Troisième guerre du golf ?

[Anzoul]

Pensez vous qu'il y aurait une guerre entre l'Iran et ses alliés d'une part et l'as et ses alliés d'autre part?

[nacer-eddine06]

Trump est un businessman

prochain twitter pompeo

[nacer-eddine06]

Following the attacks, President Donald Trump tweeted: “Saudi Arabia oil supply was attacked. There is reason to believe that we know the culprit, are locked and loaded depending on verification, but are waiting to hear from the Kingdom as to who they believe was the cause of this attack, and under what terms we would proceed!”

[sekrouf]

Pensez vous qu'il y aurait une guerre entre l'Iran et ses alliés d'une part et l'as et ses alliés d'autre part?

Tu rigoles au moins !

La sécurité du palais royal Yahoudite est assurée par des pakistanais et tu te projettes sur une éventuelle guerre de ces bédouins contre les fins stratèges Perses !!!

[hakimcasa]

Par cette attaque de drones, les saoudiens ont eu un avant-goût de ce qui les attend s'ils s'attaquent à l'Iran.

Donc, non, il n'y aura pas une troisième guerre du Golf.

[samarkand777]

les perses ont inventé le jeu d'échecs.....et les saouds le wahabisme.....donc non! pas de guerre sauf si c'est des autres qui feront cette guerre a la place des saouds (israel,usa)

[sekrouf]

Par cette attaque de drones, les saoudiens ont eu un avant-goût de ce qui les attend s'ils s'attaquent à l'Iran.

Je vois que nos amis Marocains ont un peu forcé sur l'herbe ce soir !
Les Yahouds qui s'attaquent à l'iran

[Anzoul]

C'est vrai que l'histoire guerrière des saouds ne joue pas en leur faveur par rapport à celle des iraniens peuple à l'éducation très spartiate et ayant l'habitude d'une vie austère en rapport avec les bouleversements politiques de cette région,
mais les alliances des saouds sont directes et franches, jusqu'à présent les iraniens évitent le piège dans lequel est tombé saddam avec son aventure Koweïtienne.
Mais imaginez que la forme inconnue d'un semblant de piège politique pousse l'Iran à faire l'irréparable, en envahissant une partie des émirats par exemple, comme les américains n'auront plus la possibilité de dire aux saoudiens un autre mensonge tel celui contre l'Irak en affirmant photos satellites à l'appui que saddam à massé ses troupes à leurs frontières, alors ils vont pousser manu-millitari les saoudiens à la confrontation contre l'Iran avec l'assurance de peser avec toute leurs puissance de feu surtout aérienne pour épauler les soldats saoudiens.
C'est un scénario très possible surtout lorsqu'on sait que depuis bush junior l'Iran était dans l'axe du mal classifié par les américains et de ce fait objet à des stratégies de leurs part.

[zek]

les perses ont inventé le jeu d'échecs.

Les échecs ont bien fait leur première apparition en Inde, mais autour du VIe siècle de notre ère.

http://classes.bnf.fr/echecs/histoire/ind_leg.htm

[Anzoul]

Ce sera une question de jours, moins d'une semaine en tout.

Le journal de Montréal












Attaques en Arabie saoudite: Washington met en cause l’Iran et prépare la riposte



Le président américain, Donald Trump, en compagnie de son ministre de la Défense, Mark Esper.

Le président américain, Donald Trump, en compagnie de son ministre de la Défense, Mark Esper.

Lundi, 16 septembre 2019 11:48
MISE À JOUR Lundi, 16 septembre 2019 17:07
WASHINGTON | Les États-Unis préparaient lundi la riposte après des attaques «sans précédent» contre des installations pétrolières en Arabie saoudite, qui ont réveillé la crainte d’une confrontation militaire avec l’Iran, mis en cause plus ou moins directement par Washington et Ryad.

•

Les tirs de samedi ont entraîné la réduction de moitié de la production de pétrole du premier exportateur mondial et donc porté un coup d’arrêt brutal à l’approvisionnement de la planète en or noir.

Donald Trump, qui s’est dit dès dimanche «prêt à riposter» et sur lequel tous les yeux sont braqués pour savoir s’il va ordonner des frappes contre l’Iran, a réuni lundi son équipe pour faire le point sur la situation.

«Je peux vous dire que c’était une très grosse attaque et notre pays pourrait très facilement y répondre par une attaque beaucoup plus grosse», a prévenu le président américain devant la presse.

Son ministre de la Défense Mark Esper a assuré que le Pentagone travaillait avec les «partenaires» des États-Unis «pour répondre à cette attaque sans précédent et défendre l’ordre international sapé par l’Iran».

«Armes iraniennes»

Comme durant le week-end, lorsqu’il s’est abstenu de mettre nommément en cause l’Iran pourtant pointé du doigt par son secrétaire d’État Mike Pompeo, Donald Trump a laissé une certaine place au doute.

«Il semble» que Téhéran soit derrière les attaques, mais «pour le moment je veux savoir avec certitude qui est responsable», a-t-il dit.

Le locataire de la Maison-Blanche a insisté sur sa volonté de se coordonner avec les autorités saoudiennes pour les «aider». Dimanche, il avait dit «attendre» que Ryad désigne «le coupable».

Or l’Arabie saoudite a fait un pas en ce sens lundi en affirmant que «les armes utilisées dans l’attaque étaient iraniennes», selon les premiers éléments de sa propre enquête qui «se poursuit» pour «identifier l’origine» des tirs.

L’attaque a été revendiquée par les rebelles Houthis du Yémen, soutenus par l’Iran face au gouvernement yéménite appuyé par une coalition militaire dirigée par Ryad.

Mais l’armée saoudienne a rejeté cette version, et Mike Pompeo a estimé qu’il n’y avait aucune preuve que cette «attaque sans précédent contre l’approvisionnement énergétique mondial» soit venue du Yémen.

Et l’Irak, pris en étau entre ses deux grands parrains, Téhéran et Washington, a assuré lundi que le chef de la diplomatie américaine avait reconnu que le territoire irakien, où évoluent de nombreuses milices pro-iraniennes, n’avait pas été utilisé pour lancer ces tirs.

Flambée des prix

L’administration américaine accuse donc l’Iran, mais n’est pas allée à ce stade jusqu’à affirmer que c’est le régime iranien qui a mené l’attaque depuis son propre sol.

Le gouvernement iranien a en tout cas rejeté des accusations «insensées» et «incompréhensibles».

«Le Yémen est la cible de bombardements quotidiens», a lancé le président iranien Hassan Rohani, faisant écho depuis Ankara à la revendication des Houthis. «Le peuple du Yémen a été obligé de répondre. Ils ne font que se défendre», a-t-il martelé.

En visite à Bagdad, le patron de l’Otan Jens Stoltenberg s’est dit lundi, dans un entretien avec l’AFP, «extrêmement inquiet du risque d’escalade», accusant Téhéran de «déstabiliser l’ensemble» du Moyen-Orient.

Cet accès de fièvre intervient alors que Washington et Téhéran ont déjà frôlé la confrontation militaire en juin, lorsque Donald Trump a dit avoir annulé in extremis des frappes contre des cibles iraniennes. Ces dernières semaines, le milliardaire républicain semblait pourtant privilégier la voie diplomatique pour faire retomber la tension et, peut-être, rencontrer Hassan Rohani lors d’un tête-à-tête historique.

L’infrastructure énergétique saoudienne avait déjà été visée par les Houthis notamment en mai et en août.

Mais les attaques de samedi contre l’usine d’Abqaiq et le gisement de Khurais, dans l’est de l’Arabie saoudite, sont d’une autre envergure: elles ont entraîné une chute de moitié de la production saoudienne, à hauteur de 5,7 millions de barils par jour, soit environ 6 % de l’approvisionnement mondial.

Les prix du brut sont montés en flèche. Le baril de référence sur le marché mondial, le Brent de la mer du Nord, a bondi lundi de 14,6 % pour finir à 69,02 dollars, soit sa plus forte progression depuis que ce contrat a été formalisé en 1988.

Dans ce contexte, les autorités saoudiennes étudient la possibilité de reporter l’entrée en Bourse très attendue du géant pétrolier Aramco, ont indiqué lundi à l’AFP des sources proches du dossier.

Donald Trump a assuré lundi que son pays n’avait «pas besoin du pétrole et du gaz du Moyen-Orient», mais a promis «d’aider» ses alliés. Son ministre de l’Énergie, Rick Perry, a tenté de freiner la flambée des cours, soulignant la «quantité substantielle de pétrole disponible».

Il a jugé «prématuré» d’envisager le recours aux réserves stratégiques américaines.

[nacer-eddine06]

ce sera une question de jours, moins d'une semaine en tout.

trump est un chien qui aboie mais ne mord pas

[alibigoud]

trump est un chien qui aboie mais ne mord pas

Vous préférez un président US qui mord mais n'aboie pas ?
Pas moi !
Il a eu Lyndon Johnson qui a engagé son pays dans une guerre contre le Viet-Nam avec l'incident du golf du Tonkin qui a été inventé de toutes pièces ou Georges W Bush qui a attaqué l'Irak grâce à des mensonges sur les armes de destructions massives.
Pour l'instant Donald Trump n'a pas déclenché de guerre..

[Carthage]

L'histoire des drones n'est pas sérieuse à mon avis.

Les sites ciblés sont très éloignés des frontières, les petits drones n'ont qu'une autonomie très limitée.

Pour pouvoir naviguer des centaines de km voire des milliers de km dans ce cas, il faut des gros avions guidés par des satellites.

Naviguer pendant des heures sans être détecté par les radars me semble plus proche de la science fiction.

A mon avis, il s'agit d'un acte de sabotage interne ou un acte d’auto-sabotage pour provoquer une 3ème guerre du golf.

[Discus]

Pensez vous qu'il y aurait une guerre entre l'Iran et ses alliés d'une part et l'as et ses alliés d'autre part?

ce n'est que je le pense seulement , elle est inevitable . je l'ai dit ici meme , avant meme les premiers premices qu'on voit actuellement sur le terrain . cad la guerre Arabie vs houthis , et la main mise de l'iran sur l'irak . autre detail , il faut appeler un chat un chat . c'est une guerre chiito sunnite , qu'on le veuille ou non .

[Anzoul]

L'histoire des drones n'est pas sérieuse à mon avis.

Rien n'empêche qu'elle ne le soit pas.
Un drone n'est pas un jet rapide ou un avion de chasse qui consomment énormément au point d'avoir besoin d'être ravitaillés en vol pour les seconds.
Le drone vole à très grande altitude presque invisible et silencieux et à une très grande autonomie, parfois on parle de drones avec des jours ou des semaines dans le ciel.
Les dizaines de drones utilisés dans l'attaque sont des drones "kamikazes'' bourrés d'explosif.