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Mustapha Bouchachi Candidat ? proposition d'Abed Charef

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  • Mustapha Bouchachi Candidat ? proposition d'Abed Charef

    comme je n'ai pas de compte facebabak et que j'en aurais jamais, je vous propose le lien de la page de Abed Charef :

    https://t.co/KcYA7b8KeC


    une lettre à Mustapha Bouchachi à faire gagner le hirak par les elections du 12 décembre 2019
    ça peut paraître 'une provocation', mais perso, je dirais que c'est pas la pire des propostions bien au contraire

    aller directement à la confrontation, c'est ce que veut l'armée, pour zapper carrément les élections et établir une dictature par des lois d'exceptions, je ne vois pas les choses autrement

    le retour de Karim Tabbou en prison ( c'est un précédent fâcheux, puisqu' on lui a tendu un piège machiavélique ) est une réponse provocatrice du Pouvoir pour mieux préparer l'alternative à l'échec du probable 12 décembre.

  • #2
    Lettre ouverte à Mustapha Bouchachi
    Le peuple peut prendre le pouvoir le 12 décembre


    Cher ami,

    L’Algérie vit des moments exaltants. Depuis le 22 février 2019, grâce à une formidable contestation populaire, le pays a réussi une fabuleuse mise à niveau éthique et morale, et a neutralisé le cœur des réseaux de l’ancien pouvoir.

    Toi qui as traversé dans l’honneur et la dignité les terribles années 1990, puis l’humiliante ère Bouteflika, tu mesures pleinement le besoin qu’avait le pays de ce sursaut de dignité, et tout ce qu’il représente dans l’histoire que nous vivons.

    Mais aujourd’hui, il faut aller plus loin, plus vite. Je t’invite à une réflexion sur la possibilité de saisir les opportunités qui s’offrent au pays, et notamment celle-ci : Le peuple peut prendre le pouvoir le 12 décembre prochain.

    Une fenêtre de tir unique s’offre à l’Algérie. Certes, la marge est étroite, les délais très courts, les acteurs non préparés, mais la possibilité pour le peuple algérien de reprendre ses destinées en mains, pour construire un Etat de droit, avec des institutions pérennes, à la faveur de l’élection présidentielle du 12 décembre 2019, est réelle.

    Une victoire d’un candidat du peuple est possible le 12 décembre prochain, à cinq conditions :

    1. Organiser une mobilisation massive autour d’un candidat du peuple, qui défendra un programme consensuel limité : élaboration d’une nouvelle constitution consacrant la séparation des pouvoirs, adoption de nouvelles lois sur les élections, la presse, les libertés, les associations, garantir l’indépendance de la justice, la liberté d’opinion, de la presse et d’expression, et surtout institutionnaliser le pouvoir.

    2. Le hirak doit sortir de cette position défensive, radicale, confortable mais improductive. Il est nécessaire d’innover, d’oser de nouveaux horizons, de s’engager dans quelque chose d’inédit. L’heure est venue de prendre les risques que la situation impose. La contestation populaire a permis au pays de réaliser une formidable avancée, mais cette contestation se cantonne dans le refus. Elle doit passer à une autre étape, celle de l’élaboration d’un projet consensuel.

    3. Accepter de mettre de côté tout ce qui est clivant, source de divergences, pour se consacrer à ce qui est fondamental. Quand elle était à son apogée, la contestation populaire avait des revendications consensuelles auxquelles il est nécessaire de revenir. Autrement, le hirak perdra irrémédiablement de sa force morale et politique.

    4. Envisager de construire un projet avec l’armée, pas contre l’armée, ni sans elle. Vouloir imposer un projet contre la volonté de l’armée n’a pas de sens. Le faire sans elle est risqué. L’armée a montré de réelles dispositions, même si, par moments, elle privilégie son propre agenda, avec des choix qui entravent la construction d’un projet démocratique. Mais une convergence entre agenda de l’armée et volonté populaire est possible.

    5. Une disqualification des candidatures éventuelles du pouvoir et celles, parasites.

    Si le peuple a un candidat, aucun postulant du pouvoir ne pourra remporter l’élection présidentielle sans une fraude massive. Dans la conjoncture actuelle, organiser une fraude massive comme c’était la tradition, c’est déclarer la guerre au peuple, ce que l’armée ne peut pas faire. Ce serait trop risqué.

    Battre le candidat du pouvoir

    Les candidats du pouvoir sont aujourd’hui trop disqualifiés pour espérer remporter la présidentielle du 12 décembre. Il n’y a pas un candidat écrasant, ni un appareil électoral capable de garantir une victoire.
    Prenons le cas de M. Abdelmadjid Tebboune, présenté comme un potentiel candidat du pouvoir. Il n’a pas de base électorale, pas de parti à sa disposition, pas d’appareil électoral, peu de réseaux, si ce n’est ceux de l’ancien pouvoir. Il n’a aucune chance de remporter la présidentielle s’il ne bénéficie pas d’un appui massif de l’administration et des réseaux d’allégeance.

    Une forte mobilisation autour d’un candidat du peuple peut neutraliser, sinon détruire ce soutien en faveur de M. Tebboune. En tout état de cause, l’armée ne peut valider une option Tebboune si une alternative populaire est présente. La victoire de M. Tebboune ne serait possible que par défaut, avec l’absence d’une candidature populaire et le rejet des autres candidats.
    L’idéal serait que le peuple désigne son candidat avant le dépôt des candidatures. Il serait alors possible de demander aux candidats potentiels de l’opposition de s’abstenir, pour laisser le candidat du peuple seul face à celui ou ceux du pouvoir. Ils pourraient même être associés à la victoire.

    Une autre stratégie

    Prendre le pouvoir exige une nouvelle stratégie. C’est là que réside la difficulté. Il faut aller à la conquête du pouvoir, non se contenter de recenser les tares du système, les erreurs du gouvernement et les défaillances dans la gestion. Il faut passer à une stratégie qui permette d’acculer les réseaux d’allégeance, les réduire à la défensive, les assiéger pour neutraliser leur capacité de nuisance ; une stratégie qui oblige aussi les alliés éventuels du peuple à se démarquer, à s’aligner sur ses revendications et à s’engager avec lui.

    Il n’est pas nécessaire d’amener l’armée à une abdication politique. Ce serait même dangereux. Il s’agit d’adopter une démarche que l’armée ne pourra qu’accompagner, car ce sera celle de la raison, du consensus, du patriotisme.
    A contrario, adopter des attitudes inutilement agressive envers l’armée et son commandement, véhiculer des slogans insultants, développer des comportements hostiles sans autre but que de prouver son radicalisme, ne mène qu’à l’incompréhension, source de malentendus et de conflits aussi inutiles que destructeurs.

    Tout plaide pour que cette démarche soit possible. Pourtant, je suis pessimiste. Ou plutôt sceptique.

    Pour cinq raisons :

    1. L’absence de maturité des acteurs politiques. Beaucoup de personnalités, de partis, d’hommes d’influence, n’arrivent pas à classer les priorités, à distinguer le fondamental du secondaire, à établir cette différence fondamentale entre stratégie et tactique. Beaucoup s’attachent à des revendications secondaires partielles, partiales, au détriment de ce qui est fondamental.

    2. Des acteurs politiques seront contre cette démarche parce qu’elle signerait leur déclin, voire leur fin. Beaucoup d’acteurs politiques d’aujourd’hui ne vivent que par la crise, par ses effets, par les faux débats et les faux conflits qu’elle génère. La poursuite de la crise leur offrirait une visibilité qui serait impossible si le pays entrait dans une nouvelle ère.

    3. Des intérêts non nationaux, des stratégies non nationales, se sont greffés sur la crise actuelle. Des acteurs politiques algériens, partis, personnalités, s’inscrivent clairement dans des agendas non algériens. Une solution nationale à la crise les pénaliserait.

    4. Le manque de confiance, la suspicion, la peur, paralysent les acteurs politiques. Nombre d’hommes d’influence admettent, en privé, qu’il est possible d’opérer, de faire autrement, mais ils n’osent l’exprimer publiquement, de peur d’être pris à partie par la masse. C’est le résultat terrible de l’ère Bouteflika où la moindre velléité de faire avancer le débat déclenche une avalanche de critiques et d’insultes, particulièrement sur les réseaux sociaux.

    5. Nombre d’acteurs politiques ont des agendas incompatibles avec la sortie de crise. Il y a ceux qui veulent accéder au pouvoir, ceux qui veulent participer au pouvoir, ceux qui veulent négocier leur place avec ou au sein du pouvoir, ceux qui vivent de la rente qu’offre leur position envers le pouvoir, etc. Tout ce monde a des agendas qui peuvent être mis mal par une démarche sérieuse de sortie de crise. Ils redoutent qu’une démarche osée pour une sortie de crise perturbe leur agenda.

    Cher ami,

    Je sais que la démarche générale au sein du hirak est de refuser la présidentielle du 12 décembre. Je sais que les conditions posées pour aller à la présidentielle ne sont pas toutes réunies. Je sais également que ce n’est pas la solution que tu préconises. Je sais que le fond et la forme sont totalement imbriqués.

    Je suis cependant convaincu que le peuple peut envisager de détourner à son profit cette opportunité, du moment que le cap vers la démocratie, l’Etat de droit, les libertés, l’indépendance de la justice et de la presse, est maintenu.
    Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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    • #3
      je pense que si Bouchachi ne se présente pas ... c'est par principe.

      le procédé est erroné à la base, rajoute à celà la voix des manifestants.

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      • #4
        @shadoc

        merci ya el akh, voilà, comme ça, qu'on soit pour ou contre, au moins, les choses sont claires
        l'algérie ne se résume pas uniquement à Mr Gaid Salah et les sorties du vendredi mardi, il y a des authentiques patriotes qui essaient ( tant bien que mal ) de sortir par le.....haut, avant que ça dégènere, personne n'est gagnant, si l'armée perd ( et elle peut très facilement perdre ) c'est l'algérie entière qu'on perdra, c'est mon point de vue en tous cas.

        donc, Abed Charef met les algériens et précisement Mustapha Bouchachi devant un choix cornélien..

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        • #5
          Abed Charef se trompe. Participer à ces élections est un piège. Tout est verrouillé pour faire sortir le candidat du pouvoir. C’est l’administration FLN /RND qui va gérer les bureaux de vote. L’instance indépendante d’organisation et de surveillance des élections n’est pas neutre.

          L'armée cherche à placer un président qui soit sous son contrôle, Bouchachi n'acceptera pas de jouer ce rôle. En plus Bouchachi ne peut pas se porter candidat contre la volonté du Hirak qui est contre ces élections.
          Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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          • #6
            Abed Charef ne se trompe pas,il roule pour Gaid Salah ,il mets juste un peu les formes pour que ça ne soit pas trop flagrant .
            audelà de la question morale de participer à des élections alors que des détenus d'opinion remplissent les prisons par centaines , Charef sait trés bien que le régime rêverait d'une candidature de Bouchachi afin de donner plus de consistance et reflet à la future victoire de Tebboune par 55% des voix contre 40 % pour Bouchachi ,5 % pour le reste , victoire évidemment totalement préfabriquée comme de coutume puisqu' Gaid Salah a et le régime ont la main sur l'organisation,le dépouillement et l'annonce des résultats du scrutin en faveur d'un tebboune qui bénéficiera des fonds propres de l'Etat en plus du coup de pouce de l'administration .
            Dernière modification par xenon, 27 septembre 2019, 17h33.
            ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
            On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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            • #7
              trop facile comme réponse, je dirais, et tu m"excusera de mon insolence justifiée, un argument ....enfantin !! LOL

              si Bouchachi daigne se présenter, c'est effectivement pas évident pour lui et c'est pas forcément pour des raisons que chacun peut penser à son niveau, tellement les enjeux sont importants, risqués et compliqués

              et encore, c'est pas dit que Gaid Salah accèpte, faut pas négliger ça, tellement on fonce tête baissée dans son raisonnement réducteur

              il y a aussi le mot à dire du Hirak du vendredi, ça aussi c'est pas simple

              quand à la réponse facile et enfantine, le pouvoir ne peut pas tricher devant Bouchachi comme candidat, c'est ça la vraie REVOLUTION silmiya ( en dehors des manifs bien sûr )

              si le peuple est derrière BOUCHACHI, il suffit juste d'imaginer les conséquences et le déroulement des choses.....

              hélàs, la proposition vient un peu tard, mais, on est à un cheveu....

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              • #8
                C'est un ancien 33 tours d'un disque rayè
                Tout ce qu'il dit a ètè fait
                Le probleme dans les ecrits ou le respect des ecrits??
                Si vous lisez la constitution c'est la meilleurs du monde
                L'equipe houteflika l'avait respectè?
                Yak boutflika avec un avec et ses sbires au gouvernement faisait la chkata en disant le roi a fait un programme .?une personne avec un avc fait un programme?? Et meme s'il n'avait rien
                Un president dans in republique fait un programme economique.
                Il peut donner son avis ou editer srs idees dans un livre..les gens le consulte
                Ceryain sont piur d'autre compte les proffessionel avec experience font le tri
                Il retoennent les bonne idee a debatre et a fructifier...

                Le probleme du peuple est claire
                Logement
                Lot de terrain
                Lutte contre le gaspillage
                Sanre
                Educationmcadre de vie
                Importation de vehicule d'ccasion moins de 10 ans sachant qu'il a une voiture de pkuscde 2ans il va se tier dedans ou tuer l'autre?? Et le gouvernement tellement bouchè se contredit
                Pour lui moinscde 10 ans c'est khourda et toi tu vois les gens prendre des taxi long trajet sur des vehicule des annee 19940 et son minister du transport donne la licence de tranpirt a autocar et un taxi de pkuscde 15 ans??
                Elkah yahame babakoum ses gens ont une cervelle pour voir la diffrence entre ce qu'il dit et ce qu'il fait?? Ce bnadame n'a mrme pas le sens du bon sens..
                A moins s'il frapoe toujours un calumet de zatla ou deux bouteille de rome
                Les neurones sont enchevetrès...

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                • #9
                  ça peut paraître 'une provocation', mais perso, je dirais que c'est pas la pire des propostions bien au contraire
                  Grotesque initiative de manipulation mais je ne pense pas que le Hirak ou Bouchachi ou tous les autres animateurs de ce mouvement se referent au pire.

                  Mr Tizi, revenez donc avec une initiative intelligente.
                  Si la vie n'est pas une partie de plaisir, l'alternative est pire.

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                  • #10
                    trop facile comme réponse, je dirais, et tu m"excusera de mon insolence justifiée, un argument ....enfantin !! LOL
                    ce qui est enfantin,ce sont tes LOL,Bouchachi ne participera pas à ces éléctions,de même que Hamrouche,Benbitour ou encore quelques autres cadors de la politique algérienne et ce pour les mêmes raisons que j'ai évoqué plus haut ,qui sont tout sauf enfantins .
                    le régime veut mettre sur orbite Tebboune,trés bien,il n'a pas daigné répondre ne serait ce par courtoisie à aucune des propositions de dialogue franc et de sortie de crise ,pas mêmes celles émanant du trio Brahimi,Benyelles,et abdenour,trés bien aussi ,qu'il organise son 12 décembre avec le personnel à sa disposition et qu'il place son tebboune sur le fauteuil ,la rue algérienne elle sait ce qu'elle veut et elle ne veut plus de ces méthodes et de ce système.
                    ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
                    On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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                    • #11
                      Charef sait trés bien que le régime rêverait d'une candidature de Bouchachi afin de donner plus de consistance et reflet à la future victoire de Tebboune par 55% des voix contre 40 % pour Bouchachi ,5 % pour le reste
                      T'as raison xenon, le pouvoir cherche un lièvre qui soit plus crédible. Ceux qui sont entrer dans la course des présidentielles ont tous la tare d'être des anciens du système.
                      Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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                      • #12
                        - l'algérie avec la dictature en vue va direct à la ....somalisation, sans aucun doute.

                        - l'algérie avec une confrontation Hirak vs Gaid Salah, aura l'arbitrage à terme du FMI banque mondiale et club de Paris, et devinez quoi ? les occidentaux vont preferer l'armée en douce, parce que c'est comme ça ( el fahem yafhem )

                        - l'algérie avec l'armée battue et un hirak vainqueur, va avoir une guerre civile inévitable quand elle aura à commencer à rédiger sa nouvelle constitution par seulement l'article 1 ou 2 ou 3

                        l"Etat du pays est tellement dégradé, et surtout la 3issaba a un trésor d'argent tellement conséquent, que seuls, les gens qui ont les sous gouverneront le pays ( y compris en le coupant en morceaux, voir libye )

                        - à supposer que la démocratie s'installe, ( on peux rêver, il faut tout prévoir ) il y a l'économie qui va dicter bientôt les choses,
                        c'est d'ailleurs une des raisons pourquoi l'armée et son Gaid soient sûr d'eux, ils savent qu'ils ont déjà ni-ké à fond le pays et qu'un prochain président sera dégagé au bout de 6 mois de disette et des hausses des prix

                        voilà je suis enfin arrivé à tes préoCcupations et à celles que tu attribue au peuple ya si Pack 2000 LOL

                        Commentaire


                        • #13
                          @Tizi oualou
                          L'idée a été déjà discuté - ce journaliste vient très en retard- que le Hirak présente un seul candidat pour le 4 juil ... et comme il y avait plusieurs courants au sein du hirak , il était impossible d’établir un consensus...

                          Bouchachi c'est un démocrate ... la composition du hirak est quasiment la même ... et pourquoi Bouchachi et pas un autre ? ...islamiste ou nationaliste ...?
                          mais le plus important c'est l'organisation des elections par la même bande de Boutef

                          voilà .. un refus par principe .. en dehors de ce qui se trame à l'état major ..

                          Commentaire


                          • #14
                            il y aura un candidat militaire du hirak

                            Commentaire


                            • #15
                              @xenon

                              puisque tu évoques Hamrouche et Benbitour, c'est que tu es effectivement un enfant, enfin tu raisonnes comme un enfant. RE LOL

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