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Intervenant hier à Rome, lors de la conférence tenue avec les représentants des sociétés italiennes partenaires de Sonatrach, le ministre de l’Énergie et des Mines, M. Chakib Khelil, les a exhortés à s’impliquer davantage pour la concrétisation de ce projet qui constituera une plaque tournante dans le marché énergétique mondial. Après les explications d’usage sur les données techniques et les retombées de cet important ouvrage communiquées par des responsables de Sonatrach, le ministre a indiqué que toutes les études techniques, juridiques, fiscales et économiques ont été finalisées et que l’Algérie est déterminée à faire démarrer le Galsi d’ici la fin 2010 ou, au plus tard, au début 2011.
Le ministre, qui s’est déclaré réjoui de l’intérêt de plus en plus croissant manifesté par les entreprises italiennes pour ce projet, comme l’atteste la présence massive de leurs représentants à cette conférence, a appelé les entreprises de petite et moyenne dimension, non desservies par les fournisseurs traditionnels, à faire acte de candidature pour la commercialisation du gaz, notamment pour la partie affectée à la Sonatrach (4 milliards de m3), dans le cadre du projet Galsi et de l’extension du gazoduc Mattei.
M. Khelil a déclaré que cette nouvelle stratégie de Sonatrach vise particulièrement cette catégorie d’entreprises car ce marché, “délaissé par les grandes entreprises, est d’un intérêt certain”. “Nous sommes ouverts à toute proposition et tout se fait dans la transparence totale”, a souligné le ministre qui n’a pas manqué de rappeler à l’attention de l’assistance qu’il ne faudrait pas attendre que “le projet soit totalement opérationnel pour montrer son intérêt”. En attendant la conclusion de l’accord intergouvernemental qui serait en “bonne voie”, le ministre a indiqué que sa visite de deux jours en Italie s’inscrivait également dans ce cadre. “Ma visite est d’accélérer ce processus et de lever quelques contraintes qui se poseraient dans le cadre de cet accord, notamment la question de l’unicité du projet”, a-t-il souligné.
“Le Galsi est un projet stratégique et un signal fort, prometteur et rassurant pour tous les consommateurs”, a souligné hier, quant à lui, le P-DG de Sonatrach, M. Mohamed Meziane, à l’ouverture de la conférence qui s’est tenue à Rome avec les partenaires italiens de la société algérienne.
Le Galsi, en tant que “nouvelle route d’approvisionnement du marché européen est appelé à jouer un rôle privilégié dans les objectifs” que s’est fixés la Sonatrach à l’horizon 2010, a-t-il indiqué devant un parterre composé de représentants d’entreprises du secteur énergétique italien.
M. Meziane a rappelé tout d’abord la stratégie gazière de son entreprise “résolument tournée vers l’Europe”, qui permet à l’Algérie d’être un des trois principaux fournisseurs de gaz au Vieux Continent en y consacrant près de 95% de ses exportations. Après avoir rappelé que le projet bénéficie “d’appuis institutionnels incontestables”, M. Meziane a indiqué que les deux parties sont dans l’attente de l’aboutissement des discussions pour la signature d’un accord intergouvernemental ayant pour objet notamment d’identifier le statut juridique des différents tronçons, d’harmoniser les délais de réalisation des différents tronçons et de déterminer le régime fiscal à chaque tronçon afin d’éviter la double imposition.
source : Liberté
Le ministre, qui s’est déclaré réjoui de l’intérêt de plus en plus croissant manifesté par les entreprises italiennes pour ce projet, comme l’atteste la présence massive de leurs représentants à cette conférence, a appelé les entreprises de petite et moyenne dimension, non desservies par les fournisseurs traditionnels, à faire acte de candidature pour la commercialisation du gaz, notamment pour la partie affectée à la Sonatrach (4 milliards de m3), dans le cadre du projet Galsi et de l’extension du gazoduc Mattei.
M. Khelil a déclaré que cette nouvelle stratégie de Sonatrach vise particulièrement cette catégorie d’entreprises car ce marché, “délaissé par les grandes entreprises, est d’un intérêt certain”. “Nous sommes ouverts à toute proposition et tout se fait dans la transparence totale”, a souligné le ministre qui n’a pas manqué de rappeler à l’attention de l’assistance qu’il ne faudrait pas attendre que “le projet soit totalement opérationnel pour montrer son intérêt”. En attendant la conclusion de l’accord intergouvernemental qui serait en “bonne voie”, le ministre a indiqué que sa visite de deux jours en Italie s’inscrivait également dans ce cadre. “Ma visite est d’accélérer ce processus et de lever quelques contraintes qui se poseraient dans le cadre de cet accord, notamment la question de l’unicité du projet”, a-t-il souligné.
“Le Galsi est un projet stratégique et un signal fort, prometteur et rassurant pour tous les consommateurs”, a souligné hier, quant à lui, le P-DG de Sonatrach, M. Mohamed Meziane, à l’ouverture de la conférence qui s’est tenue à Rome avec les partenaires italiens de la société algérienne.
Le Galsi, en tant que “nouvelle route d’approvisionnement du marché européen est appelé à jouer un rôle privilégié dans les objectifs” que s’est fixés la Sonatrach à l’horizon 2010, a-t-il indiqué devant un parterre composé de représentants d’entreprises du secteur énergétique italien.
M. Meziane a rappelé tout d’abord la stratégie gazière de son entreprise “résolument tournée vers l’Europe”, qui permet à l’Algérie d’être un des trois principaux fournisseurs de gaz au Vieux Continent en y consacrant près de 95% de ses exportations. Après avoir rappelé que le projet bénéficie “d’appuis institutionnels incontestables”, M. Meziane a indiqué que les deux parties sont dans l’attente de l’aboutissement des discussions pour la signature d’un accord intergouvernemental ayant pour objet notamment d’identifier le statut juridique des différents tronçons, d’harmoniser les délais de réalisation des différents tronçons et de déterminer le régime fiscal à chaque tronçon afin d’éviter la double imposition.
source : Liberté