Le général Toufik a finalement comparu hier devant le tribunal militaire et décidé de répondre à toutes les questions du président. Said Bouteflika qui avait quitté l’audience hier et refusé de faire des déclarations, était au box des accusés aux côtés de Louisa Hanoune. Selon certains avocats, il a été longuement interrogé sur la réunion du 27 mars à la résidence Dar El Affia, à Hydra, et ses réponses étaient « aussi sereines que convaincantes ».
Il a refusé de parler de « réunions » mais plutôt de « rencontres » avec le conseiller du président encore en exercice « pour apporter ma contribution dans la résolution de la crise que traverse mon pays ». L’accusé a tenu à préciser que les poursuites dont il fait l’objet actuellement ont un lien avec des événements datant de 2013, notamment, argue-t-il « l’ouverture par (mes) services des dossiers de la corruption et de la mise en branle de la justice dans l’affaire Sonatrach à laquelle le président était opposé. Ce qui m’a coûté mon poste ».
El Watan
Il a refusé de parler de « réunions » mais plutôt de « rencontres » avec le conseiller du président encore en exercice « pour apporter ma contribution dans la résolution de la crise que traverse mon pays ». L’accusé a tenu à préciser que les poursuites dont il fait l’objet actuellement ont un lien avec des événements datant de 2013, notamment, argue-t-il « l’ouverture par (mes) services des dossiers de la corruption et de la mise en branle de la justice dans l’affaire Sonatrach à laquelle le président était opposé. Ce qui m’a coûté mon poste ».
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