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Condamné à 15 ans de réclusion : la réaction du général Toufik

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  • Condamné à 15 ans de réclusion : la réaction du général Toufik

    Condamné à 15 ans de réclusion : la réaction du général Toufik

    Algerie Part - Par Hichem B Le 25 Sep 2019 / 13:08


    Condamné par le tribunal militaire de Blida à 15 ans de réclusion criminelle, Mohamed Médiène, dit Toufik a rendu publique une lettre, via son avocat Me Lahcène Seriak où il explique les raisons de son arrestation et condamnation.

    Voici sa déclaration lue devant la presse par son avocat Me Lahcène Seriak.

    «Le complot réel et véritable qui me place devant vous en tant qu’accusé aujourd’hui, vient de mes tentatives de lutte contre la corruption. Il vient de loin. J’ai lancé de multiples enquêtes sur de graves dossiers de corruption et de détournement, dès que j’ai constaté avec mes services le développement considérable de la corruption au sein de nos jeunes organisations financières et industrielles, les dégénérant et les tuant dans l’œuf, atteignant l’ensemble des secteurs de la vie nationale économique et sociale.

    Un développement criminel oligarchique d’une corruption vite mélangée avec la politique et l’exercice des missions des pouvoirs publics, voire le fonctionnement de l’Etat.

    Une transformation rapide et nouvelle de cette forme de criminalité, hautement dangereuse pour l’existence même de notre nation.

    Avec le nombre de gens mêlés aux affaires et aux trafics véreux, les appétits ont grandi. La moindre entreprise spontanée, gracieusement financée, porte sur des chiffres que l’on n’a jamais osé imaginer.

    La soif de faire des affaires malhonnêtes et de les faire vite et devenue générale. L’appât du gain facile a levé tous les scrupules. La spéculation criminelle anti-économique de l’oligarchie ambiante a apporté avec elle une véritable démoralisation nationale dans l’ensemble des domaines constitutifs de notre être historique, économique et vivrier ; travail, création, patrie, honneur, honnêteté, tout cela est parti.

    Haine populaire de l’Etat complice des voleurs et des corrompus. Le profit, le gain ne dépendent plus de l’honnêteté et du travail mais de la relation criminelle, de l’habileté criminelle à voler et à détourner. Oligarques, démarcheurs, intermédiaires, rabatteurs, publicistes financiers, politiciens, financiers ont pullulé par générations spontanées à l’ombre de l’Etat corrompu et des oligarques avec leurs fausses grandes entreprises.

    Enhardis, ces oligarques et leurs complices institutionnels ont introduit dans notre pays le principe systémique des pots de vin et des pots de miel, des commissions faramineuses devenues un véritable «cancer» des projets publics, comme la Sonatrach, l’autoroute Est-ouest.

    Ils ont mis en place des organisations criminelles formant par leurs ramifications mondiales et internes une «puissance occulte» dans les rouages de l’Etat, qui doit compter avec elle pratiquement sur tout.

    Ténébreusement, sournoisement, officiellement, tout un personnel institutionnel criminel et chaque jour plus nombreux avait étendu un habile réseau destiné à compromettre et corrompre les plus honnêtes de nos citoyens et de nos responsables.

    La corruption allait donc faire disparaître littéralement et physiquement notre jeune nation, ses territoires et ses richesses nationales, voire son peuple dépossédé de toute valeur de vie composée.

    Je persiste à croire, malgré le mal fait à ma famille et à mes enfants, aux principes qui animent celles et ceux qui luttent contre la corruption destructrice, que mes initiatives d’enquête contre la grande corruption demeurent le fer de lance de mon devoir accompli, même s’il doit me coûter très cher, voire le prix de ma vie ».

    Mohamed Mediène, général de Corps d’Armée à la retraite.
    Othmane BENZAGHOU

  • #2
    Le généralissime qui s'adresse à l'opinion publique pour l'amadouer et justifier son purgatoire. Drôle d'ironie pour Rab dzair qui a toujours tenté de la museler et de la manipuler. Drôle de fin pour celui qui a été un acteur de ce système de corruption, instauré depuis des dizaines d'années pour tenir son personnel politique et acheter ses clientèles. Il est étonnant que le grand patron du renseignement découvre la corruption en 2012, au moment du retrait annoncé par lui-même de Bouteflika, et ferme les yeux sur les généraux et les colonels de son armée et de ses propres services qui sous couvert de l'intelligence économique avaient instauré des pratiques mafieuses et oligarchiques sous le prétexte de la création de chaebols à la Coréenne plus ou moins adoubé par tel ou tel général ou le cercle présidentiel désormais prétendant l'exercice du pouvoir dans la distribution de la rente et la constitution de ses propres clientèles... Exactement comme Sissi l'imperatrice qui nous affirme du haut de son mirador, qu'il vient de découvrir l'ampleur de la corruption quand il a pu dégommer ses concurents... mais de qui se fout-on...

    Cette outrecuidance de ce pouvoir civil, il fallait la contrôler par différents moyens, en punissant tous ceux qui affirmaient une quelconque autonomie vis-à-vis du pouvoir de fait, et en tenant par des dossiers tous ceux qui pouvaient prétendre une quelconque ambition... l'oligarchie des siens et des autres avaient le triple avantage, de se garantir une clientèle fidèle qui sait être généreuse en retour, de tenir les clefs du jeu politique et économique, et de jouer au probe général, sauveur de la nation, avec des simulacres d'opérations d'assainissement pour garantir au pouvoir et au système sa mutation. Exactement ce qui s'est passé dans l'ex URSS vers la Russie de Poutine. Les 2 branches concurrentes du pouvoir militaire, autours des services et de l'EM, se sont disputés la primauté de ces opérations pour en définir la continuité du système et sa mutation, et en garantir un héritage maîtrisé de sa propriété algérienne...

    L'histoire ne pardonne pas aux tyrans, de tout bord, et a et finira par gratifier d'honneurs les sincères militants de la cause de leur peuple, à l'image d'un Ait Ahmed ou d'un Messali El Hadj...
    Dernière modification par ott, 26 septembre 2019, 08h24.
    Othmane BENZAGHOU

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    • #3
      @ott
      toute la nature du système.
      http://www.algerie-dz.com/forums/sho...d.php?t=449252

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      • #4
        Sissi l'impératrice qui nous affirme qu'il est satisfait de la non gouvernance de son gouvernement fantoche à qui il distribue des bons points et demande à ses portes paroles officiels et officieux de louer les efforts...

        Hada ma halbet elbagra...
        Othmane BENZAGHOU

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        • #5
          Chaque branche de ce système honnis essaie de diluer sa responsabilité historique dans ce désastre national, Le généralissime qui a été gracieusement remercié pendant les années Bouteflika qui l'avait sollicité en 1994, pour manifester sa mauvaise humeur en 1999 contre celui qui l'avait lâché à la dernière minute, prenant un avion pour Geneve, l'autre généralissime qui a participé lui aussi à l'arrivée du président du consensus en 1999, et qui a été décisif en 2004 et 2009 pour son maintien, Sissi l'impératrice qui nous a imposé un quatrième et cinquième mandat et qui nous joue aujourd'hui la partition d'une vierge effarouchée par un peuple vaillant autant que celui qui a découvert soudainement la grande corruption, qu'il connait intimement, et Bouteflika qui a perpétué un système tyrannique, en pratiquant à l'échelle industrielle l'achat des clientèles politiques sans vergogne et sans aucune préparation de l'avenir politique de l'Algerie, obsédé par son pouvoir et ses prérogatives au point de passer d'un 3/4 président au 1/100 président, avec un mandat à vide qui a vidé de sa substance l'état national...


          Pourquoi le chef d’état-major a décapité le système de sécurité nationale

          AP - septembre 26, 2019 - 7:32


          Par Ahmed Khadri – Le procès des élites sécuritaires algériennes marque une date historique dans l’Algérie post-indépendance. Ce n’est pas moins de trois généraux, dont un ancien chef d’état-major, qui sont visés par le biais d’un procès politique, parodie des plus grands règlements de comptes que l’histoire mondiale nous a légués. Le jugement du tribunal militaire de Blida fera date non pas uniquement en frappant les esprits du commun des mortels, mais également parce qu’il autorise un démantèlement complet des structures de sécurité patiemment bâties par deux personnages clés de la sécurité nationale, les généraux Mediene et Tartag.

          Pourtant, à y regarder de près, on ne peut que les considérer comme des victimes collatérales d’un régime politique dont le centre de gravité était bel et bien Abdelaziz Bouteflika et Ahmed Gaïd-Salah. Aujourd’hui, ces deux hommes sont encore en liberté malgré leur position centrale dans la constitution des «îssaba» (clans) depuis 1999. Surtout, ils semblent tous deux avoir passé l’écueil des procès Sonatrach I et II visant explicitement l’ancien ministre de l’Energie Chakib Khelil, membre éminent du clan qui court toujours malgré un mandat d’arrêt international.

          Au moment où le chef d’état-major s’évertue à vouloir nettoyer subitement l’Algérie de son plus grand mal, la corruption mafieuse et endémique, nous sommes en droit de reposer une question fondamentale : pourquoi Gaïd-Salah n’a-t-il pas arrêté Chakib Khelil sur la base des pots-de-vin constatés par des juges milanais entre 2007 et 2010, de la même façon qu’aujourd’hui il arrête à tout bout de champ une partie du gotha oligarchique proche du clan présidentiel ? Une autre question encore plus grave : pourquoi Gaïd-Salah, qui s’érige aujourd’hui en «Monsieur Propre», pour ne pas dire «Monsieur Algérie», n’a-t-il pas suivi les conclusions du dossier Sonatrach et les preuves irréfutables fournies par son directeur, aujourd’hui derrière les barreaux, pour procéder à la comparution devant les juges algériens de Chakib Khelil entre autres ? Amnésie ou complicité aujourd’hui occultée ?

          Deux poids, deux mesures

          On sait, sans trop conjecturer, que l’ex-DRS gênait les affaires du clan présidentiel au moment où celles-ci florissaient, lors du boom pétrolier des années 2000 avec un baril à plus de 140 dollars. Lors de l’éclatement de l’affaire Sonatrach en 2013, on pensait en Algérie que le mal ne concernait qu’un ministère ou un groupe de personnes restreint sans lien avec les hautes sphères de l’Etat. Comme si Chakib Khelil avait agi en solo sur la scène internationale, dans le dos même du président. Bouteflika aurait même poussé des cris d’orfraie en apprenant que son ami d’enfance lui avait planté un couteau dans le dos en se délectant des revenus de la Sonatrach. Le président de la République l’aurait alors volontairement exilé afin d’étouffer l’affaire et préserver l’honneur de la nation.

          Nous savons aujourd’hui que cette version des faits ne correspond pas à la réalité d’un réseau de corruption qui impliquait l’ensemble du clan présidentiel, y compris l’état-major de l’ANP. D’où cette alliance entre leurs deux chefs principaux, aujourd’hui encore en liberté, Abdelaziz Bouteflika et Gaïd-Salah et leur action concertée de destruction du dossier Sonatrach, en mettant sur la touche tout l’appareil judiciaire de l’ex-DRS ainsi que son chef, le général Toufik.

          Que le président de la République à l’époque n’ait pas réagi en voulant défendre son ami d’enfance Chakib Khelil passe déjà pour un acte de haute trahison en soi au regard des textes constitutionnels. Mais, qu’aujourd’hui, le chef d’état-major s’en prenne à ceux-là mêmes qu’il aurait dû écouter pour sévir et protéger les intérêts stratégiques de la nation relève d’un degré de trahison encore plus grave, puisqu’il justifie le phénomène de corruption de ministres régaliens comme celui de l’Energie. La justice expéditive de Gaïd-Salah jette donc un éclairage nouveau sur l’implication directe de l’état-major, du moins dans ses éléments bouteflikiens, dans ce qu’il est convenu de désigner comme l’une des plus viles supercheries judiciaires de l’histoire contemporaine de l’Algérie. A moins que Gaïd-Salah ne cache d’autres dossiers non moins graves et importants, l’impliquant directement lui et sa famille au point où il aurait tout intérêt à écraser l’ancien DRS par tous les moyens avant qu’il ne soit trop tard. Il l’avait déjà fait en 2015 en poussant à une retraite forcée le général Mediene.

          Qui est la «véritable» îssaba ?

          Dans ce contexte effervescent de justice expéditive, on ne comprendra jamais pourquoi les tenants du pouvoir politique de l’époque, dont Gaïd-Salah, ne s’étaient pas rendus actifs lorsque les dossiers arrivaient sur leur bureau. Et l’on comprendra encore moins pourquoi un tribunal militaire comme celui de Blida semble ne pas considérer l’inaction du commandement de l’armée devant le flagrant délit. S’agissant d’une entreprise vitale pour le pays, il est outrageant de constater que le chef d’état-major n’ait pas suivi à l’époque les investigations et les recommandations des services de sécurité pour l’intérêt de la nation, ce que les juges militaires de Blida ont sciemment occulté. Ceci appelle deux interrogations : Gaïd-Salah est-il le personnage approprié pour défendre les intérêts suprêmes de la nation, aujourd’hui ? Deuxièmement, le chef d’état-major est-il en mesure, sur le plan de la légitimité, d’organiser des élections présidentielles en Algérie, au moment où l’on constate amèrement que le haut commandement militaire de l’époque a failli à sa mission de protéger les intérêts vitaux du pays ?

          On ne peut, non plus, s’empêcher de faire un rapprochement entre les affaires juteuses que l’ANP à créer en partenariat avec des sociétés émiraties et les affaires I et II de la Sonatrach. Dans les deux cas de figure, des joint-ventures ont été créées afin de mieux dissimuler des sommes colossales versées en pots-de-vin. Si, effectivement, l’état-major de l’ANP a perçu de l’argent sale dans ses projets de véhicules militaires, on comprendrait pourquoi le général-major Gaïd-Salah a fermé les yeux sur les dossiers Sonatrach I et II impliquant l’ensemble du clan présidentiel.

          Somme toute, il reste très peu d’éléments pouvant conduire à affirmer la probité du chef d’état-major de l’armée, surtout dans ce contexte prochain d’élections présidentielles menacées de boycott généralisé. En décapitant les structures essentielles de la sécurité nationale, de sorte à effacer un passé douteux des grands acteurs du clan, le chef d’état-major risque essentiellement de se retrouver lui-même confronté un jour à ce deux poids et deux mesures qu’il a établi pour se protéger. Aussi ne peut-on que condamner toute personne qui se présenterait à de telles élections sous le couvert et la protection d’un homme qui a grandement attenté à la sécurité du pays, situation actuelle que les Algériens ont de la peine et une immense tristesse à évacuer.

          Comment donc un Tebounne ou un Benflis pourraient-ils présenter leur visage au peuple algérien quand, dans le même temps, ils cautionneraient l’action politique d’un chef d’état-major, ancien protecteur de Chakib Khelil ? L’avenir nous le dira.
          Dernière modification par ott, 26 septembre 2019, 08h33.
          Othmane BENZAGHOU

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          • #6
            La farce de lutte contre la corruption de Toufik...

            Othmane BENZAGHOU

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            • #7
              si j'avais pas connu la periode ou limite on croyait qu'il etait plus une legende qu'une realité . j'aurais surement pensé apres avoir lu son speech qu'il s'agit la d'un nationaliste comme on en fait peu , et que sa place est surement au commande !

              *Le procès des élites sécuritaires algériennes marque une date historique dans l’Algérie post-indépendance
              ca , ca ne peut provenir que d'un support des fameux janvieristes et de ce qui a ete leur besogne les annees 90 et 2000 ..

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              • #8
                vient de mes tentatives de lutte contre la corruption
                Dda-est-ou ? Question à 2 millions $
                Kindness is the only language that the deaf can hear and the blind can see - Mark Twain

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                • #9
                  les anciens disent en darja :
                  "lli 7far chi 7afra, iti7 fih'a"

                  Ils sont "victimes" de leur propre système !

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                  • #10
                    «Le complot réel et véritable qui me place devant vous en tant qu’accusé aujourd’hui, vient de mes tentatives de lutte contre la corruption....
                    hahaha la blague du jour
                    a d'autres !!!!
                    il a bien tenté a la dernière minute de sauver le système qu'il dit combattre....hadi sahyet wedjh wela wechnou
                    a noter qu'au summum de sa gloire il méprisait royalement ce peuple a qui il s'adressait maintenant
                    أصبحنا أمة طاردة للعلماء مطبلة للزعماء

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                    • #11
                      T'NOUFIK
                      «Le complot réel et véritable qui me place devant vous en tant qu’accusé aujourd’hui, vient de mes tentatives de lutte contre la corruption....
                      Ah le pauvre chouchou ! Il fait pitié !

                      C'est pour çà qu'il a détruit la corruption en Algérie sous son règne... Mais à l'envers ...!!!
                      Dernière modification par Pomaria, 27 septembre 2019, 23h17.
                      Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

                      Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

                      Commentaire


                      • #12
                        Discours D'Adieu de Bouteflika ' Tab Djnanou !

                        Le message est pourtant Clair en 2012 tous le monde saver ce qui se passe comme corruption en Algérie mais personne n'a bougie le doigt ....

                        les rapport était sur bureaux du DRS a cette époque :22:
                        dz(0000/1111)dz

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                        • #13
                          En chine les personnes condamnées pour faits de corruption et dilapidation de biens publics sont fusillées même si elles sont membres du comité central du parti communiste. Les hommes politiques, dirigeants et les hauts dignitaires du pays sont les plus surveillés durant leur exercice, mandat et parcours politique et le moindre faux pas ils seront arrêtes, jugés et condamnés dans des procès expéditifs sans aucun appel. Voilà pourquoi la république populaire de Chine est devenue exæquo avec les États Unis première puissance mondiale.

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                          • #14
                            Se général Toufik doit payé c'est une crapules qu'il vas en enfer .c'est devenus contraire a la pègre Marseillaise les crapules au pouvoir s'entretuent le peuple observe c'est bien .

                            Commentaire


                            • #15
                              Analyse des déclarations du général TOUFIK devant le tribunal militaire

                              - Toufik n'a jamais été "Reb Dzair", mais plutot un simple ballon de baudruche
                              - Toufik était totalement complice et acquiéssé sur tout ce qui se passé comme grande affaire de corruption dans le pays .
                              - C'est GAID SALAH qui a décidé du cinquième mandat d'un bouteflika paralysé.

                              Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

                              Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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