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Algérie – L’ambassadrice de la République fédérale d’Allemagne, Ulrike Knotz, a salué, jeudi 3 octobre le hirak du peuple algérien déclenché le 22 février contre le système politique au pouvoir.
L’ambassadrice allemande a estimé, à l’occasion de l’anniversaire de la réunification de l’Allemagne, le 3 octobre 1990, que le hirak algérien est une phase importante de l’histoire du pays. Ulrike Knotz a déclaré que « les Allemands et le monde entier sont impressionnés, par le pacifisme et le civisme des manifestants algériens ».
L’ambassadrice de l’Allemagne a indiqué que « l’Algérie joue un rôle central au niveau régional et continental. Les relations bilatérales entre nos deux pays connaîtront une évolution importante après le retour à la normale de la situation politique en Algérie ».
L’Allemagne s’informe sur la situation politique en Algérie
Par ailleurs, la République fédérale d’Allemagne a su rester discrète et peu bavarde sur l’évolution de la situation politique en Algérie, depuis le début du hirak. Cependant, l’impasse politique dans le pays et les derniers développements en Libye, qui menacent de déstabiliser l’ensemble de la région ainsi que le continent africain, ont poussé Berlin à s’informer davantage sur la question algérienne.
La chancelière allemande Angela Merkel a chargé son conseiller en politique étrangère, Jan Hecker, de s’informer sur la situation politique en Algérie. Le conseiller de la chancelière allemande a eu, le 19 septembre, un entretien téléphonique avec le ministre des Affaires étrangères, Sabri Boukadoum. Plusieurs sujets ont été abordés.
Les questions internationales et régionales d’intérêt commun ont été « au centre de l’échange entre le chef de la diplomatie algérienne et son interlocuteur allemand ». « Les relations d’ensemble entre les deux pays ont également été passées en revue à l’occasion de cet entretien », a indiqué l’agence de presse officielle.
Par ailleurs, l’évolution de la situation politique en Algérie a été également abordée par les deux parties. L’Allemagne a voulu s’enquérir des récents développements de la crise algérienne et le plan des autorités pour une sortie de crise. ObservAlgérie
L’ambassadrice allemande a estimé, à l’occasion de l’anniversaire de la réunification de l’Allemagne, le 3 octobre 1990, que le hirak algérien est une phase importante de l’histoire du pays. Ulrike Knotz a déclaré que « les Allemands et le monde entier sont impressionnés, par le pacifisme et le civisme des manifestants algériens ».
L’ambassadrice de l’Allemagne a indiqué que « l’Algérie joue un rôle central au niveau régional et continental. Les relations bilatérales entre nos deux pays connaîtront une évolution importante après le retour à la normale de la situation politique en Algérie ».
L’Allemagne s’informe sur la situation politique en Algérie
Par ailleurs, la République fédérale d’Allemagne a su rester discrète et peu bavarde sur l’évolution de la situation politique en Algérie, depuis le début du hirak. Cependant, l’impasse politique dans le pays et les derniers développements en Libye, qui menacent de déstabiliser l’ensemble de la région ainsi que le continent africain, ont poussé Berlin à s’informer davantage sur la question algérienne.
La chancelière allemande Angela Merkel a chargé son conseiller en politique étrangère, Jan Hecker, de s’informer sur la situation politique en Algérie. Le conseiller de la chancelière allemande a eu, le 19 septembre, un entretien téléphonique avec le ministre des Affaires étrangères, Sabri Boukadoum. Plusieurs sujets ont été abordés.
Les questions internationales et régionales d’intérêt commun ont été « au centre de l’échange entre le chef de la diplomatie algérienne et son interlocuteur allemand ». « Les relations d’ensemble entre les deux pays ont également été passées en revue à l’occasion de cet entretien », a indiqué l’agence de presse officielle.
Par ailleurs, l’évolution de la situation politique en Algérie a été également abordée par les deux parties. L’Allemagne a voulu s’enquérir des récents développements de la crise algérienne et le plan des autorités pour une sortie de crise. ObservAlgérie
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