Tweet
(Agence Ecofin) - Au Maroc, la première rentrée académique de l’Institut de formation aux métiers des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique (IFMEREE-Tanger) a été lancée par le ministre de l’Education, Saïd Amzazi.
L’institut délivrera des diplômes de techniciens qualifiés pouvant intégrer des entreprises du secteur des énergies renouvelables ou de l’efficacité énergétique. Il propose également des sessions de formation continue et de perfectionnement pour ceux déjà actifs dans le secteur.
Outre ses salles de classe et sa salle de conférence, l’institut dispose également de minicentrales électriques qui seront utilisées pour la phase pratique de la formation, ainsi que d’un internat de 152 places.
Pour cette année qui débute le 1er octobre, il accueille 144 apprenants qui seront formés dans les sous-secteurs du solaire thermique, du solaire photovoltaïque, de l’éolien, de la biomasse et de l’efficacité énergétique. Dès la rentrée prochaine, ce chiffre est prévu pour passer à 400 apprenants.
Le projet de mise en place de cet institut a été lancé en 2015. Il a coûté 10 millions $ qui ont été mobilisés entre autres auprès de l’Agence française de développement et de l’Union européenne.
Cet institut est le deuxième du genre implanté dans le royaume, après celui de Oujda, et avant celui de Ouarzazate.
L’institut délivrera des diplômes de techniciens qualifiés pouvant intégrer des entreprises du secteur des énergies renouvelables ou de l’efficacité énergétique. Il propose également des sessions de formation continue et de perfectionnement pour ceux déjà actifs dans le secteur.
Outre ses salles de classe et sa salle de conférence, l’institut dispose également de minicentrales électriques qui seront utilisées pour la phase pratique de la formation, ainsi que d’un internat de 152 places.
Pour cette année qui débute le 1er octobre, il accueille 144 apprenants qui seront formés dans les sous-secteurs du solaire thermique, du solaire photovoltaïque, de l’éolien, de la biomasse et de l’efficacité énergétique. Dès la rentrée prochaine, ce chiffre est prévu pour passer à 400 apprenants.
Le projet de mise en place de cet institut a été lancé en 2015. Il a coûté 10 millions $ qui ont été mobilisés entre autres auprès de l’Agence française de développement et de l’Union européenne.
Cet institut est le deuxième du genre implanté dans le royaume, après celui de Oujda, et avant celui de Ouarzazate.