En Algérie, le chef du Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC), jugé pour "atteinte à la sécurité de l'Etat" et "constitution de groupe terroriste", a été condamné mardi à 20 ans de prison ferme par contumace par la justice, a-t-on appris de source judiciaire algérienne.
Abdelamalek Droukdel, alias Abou Mossaâb Abdelouadoud, a également été condamné à 500.000 dinars d'amende (5.000 euros environs) par le tribunal criminel de Batna (430 km au sud-est d'Alger).
Dix autres membres du GSPC, qui s'est rebaptisé Branche armée d'Al-Qaïda au Maghreb islamique, jugés également par contumace dans la même affaire, ont été condamnés à 20 ans de prison et 5.000 euros d'amende chacun, a précisé la même source.
Ils étaient accusés d'"atteinte à la sécurité de l'Etat, constitution de groupe terroriste armé, incendie volontaire, vol à main armée et de tentative de meurtre".
Droukdel a été désigné à la tête du GSPC à la suite de l'éviction, en août 2004, de son chef Hassan Hattab, lui-même condamné à mort par contumace le 17 mars par le tribunal criminel de Batna.
Droukdel a déjà été condamné à mort par contumace le 21 mars par le tribunal criminel de Tizi Ouzou (Kabylie, est d'Alger) pour "constitution de groupe armé, destruction de biens publics à l'aide d'explosifs et tentatives de vol, selon la presse algérienne.
Depuis le ralliement du GSPC au groupe terroriste Al-Qaïda, les tribunaux ont repris les procès en souffrance d'islamistes en fuite ou en détention.
Quelque 170 affaires liées au terrorisme figurent au rôle du tribunal criminel d'Alger pour la session judiciaire de mai-juin. Des dizaines d'autres doivent être appelées en province.
Par AFP
Abdelamalek Droukdel, alias Abou Mossaâb Abdelouadoud, a également été condamné à 500.000 dinars d'amende (5.000 euros environs) par le tribunal criminel de Batna (430 km au sud-est d'Alger).
Dix autres membres du GSPC, qui s'est rebaptisé Branche armée d'Al-Qaïda au Maghreb islamique, jugés également par contumace dans la même affaire, ont été condamnés à 20 ans de prison et 5.000 euros d'amende chacun, a précisé la même source.
Ils étaient accusés d'"atteinte à la sécurité de l'Etat, constitution de groupe terroriste armé, incendie volontaire, vol à main armée et de tentative de meurtre".
Droukdel a été désigné à la tête du GSPC à la suite de l'éviction, en août 2004, de son chef Hassan Hattab, lui-même condamné à mort par contumace le 17 mars par le tribunal criminel de Batna.
Droukdel a déjà été condamné à mort par contumace le 21 mars par le tribunal criminel de Tizi Ouzou (Kabylie, est d'Alger) pour "constitution de groupe armé, destruction de biens publics à l'aide d'explosifs et tentatives de vol, selon la presse algérienne.
Depuis le ralliement du GSPC au groupe terroriste Al-Qaïda, les tribunaux ont repris les procès en souffrance d'islamistes en fuite ou en détention.
Quelque 170 affaires liées au terrorisme figurent au rôle du tribunal criminel d'Alger pour la session judiciaire de mai-juin. Des dizaines d'autres doivent être appelées en province.
Par AFP
Commentaire