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Election présidentielle: Des partis déjà partants

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  • Election présidentielle: Des partis déjà partants

    Les réactions de certains partis du paysage politique national n’ont pas tardé dans ce sens.

    Le Front El Moustakbal a rendu publique la candidature officielle de son président Abdelaziz Belaïd à cette élection. Une candidature annoncée samedi, en marge du deuxième congrès du Front, lors duquel Belaïd a été, à la fois, plébiscité pour un deuxième mandat en sa qualité de président.

    Celui-ci a déclaré, à cette occasion, qu’il «était prêt pour la course au poste de premier magistrat du pays», en soulignant que son parti «n’est pas une association ni autre entité à soutenir un quelconque autre candidat».

    Filali Ghouini, président du Mouvement El Islah, a lui aussi annoncé que son parti participera à l’élection présidentielle. Le communiqué remis aux médias à l’issue d’une réunion extraordinaire du bureau national, tenu hier au siège du parti, mentionne «la participation de cette formation politique à l’élection présidentielle selon la formule qui sera décidée par son conseil consultatif, qui tiendra lui aussi une réunion extraordinaire dans les tout prochains jours».

    Cela dit, dans l’entourage du Mouvement, on laisse entendre que l’option la plus dominante, du moins jusque-là, serait celle de soutenir un autre candidat qui partagerait ses idéaux, d’autant plus que cela a déjà été le cas par le passé.

    Le même document note également «l’approbation totale du parti de l’installation de l’Autorité nationale indépendante chargée de l’organisation de l’élection présidentielle, dont le président et les membres devraient œuvrer dans le sens de gagner la confiance de tous les partenaires politiques et surtout l’ensemble des citoyens, et aussi de mener à bien tout le processus électoral, en commençant par élire un président de la République».

    La troisième formation politique qui serait, jusque-là, presque officiellement partante pour l’élection présidentielle est celle de l’ancien chef de gouvernement (sous Bouteflika), Ali Benflis, en l’occurrence, Talaie El Hourriyet.

    Ali Benflis a estimé, en effet, dimanche que «les conditions institutionnelles et légales pour la tenue d’un scrutin présidentiel transparent, régulier et impartial, sont globalement réalisées». Il conditionne, toutefois, la transparence et la réussite de cette élection par «le départ de l’Exécutif actuel, rejeté par le peuple, et son remplacement par un gouvernement de compétences nationales crédibles et respectées».

    Il demande également «la mise en œuvre de l’ensemble des autres mesures mentionnées dans le rapport final du panel pour le dialogue national, qui portent, entre autres, sur des droits et des libertés assurément de nature à aider à créer l’environnement propice à une participation électorale importante».

    Benflis qui serait, vraisemblablement, sur le point d’annoncer officiellement sa candidature à la magistrature suprême, avait déjà participé à deux échéances électorales du genre, à savoir, en 2004 et en 2014, toutes les deux remportées par l’ex-président Abdelaziz Bouteflika.


    l'expressio

  • #2
    La botte au fesses à étais décerner pour qui ?pauvre Algérie' un éternel recommencement.Le pire tous ses énergumènes vont se plaindre du non respect du scrutin' de fraude par l' etoz. jouer le jeux du Cartel FLN/ANP est le sport par excellence en Algérie.

    Commentaire


    • #3
      Election présidentielle: Des partis déjà partants
      tu me fait rire MouKrane
      dz(0000/1111)dz

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