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salam
Vendredi 27 septembre 2019 15h44 - lakome
Des activistes des droits de l'homme au Maroc ont manifesté vendredi pour demander l'ouverture de frontières terrestres avec l'Algérie voisine et la fin des souffrances des résidents des deux côtés lors des déplacements aériens.
Des militants ont manifesté devant le consulat d'Algérie à Oujda, à l'invitation de l'Association Alkarama pour les droits de l'homme.
S'exprimant en marge de la manifestation, Lahcen Akbayo, président de l'Association Al-Karama pour les droits de l'homme, a rencontré le consul adjoint qui a promis d'organiser une réunion avec le consul dans le but de remettre une pétition demandant l'ouverture de la frontière.
"La pause intervient après plusieurs années de fermeture de la frontière."
Selon le texte de la lettre, les manifestants exigent "d'adopter une position courageuse qui prenne en compte l'intérêt commun et les liens du sang, de l'histoire, de l'arabisme et de l'islam" et réponde aux "exigences des transformations régionales et internationales".
Ils ont également demandé au consul d'Algérie à Oujda de "travailler pour soutenir l'initiative de rapprochement et jeter les bases d'une coopération continue à travers l'histoire, afin de répondre au désir des deux peuples frères d'ouvrir des frontières, afin de répondre aux attentes de tous, en liaison avec le travail de matrice et de construction, dans la perspective de la création d'un avenir commun qui réponde aux exigences de la Maghreb." ”.
La pause intervient deux jours après la fermeture de la frontière terrestre entre les deux pays depuis 1994, temporairement, pour permettre le passage des corps de trois migrants qui se sont noyés sur la côte algérienne il y a 10 jours.
Les deux pays ont échangé des annulations de visas après avoir été imposés par Rabat en 1994. L'Algérie a réagi dans le même sens et a décidé de fermer la frontière, l'accusant d'être
Vendredi 27 septembre 2019 15h44 - lakome
Des activistes des droits de l'homme au Maroc ont manifesté vendredi pour demander l'ouverture de frontières terrestres avec l'Algérie voisine et la fin des souffrances des résidents des deux côtés lors des déplacements aériens.
Des militants ont manifesté devant le consulat d'Algérie à Oujda, à l'invitation de l'Association Alkarama pour les droits de l'homme.
S'exprimant en marge de la manifestation, Lahcen Akbayo, président de l'Association Al-Karama pour les droits de l'homme, a rencontré le consul adjoint qui a promis d'organiser une réunion avec le consul dans le but de remettre une pétition demandant l'ouverture de la frontière.
"La pause intervient après plusieurs années de fermeture de la frontière."
Selon le texte de la lettre, les manifestants exigent "d'adopter une position courageuse qui prenne en compte l'intérêt commun et les liens du sang, de l'histoire, de l'arabisme et de l'islam" et réponde aux "exigences des transformations régionales et internationales".
Ils ont également demandé au consul d'Algérie à Oujda de "travailler pour soutenir l'initiative de rapprochement et jeter les bases d'une coopération continue à travers l'histoire, afin de répondre au désir des deux peuples frères d'ouvrir des frontières, afin de répondre aux attentes de tous, en liaison avec le travail de matrice et de construction, dans la perspective de la création d'un avenir commun qui réponde aux exigences de la Maghreb." ”.
La pause intervient deux jours après la fermeture de la frontière terrestre entre les deux pays depuis 1994, temporairement, pour permettre le passage des corps de trois migrants qui se sont noyés sur la côte algérienne il y a 10 jours.
Les deux pays ont échangé des annulations de visas après avoir été imposés par Rabat en 1994. L'Algérie a réagi dans le même sens et a décidé de fermer la frontière, l'accusant d'être