Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Comment le Maroc a neutralisé l’effet Bolton sur le Sahara

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Comment le Maroc a neutralisé l’effet Bolton sur le Sahara

    Le président américain, Donald Trump, a surpris l'opinion publique internationale en décidant de renvoyer le conseiller à la Sécurité nationale John Bolton.

    Malgré l’affinité idéologique entre Bolton et Trump, leur aversion à l’égard de l’ONU et du multilatéralisme, la divergence des points de vue des deux hommes sur plusieurs décisions de politique étrangère a rendu leur cohabitation intenable.

    Compte tenu de la nature des déclarations que Trump a faites à propos de Bolton depuis mai dernier, il était devenu évident pour les observateurs à Washington que son départ de l'administration Trump n'était plus qu’une question de temps.

    Les tentatives de Bolton d'entraîner les États-Unis dans une guerre contre l'Iran, sa politique infructueuse au Venezuela, son désaccord avec la décision de Trump de tendre la main de la paix au président nord-coréen et son rejet de la décision de Trump de tenir une réunion secrète avec les talibans à Camp David ont accéléré son départ de l'administration américaine.

    Le départ de Bolton est une bonne nouvelle pour la diplomatie marocaine, qui a redoublé ses efforts pendant les 17 derniers mois pour le neutraliser et l’empêcher de nuire aux intérêt stratégiques du Maroc.

    Après avoir travaillé sur la question du Sahara lorsqu'il était fonctionnaire au Département d'Etat et assistant de l'Envoyé personnel du Secrétaire général, James Becker, de 1997 à 2004, dès sa nomination en avril 2018, Bolton a essayé de peser de tout son poids politique pour amener le Conseil de sécurité à accélérer la cadence du processus politique afin de mettre fin au conflit du Sahara.

    Le parti-pris de Bolton contre le Maroc

    Depuis qu'il a quitté son dernier poste officiel au gouvernement américain en 2006, Bolton n’a eu de cesse de reprocher au Maroc l'échec des efforts déployés par l'Onu pour résoudre le conflit. Il s’en est également pris à l'Onu et l’a accusée de ne pas avoir la volonté politique d'imposer une solution contraignante aux parties. Par ailleurs, Bolton a régulièrement insisté sur la nécessité de permettre aux Sahraouis d'exercer leur droit à l'autodétermination par le biais d'un référendum.

    Une analyse des déclarations de Bolton sur le conflit depuis plus de dix ans ne laisse aucun doute qu’il était aigri par son incapacité, ainsi que celle de James Baker, à mettre fin au conflit. Il a donc profité de sa présence à la tête du Conseil de sécurité nationale pour influer sur le processus politique onusien et s’assurer que l’issue du conflit soit conforme à ses convictions personnelles. Or, la position personnelle de Bolton sur le conflit s'écarte de la position officielle adoptée depuis vingt ans par les administrations américaines successives, à savoir maintenir une position de neutralité positive, avec un soutien tacite à la position marocaine.

    L'intérêt personnel de Bolton pour la question du Sahara était évident depuis le début de sa nomination comme conseiller à la Sécurité nationale. Sa nomination a coïncidé avec la présentation par le Secrétaire général de l’Onu de son rapport annuel sur le Sahara, en avril 2018, et avec les délibérations du Conseil de sécurité sur la résolution annuelle du conflit.

    L’impact de Bolton s’est fait sentir dans l’adoption de la résolution 2414, qui a renouvelé le mandat de la Minurso pour une période de six mois seulement au lieu d’un an. Le raccourcissement du mandat de la Minurso visait à faire pression sur le Maroc et le Polisario afin qu’ils fassent preuve de bonne foi et de détermination à parvenir à une solution finale.

    Depuis avril 2018, le Conseil de sécurité a adopté trois résolutions, la dernière étant la résolution 2468, qui a prorogé le mandat de la Minurso de six mois. Le raccourcissement du mandat de la Minurso et la pression exercée par les États-Unis sur les parties ont ouvert la voie à la tenue de deux tables rondes à Genève, en décembre 2018 et mars 2019, sous les auspices de l'ancien représentant personnel du Secrétaire général, Horst Köhler.

    L’obsession de Bolton

    La détermination de Bolton à suivre personnellement le conflit, ainsi qu’à à accélérer et orienter sa résolution, était manifeste dans son discours de décembre 2018 à la Heritage Foundation. Au cours de son allocution, il a exprimé sa frustration devant l’échec du Conseil de sécurité dans la gestion du conflit ainsi que l’échec de la Minurso dans l’organisation d’un référendum d’autodétermination. Bolton a également exprimé son engagement personnel et la détermination de l’administration américaine à remédier à l’incapacité du Conseil de sécurité à trouver une solution définitive au conflit.

    Le ton du discours prononcé par Bolton a surpris les observateurs, dans la mesure où il semblait déterminé à remettre la question du referendum au goût du jour et à en faire la priorité de son action diplomatique.

    Le discours fut prononcé près d’un mois après la signature par l’Algérie d’un contrat avec le bureau de lobbying Keene Consulting, propriété de l’ami proche de Bolton, David Keene. Ces deux événements laissaient croire que le tandem Keene et Bolton étaient déterminés à joindre leurs efforts en vue d’orienter l’issue du processus politique onusien au profit de l'Algérie et du Polisario.

    Depuis la nomination de Bolton en tant que conseiller pour la Sécurité nationale, j’en ai appelé à la diplomatie marocaine pour agir rapidement et mobiliser toutes ses énergies, ses ressources humaines et ses contacts à Washington pour déjouer ses plans et l’empêcher de porter atteintes aux intérêts stratégiques du Maroc et à ses relations stratégiques avec les Etats-Unis.

    J'ai suggéré que l'une des solutions à la disposition du Maroc pour neutraliser Bolton consistait à s’attirer les bonnes grâces du secrétaire d'État Mike Pompeo, connu pour son affinité avec Trump, pour faire partie du cercle restreint du président et pour ne pas avoir de relations amicales avec Bolton.

    Malgré le poids politique et la forte personnalité de Bolton, il était évident qu’il ne pouvait prendre à lui seul aucune décision de politique étrangère ni l’imposer à l’administration américaine. Beaucoup de parties prenantes interviennent dans le processus décisionnel américain, y compris le département d'État, le département de la Défense et la Maison-Blanche qui a le dernier mot dans la prise de décision.

    Un bilan plutôt positif pour le Maroc


    L’analyse des derniers développements du processus politique au cours des 17 mois de mandat de Bolton montre qu’il a été plus positif pour le Maroc que beaucoup ne l’imaginaient. Le Maroc a fait preuve de sagesse et de résilience face à ce que les médias ont surnommé "l’effet Bolton".

    Malgré la décision du Conseil de sécurité de raccourcir le mandat de la Minurso, les trois résolutions adoptées par le Conseil de sécurité depuis avril 2018 ont permis au Maroc d’obtenir des résultats diplomatiques qu’il n’avait pas atteints avant 2018.

    Les résolutions 2414, 2440 et 2468 illustrent cette avancée diplomatique du Maroc, dans la mesure où elle insistent toutes sur la nécessité de parvenir à une "solution politique réaliste, réalisable et durable à la question du Sahara occidental basée sur le compromis". Ces résolutions sont les premières dans lesquelles le Conseil de sécurité souligne d’une manière claire que les parties doivent faire preuve de réalisme pour parvenir à une solution pratique et durable.

    La nouvelle approche du Conseil de sécurité signifie qu’une solution gagnant-perdant n’est plus à l’ordre du jour, ce qui est conforme à la position du Maroc. Rabat a longtemps réitéré que sa proposition d’autonomie est une solution à même de sauvegarder les intérêts de toutes les parties, y compris du Polisario, tout en préservant la souveraineté du Maroc sur le Sahara.

    Par ailleurs, le préambule de la résolution 2468 contient un nouveau libellé pro-marocain, dans la mesure où le Conseil de sécurité réitère son engagement à aider les parties à parvenir à une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable, basée sur le compromis. L’expression « basée sur le compromis » a été ajoutée par rapport aux résolutions précédentes, ce qui montre, encore une fois, que le Conseil de sécurité n'imposera aucune solution qui ne soit pas basée sur un compromis.

    Ce qui confirme ce constat est le fait que l’expression « basée sur le compromis » figure trois fois dans la résolution 2414, quatre fois dans la résolution 2440 et cinq fois dans la résolution 2468.

    Le libellé des nouvelles résolutions n’a pas été aussi largement utilisé dans les résolutions précédentes. L'expression « basée sur le compromis » n'a été mentionnée qu'une seule fois dans les résolutions adoptées depuis 2007, à l'exception des résolutions 1754 et 1783, qui ne l'incluaient pas du tout.

    De plus, les résolutions 2440 et 2468 ont mentionné l'Algérie et y font référence sur un pied d'égalité avec le Maroc. Il s'agit d'un changement sans précédent dans le langage adopté par le Conseil sur cette question depuis le début du processus politique en 2007. Si l'importance de la participation de l'Algérie au processus politique a été mentionnée à trois reprises dans la résolution 2440, elle a été mentionnée à cinq reprises dans la résolution 2468.

    Le libellé des deux dernières résolutions indique que le Conseil de sécurité s’oriente progressivement à considérer l'Algérie comme une partie prenante au conflit. Ce changement est conforme à la position du Maroc. Le Maroc a longtemps insisté pour que l'Algérie soit considérée comme une partie à part entière au conflit et sur le fait que le différend ne pourrait être résolu tant que l'Algérie ne serait pas perçue comme telle.

    Par conséquent, on pourrait affirmer que le Maroc est non seulement sorti indemne du mandat de Bolton dans l’administration de Trump, mais il a également réalisé des gains diplomatiques importants qu’il n’avait pas pu réaliser par le passé.

    Le Maroc a vraisemblablement tiré profit de la relation personnelle houleuse entre Bolton et le secrétaire d’État Mike Pompeo. À Washington, il était de notoriété publique que l’animosité entre les deux responsables américains était telle qu’ils communiquaient entre eux à travers des intermédiaires. Il semblerait que le Maroc ait profité de ces circonstances pour s’attirer les bonnes grâces du secrétaire d'État américain et des hauts fonctionnaires du département d'État et les convaincre de maintenir la position américaine traditionnelle dans le conflit et d'empêcher Bolton d'imposer ses propres convictions et son agenda personnel.

    Il semblerait que Maroc ait également réussi à faire passer son message à la Maison-Blanche par le truchement du gendre et conseiller principal du président Trump, Jared Kushner. Kushner a effectué deux visites au Maroc en 2019. Lors de la première, il fut reçu par le roi Mohammed VI. Ces deux visites portent à croire que la diplomatie marocaine a réussi à faire passer son message au président Trump via son gendre, neutralisant ainsi Bolton et l’empêchant de nuire aux intérêts du Maroc ou d’affecter négativement les relations entre Rabat et Washington.

    Le président Trump est l’ultime décideur dans l’administration américaine actuelle. Si le Maroc réussissait à se rapprocher de ses plus proches collaborateurs, il serait en mesure de se prémunir contre les tentatives de ses adversaires visant à contrecarrer ses efforts de préserver ses acquis diplomatiques, ainsi que sa souveraineté sur le Sahara.
    Samir Bennis

  • #2
    LES AMERICAINS NE SONT PAS TOUS ET TJRS DES INGRATS

    ET SURTOUT PAS AVEC LE Maroc pays qui a été le premier a les redonnaitre

    Commentaire


    • #3
      IL N'Y PAS DE FUMEES SANS FEU: OU SE SONT ENVOLES LES 1000 MILLIARDS $ ????? !!!!!!!

      Le 9 mai dernier, sur la base de révélations fracassantes faites par le président du Forum sahraoui-canarien, Miguel Ortiz, qu’Alger versait une mensualité de 26.000 euros (286.000 dirhams) au profit d’une firme-conseil américaine, nommée Keene Consulting, dirigée par David Keene, qui fait partie du cercle d’influence de John Bolton.

      David Keene, ancien président de l' Association (NRA), grand ami de Bolton en tant que chargé des Affaires internationales. Des accointances sur fond d’affairisme que l’un et l’autre ont mises au service du polisario et d’Alger qui est passée championne de «la diplomatie de la valise»!

      La tarte de la diplomatie de la valise du contribuable du peuple Algérien a été partagée en grande partie avec et par le lobbysm de ces deux personnes bien introduites dans la maison blanche

      Commentaire


      • #4
        O'brien

        o'brien

        a des liens etroits avec le lobby texan en lien avec sidek

        bon retourne a l endroit qui te sied bien
        The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

        Commentaire


        • #5
          IL N'Y PAS DE FUMEES SANS FEU: OU SE SONT ENVOLES LES 1000 MILLIARDS $ ????? !!!!!!!

          Le 9 mai dernier, sur la base de révélations fracassantes faites par le président du Forum sahraoui-canarien, Miguel Ortiz, qu’Alger versait une mensualité de 26.000 euros (286.000 dirhams) au profit d’une firme-conseil américaine, nommée Keene Consulting, dirigée par David Keene, qui fait partie du cercle d’influence de John Bolton.

          David Keene, ancien président de l' Association (NRA), grand ami de Bolton en tant que chargé des Affaires internationales. Des accointances sur fond d’affairisme que l’un et l’autre ont mises au service du polisario et d’Alger qui est passée championne de «la diplomatie de la valise»!

          La tarte de la diplomatie de la valise du contribuable du peuple Algérien a été partagée en grande partie avec et par le lobbysm de ces deux personnes bien introduites dans la maison blanche

          ***
          Nos "frères" algériens n'hésitent pas à collaborer et a financer le grand Satan quand ça les arrangent !!!

          Commentaire


          • #6
            IL N'Y PAS DE FUMEES SANS FEU: OU SE SONT ENVOLES LES 1000 MILLIARDS $ ????? !!!!!!!

            Le 9 mai dernier, sur la base de révélations fracassantes faites par le président du Forum sahraoui-canarien, Miguel Ortiz, qu’Alger versait une mensualité de 26.000 euros (286.000 dirhams) au profit d’une firme-conseil américaine, nommée Keene Consulting, dirigée par David Keene, qui fait partie du cercle d’influence de John Bolton.

            David Keene, ancien président de l' Association (NRA), grand ami de Bolton en tant que chargé des Affaires internationales. Des accointances sur fond d’affairisme que l’un et l’autre ont mises au service du polisario et d’Alger qui est passée championne de «la diplomatie de la valise.

            La tarte de la diplomatie de la valise du contribuable du peuple Algérien a été partagée en grande partie avec et par le lobbysm de ces deux personnes bien introduites dans la maison blanche

            ET ........ ?????? ........!!!!!!!!!!!

            Commentaire


            • #7
              a des liens etroits avec le lobby texan en lien avec sidek XXXXX bon retourne a l endroit qui te sied bien
              @

              "CHA3BANE ET RAMDANE SONT DEUX MOIS DE MEME INTENSITE, MAIS DE SENS CONTRAIRES"

              Le Marocain défend l'intégrité territoriale de son pays PAR TOUS MOYENS (a et est dans son droit comme bon lui semble), il a contribué et a aidé son frère Algérien à libérer ses territoires et acquérir l'indépendance de son pays

              Les gouvernants d'Alger avec leur F.L.N. n'ont jamais pensé à aider leur frère et voisin Marocain et ont été capables d'affamer et d'assoiffer tous les peuples de la région et celui de l'Algérie en particulier: tu le sais ou pas ???????

              TU SAISIS LA DIFFERENCE ENTRE "CHA3BANE ET RAMDANE" ????????

              Commentaire


              • #8
                Le Marocain défend l'intégrité territoriale de son pays PAR TOUS MOYENS (a et est dans son droit comme bon lui semble), il a contribué et a aidé son frère Algérien à libérer ses territoires et acquérir l'indépendance de son pays
                ne pleure pas je n ai plus de kleenex
                The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

                Commentaire


                • #9
                  Tu sais très bien qui pleurent et qui pleurnichent ces derniers temps .

                  Commentaire


                  • #10
                    " Si le Maroc réussissait à se rapprocher de ses plus proches collaborateurs, il serait en mesure de se prémunir contre les tentatives de ses adversaires visant à contrecarrer ses efforts de préserver ses acquis diplomatiques, ainsi que sa souveraineté sur le Sahara."

                    N'importe quoi! A l'instar d'Israël en Palestine, le Maroc colonise le Sahara Occidental!

                    Pour preuve, afin d'adhérer à l'Union africaine (UA), la dictature marocaine fut contrainte de ratifier préalablement l'Acte constitutif de l'UA qui requiert que ses membres se reconnaissent mutuellement.

                    Commentaire


                    • #11
                      Le faucon Bolton aurait pu handicaper la réélection du fou Trump.

                      -Décrypter le Renvoi de Bolton

                      C’était très important que le président Donald Trump limoge son conseiller en sécurité nationale, John Bolton, plutôt que de le laisser démissionner. Mais cela n’efface en rien le risque pour Trump en matière de politique étrangère et ses initiatives avec la Corée du Nord, les Taliban et l’Iran.

                      Trump doit maintenant minimiser son exposition à ce risque. Sa meilleure chance de victoire diplomatique est probablement avec la Corée du Nord. La présidence de Trump et sa politique étrangère sont étroitement liées à ce qui s’est passé avec Bolton. Si la proposition de Bolton de démissionner – apparemment considérée la nuit précédant son licenciement – avait été soumise, Trump aurait dû l’accepter ou la rejeter, mais il ne pourrait pas renvoyer Bolton. Il est donc clair qu’il l’a repoussée et l’a viré le lendemain matin.
                      (…).
                      Et en vérité, s’ils n’étaient pas d’accord, pourquoi, donc, Bolton était-il toujours là ? Lorsque Trump a marginalisé Bolton en Mongolie alors qu’il rencontrait Kim Jong Un à Hanoi, c’était déjà clair que Bolton devrait quitter son poste. Il est sans précédent pour un président d’envoyer son conseiller à la sécurité nationale pour une mission mineure pendant que le président s’acquitte d’une responsabilité importante en matière de sécurité nationale.

                      Il est tout à fait vrai que les Nord-Coréens haïssent John Bolton. Mais ils n’aiment pas non plus le secrétaire d’État Mike Pompeo et, à cet égard, tout le département d’État. Mais Pompeo n’a pas été rejeté, Bolton l’a été. Cela nous dit que ce n’était pas les Nord-Coréens qui importaient, c’était la relation entre Trump et Bolton, en fin de compte.

                      Les trois problèmes de politique étrangère à l’origine de la plupart des divergences entre Trump et Bolton, sont les suivants :

                      1.) les négociations avec les Talibans ;
                      2.) les négociations avec les Nord-Coréens, et ;
                      3.) la possibilité que Trump rencontre le président iranien Hassan Rouhani à l’Assemblée générale des Nations Unies-.

                      Lire article complet sur Article19.ma

                      Commentaire


                      • #12
                        Bolton avait des convictions financières sur l'affaire du Sahara marocain,il était assurée d'une retraite dorée s'il est arrivé a ses fins, le danger pour le Maroc était donc évident du moment qu'il était nommé au poste du premier homme sécurité de Trump,il avançait lentement et imperceptiblement ses pions, sans la vigilance du Maroc de ses marocains des usa, le lapin risque d'apparaître de façon imprévu sous forme d'un coup de massue.
                        Un bon point à relever tout de même pour le Maroc.
                        Dernière modification par Anzoul, 21 septembre 2019, 18h59.

                        Commentaire


                        • #13
                          Bolton et les marionettes de moradia avaientt affaire a un modeste et grand diplomate, aguerri et experimente

                          Commentaire


                          • #14
                            Comment le Maroc a neutralisé l’effet Bolton sur le Sahara
                            je ne crois pas qu'il y ait jamais eu un effet Bolton sur le Sahara occidental, encore moins un effet contre le Maroc. Tout ca, c'est des fumisteries.

                            Bolton a fait des pressions pour qu'il y ait issue de ce conflit, il a raccourci les délais. C'était une pression surtout sur le Polisario d'accepter de négocier l'autonomie proposée par Rabat.

                            Commentaire


                            • #15
                              Notre malheur d'être des plus faibles dans ce monde nous met à la merci des vocations personnelles de personnages politiques des nations les plus puissantes, sous couvert de défense les intérêts de leurs concitoyens, ils peuvent tenir des états plus faibles en otages de leurs pulsions mercantiles, des chantages par proxy sont déclenchés aussitôt,alors qu'au fond ils s'en foutent de la paix ou des droits de la personne et n'ont aucun soucis pour appuyer sur la gâchette des conflits qui font des milliers de victimes innocentes.

                              Souvenons des hommes du président Buch junior les néo conservateurs comme cheney,rumsteck,et un autre juif dont le nom m'échappe pour le moment, sous leur houlette maléfique l'Amérique à massacré au laser les irakiens.

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X