Le Premier ministre britannique, Boris Johnson, qui devait rencontrer Hassan Rohani, selon un calendrier prévu, a rencontré de manière inattendue le président français Emmanuel Macron, et les trois hommes se sont entretenus pour quelques minutes trilataérlement.
Le Président français retrouve son homologue iranien pour la deuxième fois depuis ces deux deniers jours à New York.
« L'occasion d'être à New York devrait être saisie pour réduire les tensions », a déclaré le Président Macron lors de la rencontre trilatérale.
Le président français, qui lancé depuis quelques mois des efforts de médiation pour la sauvegarde du Plan global d’action commun sur le nucléaire iranien (PGAC) et pour réduire les tensions entre l'Iran et les États-Unis, avait déjà rencontré le lundi 23 septembre et discuté avec pendant une heure et demie.
Réitérant une fois de plus sur l’impératif du respect des devoirs et des responsabilités des autres parties liés aux Plan global d’action commun (PGAC), y compris la France, après le retrait unilatéral et illégal des États-Unis de cet important accord international , Hassan Rohani a fustigé la récente déclaration anti-iranienne émise par le trio européen (Paris, Londres, Berlin) le qualifiant de « basée sur les accusations sans fondement ».
Pour sa part, Emanuel Macron n'a pas manqué de saluer la proposition de M. Rohani en faveur de la sécurité régionale, soulignant les efforts français pour aider à la mise en œuvre de l'accord nucléaire de 2015. Il a également appelé à une coopération européenne avec les autres partenaire du PGAC, en particulier la Russie et la Chine.
l'IRNA sur Twitter
Le Président français retrouve son homologue iranien pour la deuxième fois depuis ces deux deniers jours à New York.
« L'occasion d'être à New York devrait être saisie pour réduire les tensions », a déclaré le Président Macron lors de la rencontre trilatérale.
Le président français, qui lancé depuis quelques mois des efforts de médiation pour la sauvegarde du Plan global d’action commun sur le nucléaire iranien (PGAC) et pour réduire les tensions entre l'Iran et les États-Unis, avait déjà rencontré le lundi 23 septembre et discuté avec pendant une heure et demie.
Réitérant une fois de plus sur l’impératif du respect des devoirs et des responsabilités des autres parties liés aux Plan global d’action commun (PGAC), y compris la France, après le retrait unilatéral et illégal des États-Unis de cet important accord international , Hassan Rohani a fustigé la récente déclaration anti-iranienne émise par le trio européen (Paris, Londres, Berlin) le qualifiant de « basée sur les accusations sans fondement ».
Pour sa part, Emanuel Macron n'a pas manqué de saluer la proposition de M. Rohani en faveur de la sécurité régionale, soulignant les efforts français pour aider à la mise en œuvre de l'accord nucléaire de 2015. Il a également appelé à une coopération européenne avec les autres partenaire du PGAC, en particulier la Russie et la Chine.
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