

        Mohamed Charfi

        Mohamed Charfi né le 15 octobre 1946 à Oued Zenati (dans la région de Guelma en Algérie) est un juriste et homme politique algérien.
        Diplômé de l'ENA, il sera procureur général à Biskra, Annaba, Sétif, Guelma, Oum El Bouaghi, Constantine et Bejaïa1 entre 1979 et 1989 avant de devenir secrétaire général du ministère de la justice entre 1989 et 1991. Conseiller auprès du président de la république de 1999 à 2002 et depuis 20092.



        Formation et diplômes

        Diplômé de l’ENA section judiciaire, Licence en droit, DEA en sciences criminelles et privées, Doctorat en droit.



        Fonctions politiques, parlementaires et ministérielles

        • 1972-1989 : Magistrat, Juge d’instruction puis Procureur Général au niveau de différentes cours,
        • 1989-1991 : Secrétaire Général au Ministère de la Justice,
        • 1991-1997 : Conseiller à la Cour Suprême, Président de section,
        • juin 2002 : Ministre de la justice, Conseiller à la Présidence de la République,
        • septembre 2012 : Ministre de la justice, garde des Sceaux.

        Wiki..

        Dernière modification par sako, 15 septembre 2019, 12h54.

        Commentaire


        • #5
          Ils n'ont même pas envi de sauvegarder les formes... cette designation montre qu'ils ne souhaitent pas d'élections...
          Othmane BENZAGHOU

          Commentaire


          • #6
            Bensaleh doit convoquer le corps électoral maintenant.
            Assez de temps perdu

            Commentaire


            • #7
              Ça sent le Zeghmati dans l'air..
              Sa touche est là !!

              Ce bonhomme a clairement de l'avenir..

              Vivement des magistrats intègres au sein de cette nouvelle instance

              Commentaire


              • #8
                Hahaha... Chorfi qui a fait un accident de la route en sortant de la caserne de Dely Ibrahim après avoir reçu les ordres de Toufik de lancer un mandat international innaplicaple contre Khelil (le PV de la gendarmerie existe)... il a donné l'ordre à Zeghmati qui s'est empressé de l'exécuter avec vice de forme tel qu'il en devient illégale...

                C'est en effet 2 personnages clefs de la justice indépendante et de l'état de droit... la farce...
                Othmane BENZAGHOU

                Commentaire


                • #9
                  C'est une nouvelle ère.. lol

                  Zeghmati à la Justice et Kaidi à la Sécurité..

                  On verra ce que ça donne..

                  Au pire.. un 2ème Hirak !
                  Au mieux.. une 2ème République !

                  Ainsi va la vie pour un jeune pays de 60 ans..
                  La croissance tout en changeant de régime

                  Commentaire


                  • #10
                    La cour des miracles

                    Envoyé par sako
                    Gallek indépendante


                    Innocent comme un agneau blanc

                    ../..
                    “La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf

                    Commentaire


                    • #11
                      Elections wifi, une clé secrète, un modem : ni vu ni connu.

                      Certains vont se connecter à l'accès le plus puissant, histoire d'avoir un débit machAllah .
                      Les autres ont peur et ne font pas confiance vont rester déconnectés.

                      Commentaire


                      • #12
                        On n'a pas le droit de jouer l'avenir du pays à la roulette russe... de de temps a été perdu par ce régime métastasé qui s'agrippe comme une sensue à la profondeur de l'état...
                        Othmane BENZAGHOU

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                        • #13
                          Il a été elu à main levée (TAZKIA), par qui ? Mystère et boule de gomme





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                          • #14
                            La farce... ils ont levé la main avant de savoir pour qui... ce n'est plus de la série B, c de la série X... du prono de la politique...
                            Othmane BENZAGHOU

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                            • #15
                              On peut démontrer que ces élections sont truquées très facilement.
                              Il suffit de créer des comités qui collectent les cartes d'électeurs qui ne veulent pas participer, faire les comptes et les offrir à cette autorité...
                              La carte d'électeur pourrait être une preuve.

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