Durant l’année 2018, pas moins de 3 500 femmes sont mortes d’un cancer du sein et 13 000 nouveaux cas ont été diagnostiqués. Ces chiffres sont en hausse et alarment les spécialistes. Ces derniers ont déduit que cette maladie pourrait ainsi tuer 5,5 millions de femmes chaque année dans le monde en 2030 contre 3,5 millions en 2012.
En effet, le Centre international de recherche sur le Cancer (CIRC), dépendant de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), a annoncé que « sur les 53 076 cas de cancer détecté cette année en Algérie, plus de 2900 sont décédées ». Le reportage réalisé par la radio Chaine 3, et consacré au cancer du sein durant ce mois d’Octobre rose, a révélé que « l’absence de moyens de lutte plus efficace est la principale cause de ces décès ».
Cancer du sein : Les facteurs de risques en Algérie
Le coordinateur du Plan anti-cancer, le professeur Messaoud Zitouni, avait signalé qu’avec les 13 000 cas constatés annuellement, près de 3 500 femmes sont mortes d’un cancer du sein, car elles n’arrivent pas a vaincre la maladie. Cette affection représente plus de la moitié des divers types de cancers diagnostiqués chez la femme et un quart de celle affectant les hommes et les femmes confondus. Selon Messaoud Zitouni, le développement des cancers s’explique aussi par l’augmentation de la fréquence des « facteurs de risques de cancer connus liés à la transition économique rapide comme l’inactivité physique, une mauvaise alimentation, l’obésité, et des facteurs reproductifs », comme le fait de se marier tard, procréer à un âge tardif, et allaiter de moins en moins. Des efforts accrus en matière d’éducation et de prévention sont essentiels pour endiguer ce fléau grandissant. Le spécialiste estime que « le nombre de cancers ne baissera pas, tant que les autorités ne mettent pas en place des politiques publiques sérieuses et agressives. Mais aussi étalées dans le temps ». ObservAlgérie
En effet, le Centre international de recherche sur le Cancer (CIRC), dépendant de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), a annoncé que « sur les 53 076 cas de cancer détecté cette année en Algérie, plus de 2900 sont décédées ». Le reportage réalisé par la radio Chaine 3, et consacré au cancer du sein durant ce mois d’Octobre rose, a révélé que « l’absence de moyens de lutte plus efficace est la principale cause de ces décès ».
Cancer du sein : Les facteurs de risques en Algérie
Le coordinateur du Plan anti-cancer, le professeur Messaoud Zitouni, avait signalé qu’avec les 13 000 cas constatés annuellement, près de 3 500 femmes sont mortes d’un cancer du sein, car elles n’arrivent pas a vaincre la maladie. Cette affection représente plus de la moitié des divers types de cancers diagnostiqués chez la femme et un quart de celle affectant les hommes et les femmes confondus. Selon Messaoud Zitouni, le développement des cancers s’explique aussi par l’augmentation de la fréquence des « facteurs de risques de cancer connus liés à la transition économique rapide comme l’inactivité physique, une mauvaise alimentation, l’obésité, et des facteurs reproductifs », comme le fait de se marier tard, procréer à un âge tardif, et allaiter de moins en moins. Des efforts accrus en matière d’éducation et de prévention sont essentiels pour endiguer ce fléau grandissant. Le spécialiste estime que « le nombre de cancers ne baissera pas, tant que les autorités ne mettent pas en place des politiques publiques sérieuses et agressives. Mais aussi étalées dans le temps ». ObservAlgérie