Comment expliquer que la dictature marocaine ait mailles à partir avec les trois (3) poids lourds africains que sont l'Afrique du Sud, l'Algérie et le Nigéria?
D'autre part, le gazoduc Nigéria-Maroc serait-il qu'une chimère et itou l'adhésion de la dictature chérifienne à la CEDAO?
- Le mouvement nigérian pour la libération du Sahara occidental a demandé à l’Union africaine de prendre des «mesures concrètes» en vue de protéger ses membres, l’exhortant à établir un échéancier au Maroc pour se retirer des territoires sahraouis occupés.
Le Mouvement nigérian pour la libération du Sahara occidental (NMLWS) a annoncé qu’il allait désormais adopter une stratégie offensive pour soutenir l’autodétermination du peuple sahraoui. L’organisation a fait savoir en outre qu’elle lancerait une campagne pour empêcher les entreprises nigérianes d’acheter les phosphates, les engrais et les ressources halieutiques du Sahara occidental.
L’ancien ministre des Affaires étrangères du Nigeria, Ibrahim Gambari, qui préside le mouvement, a déclaré qu’il travaillait actuellement avec une coalition pour enclencher une action internationale qui mettrait fin à l’occupation du Sahara occidental par le Maroc, a rapporté jeudi la presse nigériane reprise par l’APS.
Le mouvement NMLWS compte 17 organisations de la société civile et plusieurs dirigeants des plus importantes organisations syndicales au Nigeria comme le Nigeria Labour Congres (NLC), Trade Union Congress of Nigeria (TUC) et Academic Staff Union of Universities (ASSU). Dipo Fashina, l’ancien président de l’ASSU, qui a lu le communiqué du NMLWS, lors d’une conférence de presse tenue mercredi à Abuja, a affirmé que le peuple sahraoui est déterm[B]iné à déployer «les moyens légaux pour mettre fin au régime d’apartheid» au Sahara occidental.
Dans son communiqué, le Mouvement nigérian pour la libération du Sahara occidental a demandé à l’Union africaine (UA) de prendre des «mesures concrètes» en vue de protéger ses membres, l’exhortant à établir un échéancier au Maroc pour se retirer des territoires sahraouis occupés.
Selon la presse nigériane parue jeudi, reprise par l’APS, les Sahraouis ont fait appel aux services juridiques du célèbre avocat nigérian et spécialiste des droits de l’homme, Femi Falana, et à l’avocat Gilles Devers pour poursuivre la prochaine phase de la lutte pour l’autodétermination du peuple sahraoui, a-t-il ajouté.
Toujours selon les mêmes sources, M. Falana a conseillé au gouvernement nigérian de s’abstenir de conclure des accords avec le Maroc qui aggraveraient le pillage des ressources naturelles du Sahara occidental. L’avocat a également mis en garde les entreprises nigérianes, soupçonnées de commercialiser des produits provenant des territoires occupés, de renoncer à cette commercialisation pour éviter les poursuites judiciaires entraînant le paiement de la réparation des préjudices subis par les Sahraouis.
Le pillage des ressources sahraouies par le Maroc se poursuit sans le consentement du peuple sahraoui qui est le propriétaire légitime du territoire. Selon les dernières estimations fournies en avril dernier par l’observatoire Western Sahara Ressources Watch, rien qu’en 2018 le Maroc a pillé et exporté près de deux millions tonnes de phosphate pour un montant de 163,8 milliards de dollars. Aussi, une part croissante des programmes d’énergie renouvelable, dont se vante le Maroc, ne sont pas implantés au Maroc mais au Sahara occidental, territoire qu’il occupe illégalement et brutalement-.
El Watan/DZ
D'autre part, le gazoduc Nigéria-Maroc serait-il qu'une chimère et itou l'adhésion de la dictature chérifienne à la CEDAO?
- Le mouvement nigérian pour la libération du Sahara occidental a demandé à l’Union africaine de prendre des «mesures concrètes» en vue de protéger ses membres, l’exhortant à établir un échéancier au Maroc pour se retirer des territoires sahraouis occupés.
Le Mouvement nigérian pour la libération du Sahara occidental (NMLWS) a annoncé qu’il allait désormais adopter une stratégie offensive pour soutenir l’autodétermination du peuple sahraoui. L’organisation a fait savoir en outre qu’elle lancerait une campagne pour empêcher les entreprises nigérianes d’acheter les phosphates, les engrais et les ressources halieutiques du Sahara occidental.
L’ancien ministre des Affaires étrangères du Nigeria, Ibrahim Gambari, qui préside le mouvement, a déclaré qu’il travaillait actuellement avec une coalition pour enclencher une action internationale qui mettrait fin à l’occupation du Sahara occidental par le Maroc, a rapporté jeudi la presse nigériane reprise par l’APS.
Le mouvement NMLWS compte 17 organisations de la société civile et plusieurs dirigeants des plus importantes organisations syndicales au Nigeria comme le Nigeria Labour Congres (NLC), Trade Union Congress of Nigeria (TUC) et Academic Staff Union of Universities (ASSU). Dipo Fashina, l’ancien président de l’ASSU, qui a lu le communiqué du NMLWS, lors d’une conférence de presse tenue mercredi à Abuja, a affirmé que le peuple sahraoui est déterm[B]iné à déployer «les moyens légaux pour mettre fin au régime d’apartheid» au Sahara occidental.
Dans son communiqué, le Mouvement nigérian pour la libération du Sahara occidental a demandé à l’Union africaine (UA) de prendre des «mesures concrètes» en vue de protéger ses membres, l’exhortant à établir un échéancier au Maroc pour se retirer des territoires sahraouis occupés.
Selon la presse nigériane parue jeudi, reprise par l’APS, les Sahraouis ont fait appel aux services juridiques du célèbre avocat nigérian et spécialiste des droits de l’homme, Femi Falana, et à l’avocat Gilles Devers pour poursuivre la prochaine phase de la lutte pour l’autodétermination du peuple sahraoui, a-t-il ajouté.
Toujours selon les mêmes sources, M. Falana a conseillé au gouvernement nigérian de s’abstenir de conclure des accords avec le Maroc qui aggraveraient le pillage des ressources naturelles du Sahara occidental. L’avocat a également mis en garde les entreprises nigérianes, soupçonnées de commercialiser des produits provenant des territoires occupés, de renoncer à cette commercialisation pour éviter les poursuites judiciaires entraînant le paiement de la réparation des préjudices subis par les Sahraouis.
Le pillage des ressources sahraouies par le Maroc se poursuit sans le consentement du peuple sahraoui qui est le propriétaire légitime du territoire. Selon les dernières estimations fournies en avril dernier par l’observatoire Western Sahara Ressources Watch, rien qu’en 2018 le Maroc a pillé et exporté près de deux millions tonnes de phosphate pour un montant de 163,8 milliards de dollars. Aussi, une part croissante des programmes d’énergie renouvelable, dont se vante le Maroc, ne sont pas implantés au Maroc mais au Sahara occidental, territoire qu’il occupe illégalement et brutalement-.
El Watan/DZ
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