Abdelaziz Belkhadem, qui souhaitait laver l’affront que lui a fait subir, il y a cinq ans, le président de la République, poussé à la démission par le mouvement populaire, ne prendra pas sa revanche de sitôt.
Certainement pas à l’occasion de l’élection présidentielle du 12 décembre prochain.
Un rendez-vous à l’occasion duquel il a été pourtant donné, ces derniers temps, comme potentiel postulant à même de crédibiliser un peu plus un scrutin rejeté par nombre de partis, d’acteurs de la société civile, ainsi que par le mouvement populaire.
Sa candidature, susurrée dernièrement, aurait également pimenté une consultation électorale à laquelle sont partants, notamment, deux ex-Premiers ministres (Ali Benflis et Abdelmadjid Tebboune), deux anciens ministres (Abdelkader Bengrina et Belkacem Sahli) et une pléthore de chefs de partis et d’anonymes.
Réflexion
Mercredi 2 Octobre 2019 - 17:58
Certainement pas à l’occasion de l’élection présidentielle du 12 décembre prochain.
Un rendez-vous à l’occasion duquel il a été pourtant donné, ces derniers temps, comme potentiel postulant à même de crédibiliser un peu plus un scrutin rejeté par nombre de partis, d’acteurs de la société civile, ainsi que par le mouvement populaire.
Sa candidature, susurrée dernièrement, aurait également pimenté une consultation électorale à laquelle sont partants, notamment, deux ex-Premiers ministres (Ali Benflis et Abdelmadjid Tebboune), deux anciens ministres (Abdelkader Bengrina et Belkacem Sahli) et une pléthore de chefs de partis et d’anonymes.
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Mercredi 2 Octobre 2019 - 17:58
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