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Réagissant à la polémique suscitée par les déclarations de la sous-commission des droits de l’Homme du Parlement européen, l’Union européenne (UE) a apporté des éclaircissements sur sa position via une déclaration de sa porte-parole au journaliste Khadir Mohamed, ce lundi 30 septembre.
En effet, l’Union européenne précise sa position par rapport au Hirak en Algérie. Elle affirme, dans sa déclaration, que « l’Union européenne suit avec beaucoup d’attention les développements en Algérie ». Elle ajoute que « L’UE a encouragé depuis le début les Algériens à œuvrer à une issue démocratique et pacifique dans un esprit de dialogue et de responsabilité ».
L’Europe maintient sa ligne vis-à-vis du Hirak
L’Union européenne insiste sur ses positions de principes. « Nous maintenons cette ligne. Nous espérons que des élections contribuent à répondre aux aspirations profondes du peuple algérien, dans le respect des droits fondamentaux et dans un climat d’apaisement ».
La porte-parole de l’Union européenne explique que le respect de la souveraineté algérienne ne peut être un prétexte pour fermer l’œil sur les atteintes aux libertés. Elle affirme qu’il est important « que les libertés d’expression, d’association et de réunion soient garanties aux citoyens comme prévu par la Constitution de la République algérienne ».
Elle souligne que « l’état de droit et le respect des libertés et des engagements internationaux en matière des droits fondamentaux se trouvent au cœur des relations entre l’Union européenne et l’Algérie. « Nous soulignons l’importance du partenariat entre l’UE et l’Algérie et réaffirmons notre engagement à continuer à approfondir les relations avec l’Algérie, dans le respect de la souveraineté du peuple algérien », explique la porte-parole.
La position de l’Europe sur le
Hirak suscite la polémique en Algérie.
Il faut signaler que la déclaration de Marie Arena, la porte-parole de la sous-commission des droits de l’Homme au Parlement européen, a soulevé une vive polémique au sein de la société algérienne. Ces déclarations ont été considérées comme une ingérence dans les affaires internes du pays par certains acteurs politiques alors que d’autres les ont accueillies favorablement en insistant sur la nécessité de faire pression sur les décideurs algériens. ObservAlgérie
En effet, l’Union européenne précise sa position par rapport au Hirak en Algérie. Elle affirme, dans sa déclaration, que « l’Union européenne suit avec beaucoup d’attention les développements en Algérie ». Elle ajoute que « L’UE a encouragé depuis le début les Algériens à œuvrer à une issue démocratique et pacifique dans un esprit de dialogue et de responsabilité ».
L’Europe maintient sa ligne vis-à-vis du Hirak
L’Union européenne insiste sur ses positions de principes. « Nous maintenons cette ligne. Nous espérons que des élections contribuent à répondre aux aspirations profondes du peuple algérien, dans le respect des droits fondamentaux et dans un climat d’apaisement ».
La porte-parole de l’Union européenne explique que le respect de la souveraineté algérienne ne peut être un prétexte pour fermer l’œil sur les atteintes aux libertés. Elle affirme qu’il est important « que les libertés d’expression, d’association et de réunion soient garanties aux citoyens comme prévu par la Constitution de la République algérienne ».
Elle souligne que « l’état de droit et le respect des libertés et des engagements internationaux en matière des droits fondamentaux se trouvent au cœur des relations entre l’Union européenne et l’Algérie. « Nous soulignons l’importance du partenariat entre l’UE et l’Algérie et réaffirmons notre engagement à continuer à approfondir les relations avec l’Algérie, dans le respect de la souveraineté du peuple algérien », explique la porte-parole.
La position de l’Europe sur le
Hirak suscite la polémique en Algérie.
Il faut signaler que la déclaration de Marie Arena, la porte-parole de la sous-commission des droits de l’Homme au Parlement européen, a soulevé une vive polémique au sein de la société algérienne. Ces déclarations ont été considérées comme une ingérence dans les affaires internes du pays par certains acteurs politiques alors que d’autres les ont accueillies favorablement en insistant sur la nécessité de faire pression sur les décideurs algériens. ObservAlgérie
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