Ali Titouche
Dans l’Algérie d’aujourd’hui, il y a bien deux Algérie qui s’affrontent ; une Algérie de la majorité qui veut avancer et devenir un Etat respectueux des valeurs démocratiques et du vivre-ensemble, une Algérie des catégories jeunes, femmes, personnes âgées, enfants qui aspirent, tous, à un pays qui rompt avec les comportements et régimes moyenâgeux. C’est l’Algérie des 48 wilayas qui réclament la libération des Karim Tabou, des détenus de l’étendard Amazigh et de tous les détenus d’opinion. C’est aussi l’Algérie fière de son unité retrouvée, de ses richesses et de son sursaut d’orgueil contre une bande qui a fait de ce pays la risée du monde. C’est l’Algérie de cet islamiste qui tient l’amplificateur de son pendant qu’une femme non-voilée prenait le micro pour parler de démocratie et de la liberté. C’est cette Algérie des pratiquants musulmans qui scandent « Algérie libre et démocratique » à leur sortie des mosquées chaque vendredi. C’est cette Algérie qui chante la joie et qui sourit au monde après des décennies d’isolement ; une Algérie des libertés individuelles et collectives…
Mais il y a une autre Algérie ; une Algérie de la minorité qui veut se maintenir au pouvoir et à maintenir le pays dans le giron des républiques bananières. C’est l’Algérie de ces vieillards, issus de l’ancien pouvoir, qui tentent de sauver un régime aux abois, quitte à mettre le feu dans le pays. C’est l’Algérie du FLN et du RND et des autres organisations opportunistes animés par les intérêts personnels au détriment de l’intérêt de tout un pays décidé à écrire une autre page de son histoire. C’est l’Algérie qui met en prison des manifestants jaloux de leur identité et de la richesse sociolinguistique, culturelle et politique de leur pays. C’est l’Algérie qui stigmatise les régions et les individus pendant que la majorité savoure l’unité retrouvée d’un peuple martyrisé, insulté, divisé, maltraité et sous-estimé pendant toutes ces années post-indépendance. C’est cette Algérie des dictatures moyenâgeuses qui tentent de se perpétuer pendant que la Corée du Nord et autres régimes totalitaires tentent de s’ouvrir sur le monde.
Dans l’Algérie d’aujourd’hui, il y a bien deux Algérie qui s’affrontent ; une Algérie de la majorité qui veut avancer et devenir un Etat respectueux des valeurs démocratiques et du vivre-ensemble, une Algérie des catégories jeunes, femmes, personnes âgées, enfants qui aspirent, tous, à un pays qui rompt avec les comportements et régimes moyenâgeux. C’est l’Algérie des 48 wilayas qui réclament la libération des Karim Tabou, des détenus de l’étendard Amazigh et de tous les détenus d’opinion. C’est aussi l’Algérie fière de son unité retrouvée, de ses richesses et de son sursaut d’orgueil contre une bande qui a fait de ce pays la risée du monde. C’est l’Algérie de cet islamiste qui tient l’amplificateur de son pendant qu’une femme non-voilée prenait le micro pour parler de démocratie et de la liberté. C’est cette Algérie des pratiquants musulmans qui scandent « Algérie libre et démocratique » à leur sortie des mosquées chaque vendredi. C’est cette Algérie qui chante la joie et qui sourit au monde après des décennies d’isolement ; une Algérie des libertés individuelles et collectives…
Mais il y a une autre Algérie ; une Algérie de la minorité qui veut se maintenir au pouvoir et à maintenir le pays dans le giron des républiques bananières. C’est l’Algérie de ces vieillards, issus de l’ancien pouvoir, qui tentent de sauver un régime aux abois, quitte à mettre le feu dans le pays. C’est l’Algérie du FLN et du RND et des autres organisations opportunistes animés par les intérêts personnels au détriment de l’intérêt de tout un pays décidé à écrire une autre page de son histoire. C’est l’Algérie qui met en prison des manifestants jaloux de leur identité et de la richesse sociolinguistique, culturelle et politique de leur pays. C’est l’Algérie qui stigmatise les régions et les individus pendant que la majorité savoure l’unité retrouvée d’un peuple martyrisé, insulté, divisé, maltraité et sous-estimé pendant toutes ces années post-indépendance. C’est cette Algérie des dictatures moyenâgeuses qui tentent de se perpétuer pendant que la Corée du Nord et autres régimes totalitaires tentent de s’ouvrir sur le monde.