Quelle est la vraie position d'Abed Charef sur Gaid Salah ?

[tizi oualou]

Ce journaliste dont j'ai apprécié la ligne éditoriale au temps ou il était à la Nation hebdo, tendance Hamrouche et ffs durant les années 90 me pose un réel problème de compréhention politique;

ce Monsieur dit trés peu de choses, et ce peu, ne me fait pas avancer non plus, malgré mes efforts, notre ami Capo avait semble il tellement compris tout le "programme" de ce journaliste, au point de le voir présidentiable, c'est pour le moins énigmatique

pourtant ce ne sont pas les journalistes Algériens qui manquent me direz vous,
NON Abed Charef n'est pas Echorouk ennahar elbilad, etc hacha !! il est largement au dessus de la moyenne des journalistes d'algérie, alors inutile de lui faire l'affront et l'assimiler aux médias du pouvoir

tant que je n'ai pas compris ce que dit ou -ne dit pas- Abed Charef devant l'indifférence totale ou presque des lecteurs, j'estime que je n'ai rien compris à ce qui se déroule au bled, et j'aimerais bien qu'une lumière nous éclaire ici, on est la pour ça je suppose !

des " non dit" en permanence avec des phrases courtes et des articles bateaux, à croire qu'il cache une bombe, une vérité qui dérange, elle dérange qui au point ou l'on en est ?

la dernière goutte qui a débordé et m'a poussé à faire ce commentaire, c'est sa critique du journal "le Monde", manque de pot, je suis allergique à ce journal depuis plus de 10 ans maintenant, et il faudra me payer pour lire un article de chez eux LOL

le problème c'est qu'il fallait le lire ce satané article, en diagonal s'il le faut, j'ai cependant eu l'intelligence de verifier ses commentaires sur son compte twiter

( je n'ai ni twitter ni face machin, donc je ne peux pas poster )

et franchement, l'erreur du Monde qui est effectivement une erreur n'est pas moins un cache sexe et donc une foutaise pour moi, l'anguille sous roche est ailleurs.


l'article du Monde est bien fourni, mais d'une grande banalité à ma connaissance

donc, rebelote, Abed Charef ne veut pas parler ( ne précise jamais ses pensées ) qu'est ce qu' il nous cache à votre avis ?

le traiter d'emblée de "cachiriste" est franchement douteux, simpliste ou carrément vouloir être ignorant et fier de l'être.

la personne qui arrive à decortiquer les non dit de Abed Charif nous fera avancer énormement.

[nacer-eddine06]

Khaled Drareni
@khaleddrareni

Le hit parade des meilleures déclarations selon
@abenadouda

1- Je suis un lanceur d'alerte (Tliba)
2- Saïd Bouteflika est un homme de gauche (Boudjedra)
3- Gaid Salah est entré dans l'histoire (Abed Charef)
4- Si je démissionne je condamne l'équipe nationale (Madjer)
Votez !

[Bachi]

NON Abed Charef n'est pas Echorouk ennahar elbilad, etc hacha !! il est largement au dessus de la moyenne des journalistes d'algérie, alors inutile de lui faire l'affront et l'assimiler aux médias du pouvoir

Entre le bon journaliste
Et

Tant que je n'ai pas compris ce que dit ou -ne dit pas- Abed Charef devant l'indifférence totale ou presque des lecteurs, j'estime que je n'ai rien compris à ce qui se déroule au bled, et j'aimerais bien qu'une lumière nous éclaire ici, on est la pour ça je suppose !

tu ne le comprends pas mais il est bon ?

Incroyable !


une autre perle tizioualienne

la dernière goutte qui a débordé et m'a poussé à faire ce commentaire, c'est sa critique du journal "le Monde", manque de pot, je suis allergique à ce journal depuis plus de 10 ans maintenant, et il faudra me payer pour lire un article de chez eux LOL

sa critique in Le Monde, goutte ayant fait déborder le vase...
et il faudra te payer pour le lire Le Monde, tu dis?
Incohérence. Tu l'as lu la critique dans le Monde ou pas ?

Quand je te disais que tu étais complètement décousu, je parlais de ça...
2 exemples ici.


Sinon Abed Charef, je le trouve moi aussi au dessus de la moyenne. Pas le meilleur.

[gkader]

Abed Charef est juste un analyste politique sans tendance partisane, il défend des alternatives politiques et économiques des experts d'un cercle restreint d'intellectuels et soumet en parallèle ses points de vus qui j’admets sont souvent cohérents vu les circonstances passées et actuelles de la vie politico-économique du pays. Dans ses différentes interventions médiatiques, il admet qu'il n'à aucune ambition politique pour briguer un quelconque mandat ministériel et se satisfait amplement de son rôle d'analyste et de consultant dans les médias.

[traks]

si j'ai bien compris , il nous demande de lire un article de abed charef paru dans le monde car il ne peut pas ce le payer ??? ....

[ahmed67]

pourtant ce ne sont pas les journalistes Algériens qui manquent me direz vous

non on ne te le dira pas

[tizi oualou]

traks, l'article en question du journal le monde est libre donc gratuit

va sur le compte twitter de abed charef, tu comprendra tout, et tu reviens m'expliquer à moi, puisque les autres ont déjà compris LOL

[xenon]

1- Je suis un lanceur d'alerte (Tliba)
2- Saïd Bouteflika est un homme de gauche (Boudjedra)
3- Gaid Salah est entré dans l'histoire (Abed Charef)
4- Si je démissionne je condamne l'équipe nationale (Madjer)
Votez

mdrrr ,en plus ils ont vraiment dit ca...
4
1
2
3..il est rentrė dans l'histoire mais pas du bon bout..celui qui unifia le peuple par ses conneries hebdomadaires du gaid badissi show..

[Absent]

Son dernier gribouillis.. en date d'aujourd'hui :

Entre le hirak et l’état-major, un rendez-vous raté ou un rendez impossible ?
Gaïd Salah a une priorité. Faire en sorte que ce qu’il appelle la iissaba soit neutralisée, puis anéantie. Il veut changer la donne pour que les ténors de l’ère Bouteflika ne puissent être remis en selle.
Règlement de comptes, volonté d’assainir la vie politique, d’écarter des rivaux, d’asseoir son pouvoir, peu importe la motivation.
Dans son agenda, les priorités sont donc bien définies. Tout ce qui sera fait doit obéir à cet impératif. La vie et les échéances politiques doivent être organisées en fonction de cela. À contrario, il considère que tout ce qui entrave sa démarche est manipulé, suscité, provoqué par la iissaba.

Les animateurs du hirak ont, de leur côté, fait de Gaïd Salah leur première cible. C’est clairement affirmé dans ce slogan: الشعب يريد إسقاط ڤايد صالح.
Les uns le font en toute sincérité. Ils pensent que le chef d’état-major est un écueil sérieux, peut-être le plus important, au changement de système.
D’autres le font pour d’autres raisons. Aux yeux de Gaïd Salah, ils travaillent clairement pour la iissaba.
Autrement, comment expliquer que la mise en détention des principaux ténors de l’ère Bouteflika, par exemple, soit dévalorisée, avec le slogan « justice du téléphone ?

En ciblant systématiquement Gaïd Salah, des animateurs du hirak pensent créer les conditions de sa chute, préalable indispensable pour que les anciens réseaux puissent espérer se reprendre. C’est la grille de lecture de Gaïd Salah, que certains qualifient de paranoïaque. La question mérite cependant d’être posée.
La revendication principale du peuple, c’est le changement de système. Mais concrètement, comment organiser les séquences ? Faut-il libérer tout le monde, en attendant une justice indépendante, sachant la puissance redoutable des réseaux de l’ère Bouteflika ? Faut-il croire, naïvement, que les acteurs politiques seront animés de bonne foi et se conduiront rationnellement ? Si elle pouvait être utilisée, quel serait l’impact de la puissance financière des oligarques sur une éventuelle transition ?
Il est clair que dans une transition, tout le monde ne part pas sur un pied d’égalité. Argent, réseaux, situation de pouvoir, présence dans les médias et dans les institutions peuvent offrir des avantages décisifs.

Par ailleurs: est-il possible de fermer les yeux sur les agendas étrangers qui veulent s’imposer au pays ?
Ce n’est pas de la langue de bois. En voici un exemple primaire. À peine a-t-il annoncé sa candidature à la presidentielle, Abdelkader Bengrina à insisté sur la menace que constituerait, selon lui, le maréchal libyen Haftar.
Pourquoi insiste-t-il sur ce point ?
Parce que c’est l’agenda des frères musulmans, Turquie, Qatar, etc., et leur rivalité avec l’autre bloc Arabie-Saoudite, Émirats, Égypte.

Abed Charef (23/09)

[khayamm]

Salam . Azul

" Un Analyste financier ne se fait pas connaitre par son nom ou par son titre mais se fait connaitre par la pertinence de ses analyses "

Si je vais me référer á cette citation , je dirais que les analyses de " ce groupe restrein d intellectuels " avec un chef d orchestre le nommé Kadi Ihsan qui anime son emission hebdomadaire du café de la radio du Maghereb . les analyses politiques de ces " experts " durant l année 2018 et le debut de 2019 sont malheureusement avérés fausses puisque aucun de ces analystes politiques n avait prevu ou du moins anticipé le soulevement populaire du 22 Fevrier , bien au contraire Mr Abed Charef and co misaient sur un cinquieme mandat pour Bouteflika .

[fortuna]

Règlement de comptes, volonté d’assainir la vie politique, d’écarter des rivaux, d’asseoir son pouvoir, peu importe la motivation.

Non, non, non, M. Charef. N'essayez pas de nous embrouiller !

Si l'objectif du Gaïd est de régler des comptes ou d'écarter des rivaux, la donne change complètement et tous ses discours virent aux mensonges grossiers et à la manipulation la plus abjecte.

En cela, les hirakistes n'ont pas été dupes. Quand le CEM leur promettait d'accompagner leur mouvement, ils lui avaient fait confiance. Sauf que là, non seulement il tente de semer la zizanie dans leurs rangs, mais il les accuse clairement d'être "contrôlés" par je ne sais quelle "chirdhima" qui lui serait hostile et qui conspirerait contre la nation.

La motivation compte pour beaucoup, M. Charef...

[shadok]

Son dernier gribouillis.. en date d'aujourd'hui

La 3ème voie: tirer sur le Hirak et trouver des situations atténuantes pour Gaid Salah (lutte contre Al Issaba)

[tizi oualou]

Si je vais me référer á cette citation , je dirais que les analyses de " ce groupe restrein d intellectuels " avec un chef d orchestre le nommé Kadi Ihsan qui anime son emission hebdomadaire du café de la radio du Maghereb

@Khayamm


je regarde de temps en temps cette émission, depuis le départ de Abed Charef c'est devenu un peu plus fade (trop consensuelle ) et donc forcément subjective

sauf que d'emissions en émissions, je trouve que Ferhat Ait Ali est assez pertinent dans ses piques et analyses aussi bien économiques que politiques, je ne lui trouve rien de négatif, bien au contraire, que du bonheur !

en revanche, le chef du groupe ( el kadi ihssane ) a largement entamé son crédit de mon point de vue pourtant lui aussi un des grands journalistes dz , trop prévisible dans ses interventions hégémoniques ( qu'on lui a d'ailleurs reproché LOL LOL LOL ) et donc tout sauf interessant.


@fortuna
je ne sais quelle "chirdhima" qui lui serait hostile et qui conspirerait contre la nation.


c'est le seul point qui demeure obscur, et ce n'est pas parce qu'on est catégoriquement contre GAID SALAH et l''hégémonisme de l'armée sur le civil en général , qu'il faille rejeter d'un bloc un truc qu'on a aucune idée,
il y a des mains exterieures et peut être internes, mais personne ne sait de quoi il en retourne, et c'est pas l'armée qui va nous éclairer, elle est juge et partie, difficile dans ce cas, de pouvoir souffler un mot.....de doute..

je vais vous dire une chose en passant, quand on ne permet pas à quelqu'un de douter et avec une massive et une rare violence verbale, il y a du louche derrière.
il faut convaincre et non pas exclure ou vilipender ou essayer de discréditer les gens qui doutent....

[khayamm]

Tizi Oualou @

Moi aussi je regardais de temps á autre la radio Maghreb certes je partages ton avis sur Ferhat Ait Ali c est un bon analyste financier . Par contre Notre Kadi Ihsan fait preuve d une certaine malhonneteté intellectuel , le Monsieur fait de la politique mais se présentant comme un journaliste . Sinon comment comprendre que ses interets personnels priment sur la liberté d expression . Kadi Ihasan ne critique jamais les entreprises Djezzy , Ooredoo , et Cevital de Rebrab

[Bachi]

il faut convaincre et non pas exclure ou vilipender ou essayer de discréditer les gens qui doutent....

de qui tu parles ?
qui doute? de quoi doute-t-il?
Qui le discrédite?

tu devrais te relire. Un conseil d'ami.


Il n'est pas malhonnête, Abed Cherif. Il semble être vraiment indépendant d'esprit. C'est une rareté chez les "journalistes" algériens.