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Les Etats-Unis offrent 5M$ pour des informations sur un ex-membre du Polisario

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  • Les Etats-Unis offrent 5M$ pour des informations sur un ex-membre du Polisario

    Publié il y a 10 heures
    Les Etats-Unis offrent 5M$ pour des informations sur un ex-membre du Polisario

    Abou Walid al-Sahraoui / DR
    Le département d'Etat américain a annoncé vendredi 4 octobre une offre de récompense pouvant aller jusqu'à 5 millions de dollars pour des informations permettant d'identifier ou de localiser Adnan Abou Walid al-Sahraoui, un ancien membre du Polisario, devenu chef de l’Organisation Etat islamique dans le Grand Sahara, rapporte la MAP. La même nouvelle a été également cité quelques heures auparavant par l’agence officielle de presse du Koweït.

    Abou Walid a «proclamé pour la première fois l’allégeance de son groupe à Daesh en mai 2015», indique le Programme Rewards for Justice du département d'Etat. En mai 2016, il menaçait dans un enregistrement audio de s’en prendre aux intérêts du Maroc et aux casques bleus de la MINURSO.



    Son groupe est basé principalement le long de la frontière entre le Mali et le Niger. Sous la direction d’Abou Walid, l’OEIGS a revendiqué plusieurs attaques terroristes dont notamment celle du 4 octobre 2017 visant une patrouille conjointe Américano-Nigérienne dans la région de Tongo Tongo au Niger, près de la frontière malienne, entraînant la mort de quatre soldats américains et de quatre militaires nigériens.

    Le 16 mai 2018, le Département d’État américain avait inscrit Abou Walid sur sa liste noire. Le 9 août de la même année, les Nations unies emboîtaient le pas aux Américains.

    Cette annonce de récompense apporte davantage d'arguments au Maroc pour pointer la connexion entre le Polisario et les groupes terroristes. Un fait que même des médias du Front ne cachent plus comme en témoigne l’article de Futuro Sahara publié en octobre 2017 consacré à la fuite des sahraouis vers les entités jihadistes opérant au Sahel.


    Ya biladi

  • #2
    Recherché

    Renseignements qui traduisent en justice...
    Adnane Abou Walid al-Sahraoui
    Adnane Abou Walid al-Sahraoui
    Jusqu'à 5 millions de dollars de récompense

    Adnane Abou Walid al-Sahraoui (Abou Walid) est le chef de l’Organisation Terroriste Étrangère (FTO) appelée État Islamique dans le Grand Sahara (également connu sous le nom d’ISIS-GS). ISIS-GS est né du départ de Abou Walid et de ses partisans du groupe dissident d’Al-Qaida, Al-Mourabitoune.

    Abou Walid a proclamé pour la première fois l’allégeance de son groupe à ISIS en mai 2015 et, en octobre 2016, ISIS l’a reconnu. Basée principalement au Mali le long de la frontière entre le Mali et le Niger, ISIS-GS a revendiqué plusieurs attaques sous la direction d’Abou Walid, notamment l’attaque du 4 octobre 2017 contre une patrouille conjointe Américano-Nigérienne dans la région de Tongo Tongo au Niger, près de la frontière malienne. Cette attaque a entraîné la mort de quatre soldats Américains et de quatre soldats Nigériens.

    Le Département d’État Américain a désigné le 16 mai 2018 Abou Walid Terroriste Mondial Spécialement Désigné en vertu de l’Instruction 13224 et ISIS-GS en tant qu’Organisation Terroriste Étrangère (FTO) au sens de l’article 219 de la Loi sur l’Immigration et la Nationalité.

    rewardsforjustice.net

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    • #3
      Le Maroc joue avec le feu pour impliquer le polisario comme entité terroriste

      Peut-on jamais croire que les services secrets marocains sont impliqués dans la planification ou même l’exécution d’actes terroristes ? En tout cas, des indications et le témoignage d’un jeune Sahraoui confirment cela.

      Peut-on jamais croire que les services secrets marocains sont impliqués dans la planification ou même l’exécution d’actes terroristes ? En tout cas, des indications et le témoignage d’un jeune Sahraoui confirment cela.
      Les services secrets marocains ont au moins essayé de contraindre un jeune prisonnier politique sahraoui, du nom de Mohamed Daihani, à travailler sous leurs ordres et à accomplir “au nom d’Al-Qaïda et du Polisario” des actes terroristes à El-Ayoun, la capitale occupée du Sahara occidental, avec pour buts : l’association du Front Polisario au terrorisme et le dénigrement de la lutte pacifique de la résistance sahraouie.
      Cette histoire n’aurait jamais pu être révélée au public si le jeune Daihani, enlevé le 28 avril 2010, avait cédé au chantage et aux pressions, dans la fameuse prison secrète de Témara (au sud de Rabat), où il a passé 6 mois de détention secrète. Dans cette prison, il a subi des tortures pendant plus de 10 jours. Et, après 6 mois de vaines tentatives visant à forcer la main au jeune Daihani, les autorités marocaines ont fini par le transférer, le 29 octobre 2010, à la prison de Salé, pour être présenté un an plus tard (le 27 octobre 2011), devant un tribunal marocain qui a prononcé un emprisonnement ferme de 10 ans. Mohamed Daihani était accusé d’avoir préparé des opérations terroristes dignes d’un mauvais film d’espionnage. Le 30 avril dernier, le tribunal marocain de 2e instance, à Rabat, a confirmé la sentence, malgré toutes les anomalies enregistrées par les avocats de la défense et les déclarations de la victime.
      La famille Daihani, soutenue par l’Association marocaine des droits de l’homme, avait organisé une conférence de presse, le 8 mai 2012, animée par la présidente de l’ONG marocaine, Mme Khadija Riyadi, et le président de l’Association sahraouie des victimes des graves violations commises par l’État marocain, Brahim Dahan. Elle a fait part du témoignage de Mohamed, qui leur a raconté en détail comment il a été torturé, comment des agents marocains lui ont ensuite proposé d’arrêter de le torturer s’il collaborait, ce qu’il a accepté dans un premier temps, sous la torture, avant de découvrir ce qu’ils attendaient de lui : se déclarer responsable d’opérations terroristes que les services “allaient faire échouer” ou même commettre pour faire vrai. De plus, les agents voulaient qu’il déclare à la presse “après son arrestation” qu’il avait des plans et des ordres venant du Front Polisario, pour poser une bombe à la prison d’El-Ayoun et libérer des prisonniers politiques, assassiner des Sahraouis collaborateurs avec les autorités marocaines, supprimer de hauts fonctionnaires marocains, attaquer des voitures de police (avec des bombes), attaquer ou assassiner des touristes et des étrangers aux abords de l’hôtel Neggir, à El-Ayoun-Plage. Tout cela, en se déclarant coupable également de la préparation de quelques attaques terroristes contre des objectifs en Italie, puisqu’il avait résidé dans ce pays de 2002 à 2008.
      La victime avait aussi révélé que le harcèlement et les intimidations ont été poursuivis contre lui dans la prison de Salé, où il a eu la chance de rencontrer d’autres prisonniers politiques sahraouis et des familles, y compris la sienne, pour les informer de ce qui lui arrive.
      L’histoire de Mohamed conforte les analyses et les différents indices qui pointent du doigt les services secrets marocains, les accusant d’implications dans plusieurs opérations douteuses de trafic de drogue, de relations avec des groupes terroristes, de responsabilité fort probable dans le kidnapping de 3 représentants d’ONG internationales opérant dans les campements des réfugiés sahraouis en 2011, et aussi d’organisation d’une soi-disant “découverte d’armes à Amgala cachées par un groupe terroriste, près du mur militaire marocain, du côté occupé du Sahara occidental”.
      Enfin, l’histoire de Mohamed Daihani confirme les déclarations faites au journal El Khabar, en août 2007, par Abdelhak Layada, fondateur du groupe terroriste algérien GIA, qui avait affirmé que les services marocains lui avaient proposé de recruter des étudiants sahraouis, pour les faire entrer dans les territoires occupés du Sahara occidental, où ils seraient arrêtés, offrant aux Marocains la possibilité d’engager tout une campagne médiatique contre le Polisario.
      Le Maroc joue avec le feu, mais il oublie peut-être que cela peut lui être plus fatal encore, quand ce feu se répandra dans toute la région, en l’enfonçant dans un futur sombre et explosif.

      Malainin Lakhal

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      • #4
        Extrait du 360.ma





        Adnan Abou Walid al Sahraoui, un émir du sang redoutable

        Né en 1973, à Laâyoune, Adnan Abou Walid al-Sahraoui, de son vrai nom Lehbib Ould Ali Ould Saïd Ould Joumani, a été récupéré, dès sa prime jeunesse, par le front polisario, qui l’a enrôlé dans les rangs de la prétendue «armée populaire de libération sahraouie».



        À l’instar de plusieurs éléments de ladite «armée populaire de libération sahraouie», Abou Walid al-Sahraoui s’est converti très tôt à l’activité jihadiste.



        Au début de la guerre terroriste au Mali, à l’origine du déclenchement en 2013 de l’opération militaire française «Serval», il est désigné porte-parole du "Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest" (Mujao), composante du groupe de sinistre réputation «Al Mourabitoune», fondé par l’ex-affidé des services algériens, Mokhtar Belmokhtar, né à Annaba.



        Le 13 mai 2015, un conflit éclate entre Adnane Abou-Walid al-Sahraoui et Mokatar Belmokhtar, alias «Al Awaar» (Le Borgne), surnommé également «Mister Marlboro" en raison du trafic de cigarettes volées auquel il s’adonnait pour acheter armes et munitions au profit de son activité terroriste. Adnan prête alors allégeance au soi-disant «calife» de «l’État islamique», Abou Bakr al-Baghdadi, en créant son propre groupe nommé «État islamique dans le Grand Sahara» (EI-GS), alors que Mokhtar Belmohtar, lui, continuait de se revendiquer de l’organisation «Al Qaïda au Maghreb islamique» (Aqmi).


        Vidéo. Laâyoune: sur les traces de Adnane Abou Walid Al-Sahraoui, chef de Daech au Grand Sahara


        Une fois le divorce consommé, Adnane Abou Walid al-Sahraoui multiplie, depuis sa planque à Gao, nord du Mali, des attaques à travers différents pays d’Afrique de l’Ouest.



        Le soir du 1er septembre 2016, un petit groupe de deux ou quatre djihadistes attaquent un poste de douane à Markoye, au Burkina Faso. Un douanier et un civil sont tués. Le 3 septembre, Adnane Abou Walid Al-Sahraoui revendique l'attaque, la première depuis son allégeance à l'État islamique. Le 12 octobre, quatre soldats burkinabés sont tués à Intangom dans une attaque revendiquée par l'EI. Puis le 17 octobre, une dizaine de combattants mènent un assaut qui échoue contre la prison de Koutoukalé, au Niger, et où un djihadiste est tué. Cette attaque est également revendiquée par le groupe d'Al-Sahraoui.



        Après ces attaques, l'État islamique reconnaît officiellement l'allégeance du groupe d'Al-Sahraoui le 30 octobre 2016.




        Galvanisé par cette reconnaissance officielle de la part d’Abou Bakr al-Baghdadi, Abou Walid al-Sahraoui s’embourbe dans le terrain miné du Niger.



        Le 24 février 2017, l'EI dans le Grand Sahara revendique l'attaque de Tilwa menée le 22 février contre l'armée nigérienne, le groupe affirme que l'opération a été directement organisée et commanditée par Al-Sahraoui. En octobre 2017, il récidive en tendant, cette fois, une embuscade à une patrouille conjointe américano-nigérienne près du village de Tongo Tongo, au Niger, qui a entraîné la mort de quatre soldats américains.



        Polisario-terrorisme, les liaisons dangereuses


        Il a donc fallu que quatre soldats américains soient tués au Niger pour que l’alerte déjà lancée par les services occidentaux sur la liaison entre le front polisario et les groupes jihadistes soit prise au sérieux. Ni les menaces d’attaques contre le Maroc, proférées précédemment par le «protégé» des services algéro-polisariens, Mokhtar Belmokhtar, ni les accointances d'Iad Ag Ghali, émir du groupe «Ansar-Dine», produit pur jus des services algériens, à l’origine des attaques sanglantes en 2013 contre Bamako, au Mali, n’avaient inquiété les États-Unis.



        Il n’échappait toutefois à personne que le front polisario, avec son mentor algérien, étaient directement impliqués avec les groupes jihadistes de tout poil essaimant la région sahélo-saharienne. Ce n’est pas un hasard si des dirigeants polisariens, avec la complicité d’officiers algériens, sont cités dans des affaires de trafic d’armes au profit des groupes jihadistes, pour ne pas parler du trafic de cocaïne en provenance d'Amérique Latine, de voitures volées, de cigarettes de contrebande…



        Ce n’est pas non plus un hasard si les dirigeants séparatistes accumulent aujourd’hui des fortunes colossales souvent blanchies dans l’activité immobilière et commerciale du côté de Nouadhiboau, en Mauritanie, ou encore du côté de Marbella, en Espagne.



        Un véritable business infamant s’organise au profit de la bande mafieuse terrée à Rabouni, et dont des officiers algériens tirent des dividendes bien juteux.

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        • #5
          De la poudre des yeux

          Le Makhzen tombe sur l'occasion pour faire d'une souris un montagne. C'est just un cas isole et n'est pas significatif. C'est pas tous la RASD. Des gens ont des particularites singulieres et propre a eux. De toute facon ce gars ne se bat pas au nom de la RASD. De toute facon il faut une investigatioon pour elucider cette accusation et se rassurer une de fake news que le makhnez veut utliser en sa faveur.

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          • #6
            fanatique
            Verifie par toi même si c'est un fake au lieu de parlotter en l'air,
            Un indice: rewardsforjustice.net

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            • #7
              l'iran veut aussi faire du polisario un hizbollah bis à tindouf.

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              • #8
                c'est toujours les mêmes fumisterires mahzeniennes.
                Le type est recherché pour appartenance à iSIS..
                et le foutage de gueule du makhzene prend le nom et en fait un gars du Polisario ...

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                • #9
                  Le type en question a fait ses armes dans la bande à Abdelaziz, où il a véritablement acquis une expérience de brigand du désert, ça on ne peut le nier.

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                  • #10
                    mais il est recherché en tant que membre d'ISIS...
                    faut etre honnête et ne pas chercher à faire des amalgames avec le Polisario.

                    Le makhzene a un ennemi, le Polisario. Il y a des façons de le combattre à part les mensonges et le fourberies.

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                    • #11
                      c'est un non événement cette affaire, il y a peut etre des sahraouis qui ont rejoint les rangs des terros du sahel mais c'est surement marginal. En tout cas s'il est réellement impliqué dans cette attaque qui a mené à la mort de soldats américains; il aura commis une grosse erreur car les ricains auront sa peau...

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                      • #12
                        Le Maroc n'a rien à se reprocher sur ce registre, comme c'est dit le Polisario est l'ennemi du Maroc tout ce qui en découle de ce constat est légitime.

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                        • #13
                          C'est le rêve marocain le polisario organisation terroriste pour qu'il soit lâché en international et combattus , le Maroc emplois toutes ses services et ressources pour agir sous la table , Anzoul est une de ses ressource ici sur FA

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                          • #14
                            Anzoul est une de ses ressource ici sur FA
                            lol gala, tu me fais un honneur inespéré.

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                            • #15
                              Les États-Unis offrent 5 millions de dollars pour la tête du chef de l’État islamique dans le Grand Sahara

                              par Laurent Lagneau · 5 octobre 2019
                              Le 4 octobre 2017, quatre commandos américains du 3rd Special Forces Group, partis en patrouille avec un détachement de l’armée nigérienne, furent tués lors d’une embuscade tendue par des jihadistes appartenant à l’État islamique dans le grand Sahara [EIGS] dans le secteur de Tongo Tongo, près de la frontière malienne.
                              Deux ans plus tard, dans le cadre de leur programme « Rewards for Justice », les États-Unis ont annoncé qu’ils offriraient jusqu’à 5 millions de dollars à quiconque fournirait des informations permettant de localiser Adnan Abou Walid Sahraoui, le chef de l’EIGS. Ce dernier avait déjà été inscrit sur la « liste noire » américaine l’an passé.
                              En outre, une autre récompense, d’un montant identique, sera également proposée pour tout renseignement permettant « l’arrestation ou la condamnation dans n’importe quel pays de toute personne qui a commis, ourdi ou favorisé l’embuscade. »
                              « À ce stade, je ne pense pas que nous ayons arrêté qui que ce soit en lien avec le guet-apens », mais avec les récompenses, « nous espérons obtenir des indices ou informations qui permettent au gouvernement américain ou nigérien d’enquêter et de trouver les auteurs de cette attaque », a expliqué un responsable de la diplomatie américaine, cité par l’AFP.
                              Cela étant, en août 2018, l’un des responsables de l’embuscade de Tongo Tongo, un certain Mohamed Ag Almouner, a été tué par une frappe aérienne menée par la force Barkhane dans la région de Menaka [Mali].
                              Quant à Adnan Abou Walid Sahraoui, il est parvenu à passer entre les mailles du filet lors d’une opération française conduite à Intameda [Mali], en février 2018. Le général Bruno Guibert, qui commandait la force Barkhane à l’époque, confiera plus tard que le chef de l’EIGS s’était probablement réfugié en Mauritanie.
                              Pour rappel, Sahraoui a fait allégeance à l’EI en 2015, après avoir rompu avec le groupe al-Mourabitoune, qu’il avait rejoint alors qu’il était le porte-parole du Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest [MUJAO].
                              À noter que le programme « Rewards for Justice » offre des récompenses pour des renseignements concernant deux autres jihadistes actifs au Sahel, à savoir Hamad el-Khairy [pour son appartenance au MUJAO], et Malik Abou Abdelkrim [membre d’al-Qaïda au Maghreb islamique]. Le chef d’al-Mourabitoune, Mokhtar Belmokhtar, ne figure plus sur cette liste, alors que sa tête avait été mise à prix pour 5 millions de dollars. Et pour cause : il aurait été tué par une frappe aérienne française menée au sud de la Libye en novembre 2016. Mais sa mort n’a cependant jamais été officiellement confirmée.
                              Par ailleurs, le 19 septembre, le général Stephen Townsend, le chef de l’US AFRICOM, le commandement américain pour l’Afrique, a annoncé que les États-Unis allaient « renforcer » et « équiper » les forces armées nigériennes dans le cadre de la lutte contre les groupes terroristes et les activités criminelles. Et cela, alors que Niamey a autorisé les forces américaines à utiliser son territoire pour mettre en oeuvre des drones armés, notamment à partir d’Agadez.
                              « La mise en service effective de la base 201 d’Agadez apportera au Niger davantage de capacité de mission, d’agilité, de polyvalence et une gamme d’options de sécurité », a ainsi fait valoir le général Townsend. « Cela profitera également à la sécurité régionale dans son ensemble », a-t-il ajouté.




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