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INFRASTRUCTURES MARITIMES
Huit nouveaux projets pour Alger
Le département des travaux publics s’apprête à lancer huit projets de construction d’infrastructures maritimes qui seront érigées dans leur totalité à Alger. Avant même le coup de starter des travaux concernant tous ces chantiers, il est prévu la réception, au courant du mois prochain de cinq infrastructures du même genre, toujours à Alger. De telles ambitions ne manquent nullement de solennité étant donné que c’est le ministre des Travaux publics, M.Amar Ghoul, lui même, qui en est l’auteur.
Hier, et lors de son énième tournée d’inspection effectuée à Alger, une sortie différente des autres puisqu’elle s’est déroulée en pleine mer, à bord de trois esquifs sur lesquels était embarquée toute la délégation, cadres du ministère et journalistes compris. Le ministre des Travaux publics a beaucoup commenté l’état des lieux des infrastructures maritimes en Algérie.
D’un air désolé, il fera part, en ce sens, de son regret du fait que «les villes côtières de l’Algérie tournent le dos à la mer, alors que pour consacrer un développement à la fois économique et touristique du pays, la mise en place des soubassements d’une relation pérenne entre la ville et la mer constitue incontestablement la nécessité du moment» a-t-il préconisé.
Des propos par lesquels le ministre des Travaux publics laisse entendre qu’il est, en effet, inconcevable que dans le cadre de la dynamique du développement qui n’est plus à démontrer au secteur des travaux publics, la mise en valeur des infrastructures maritimes soit mise à l’écart.
D’autant plus inconcevable si l’on sait que sur le plan économique, l’Algérie souffre d’un énorme déficit en termes d’acheminement de ses échanges internes par voie maritime. En sus, et s’agissant des jetées dont jouit actuellement la côte algérienne, celles-ci sont vétustes et pour la plupart datent de l’époque coloniale. Et c’est ainsi que, de l’avis du ministre des Travaux publics, une action d’envergure interministérielle est désormais enclenchée sur le terrain dans l’objectif justement de rattraper ce grand retard en la matière.
Il s’agit d’une démarche initiée principalement, indique le ministre Ghoul, par le département dont il a la charge, celui des collectivités locales, les ministères de l’Energie et des Mines et du Tourisme. L’objectif de cette action gigantesque au sujet de laquelle Amar Ghoul s’est gardé de révéler son coût global, n’est autre que celui visant la création partout sur la côte algérienne «d’espaces d’échanges économiques, de pêche et aussi de plaisance pour les besoins du développement du tourisme» a encore ajouté le ministre des Travaux publics. S’agissant des répercussions de cette action du secteur dont il est le premier responsable, M.Amar Ghoul notera, en ce sens, le confortement et l’assurance d’une meilleure protection des rivages et aussi la préservation des infrastructures existantes en attendant le réception d’autres qui sont en cours.
Huit nouveaux projets pour Alger
Le département des travaux publics s’apprête à lancer huit projets de construction d’infrastructures maritimes qui seront érigées dans leur totalité à Alger. Avant même le coup de starter des travaux concernant tous ces chantiers, il est prévu la réception, au courant du mois prochain de cinq infrastructures du même genre, toujours à Alger. De telles ambitions ne manquent nullement de solennité étant donné que c’est le ministre des Travaux publics, M.Amar Ghoul, lui même, qui en est l’auteur.
Hier, et lors de son énième tournée d’inspection effectuée à Alger, une sortie différente des autres puisqu’elle s’est déroulée en pleine mer, à bord de trois esquifs sur lesquels était embarquée toute la délégation, cadres du ministère et journalistes compris. Le ministre des Travaux publics a beaucoup commenté l’état des lieux des infrastructures maritimes en Algérie.
D’un air désolé, il fera part, en ce sens, de son regret du fait que «les villes côtières de l’Algérie tournent le dos à la mer, alors que pour consacrer un développement à la fois économique et touristique du pays, la mise en place des soubassements d’une relation pérenne entre la ville et la mer constitue incontestablement la nécessité du moment» a-t-il préconisé.
Des propos par lesquels le ministre des Travaux publics laisse entendre qu’il est, en effet, inconcevable que dans le cadre de la dynamique du développement qui n’est plus à démontrer au secteur des travaux publics, la mise en valeur des infrastructures maritimes soit mise à l’écart.
D’autant plus inconcevable si l’on sait que sur le plan économique, l’Algérie souffre d’un énorme déficit en termes d’acheminement de ses échanges internes par voie maritime. En sus, et s’agissant des jetées dont jouit actuellement la côte algérienne, celles-ci sont vétustes et pour la plupart datent de l’époque coloniale. Et c’est ainsi que, de l’avis du ministre des Travaux publics, une action d’envergure interministérielle est désormais enclenchée sur le terrain dans l’objectif justement de rattraper ce grand retard en la matière.
Il s’agit d’une démarche initiée principalement, indique le ministre Ghoul, par le département dont il a la charge, celui des collectivités locales, les ministères de l’Energie et des Mines et du Tourisme. L’objectif de cette action gigantesque au sujet de laquelle Amar Ghoul s’est gardé de révéler son coût global, n’est autre que celui visant la création partout sur la côte algérienne «d’espaces d’échanges économiques, de pêche et aussi de plaisance pour les besoins du développement du tourisme» a encore ajouté le ministre des Travaux publics. S’agissant des répercussions de cette action du secteur dont il est le premier responsable, M.Amar Ghoul notera, en ce sens, le confortement et l’assurance d’une meilleure protection des rivages et aussi la préservation des infrastructures existantes en attendant le réception d’autres qui sont en cours.
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