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Les importations de l’Algérie devraient baisser d’au moins deux milliards de dollars en 2019, a indiqué ce mardi le ministre du Commerce Said Djellab.
« Nous avons importé pour 46 milliards de dollars en 2018, et pour cette année, la facture sera comprise entre 42 et 44 milliards de dollars », a estimé M. Djellab, sur la Radio nationale.
Les importations globales de l’Algérie (produits, équipements et services) devraient s’établir entre 53 et 55 milliards de dollars en 2019, si on additionne la facture des services, qui selon le ministre avoisine les 11 milliards de dollars par an, dont « quatre milliards de dollars liés à l’expertise étrangère ».
Sur l’incapacité du gouvernement à réduire considérablement les importations, M. Djellab a mis en cause « la structure de notre commerce extérieur qui n’a pas changé ».
« Les importations sont constituées à un tiers de produits finis, un tiers d’équipements et un tiers de matières premières », a précisé M. Djellab, en soulignant que l’Algérie « cherche à réduire les importations des produits finis », en substituant les produits importés par des articles locaux. « Mais la baisse reste faible », a-t-il reconnu.Parmi les produits remplacés figurent les biscuits. « Avant on ramenait les biscuits de la Turquie, ce n’est plus le cas maintenant », a-t-il dit.tsa
« Nous avons importé pour 46 milliards de dollars en 2018, et pour cette année, la facture sera comprise entre 42 et 44 milliards de dollars », a estimé M. Djellab, sur la Radio nationale.
Les importations globales de l’Algérie (produits, équipements et services) devraient s’établir entre 53 et 55 milliards de dollars en 2019, si on additionne la facture des services, qui selon le ministre avoisine les 11 milliards de dollars par an, dont « quatre milliards de dollars liés à l’expertise étrangère ».
Sur l’incapacité du gouvernement à réduire considérablement les importations, M. Djellab a mis en cause « la structure de notre commerce extérieur qui n’a pas changé ».
« Les importations sont constituées à un tiers de produits finis, un tiers d’équipements et un tiers de matières premières », a précisé M. Djellab, en soulignant que l’Algérie « cherche à réduire les importations des produits finis », en substituant les produits importés par des articles locaux. « Mais la baisse reste faible », a-t-il reconnu.Parmi les produits remplacés figurent les biscuits. « Avant on ramenait les biscuits de la Turquie, ce n’est plus le cas maintenant », a-t-il dit.tsa
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