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En Algérie,un groupe mixte associant les banques publiques a été installé par le gouvernement afin d'étudier étudier la question de l’assainissement des entreprises privées .
Bonne nouvelle pour les chefs d’entreprise. Une très vieille revendication commune à l’ensemble des organisations patronales pourrait trouver sa résolution dans quelques jours en concertation avec les pouvoirs publics.
Il s’agit de la sempiternelle question des dettes des entreprises privées auprès des banques publiques accumulées en conséquence directe de la conjoncture économique du pays, à commencer par la dévaluation du dinar, les pertes de change qui en ont découlé en passant par les dégâts considérables engendrés par le terrorisme durant la décennie noire.
C’est ce que nous annonce le Forum des chefs d’entreprises (FCE) dans un communiqué parvenu hier à notre rédaction. A l’issue d’une rencontre, lundi dernier, de cette association, représentée par son président, Reda Hamiani, avec le ministre de la Petite et Moyenne Entreprise, M. Mustapha Benbada, il a été révélé qu’un «groupe de travail mixte composé de représentants du ministère de la PME, de celui de la réforme financière, du conseil national pour la promotion des PME, des associations professionnelles et des banques publiques a été installé pour étudier la question de l’assainissement des entreprises privées au même titre que les entreprises publiques». Aussi, le ministre a fait savoir que «le gouvernement prendra des mesures permettant d’assainir la situation des entreprises privées lourdement affectées par le poids des frais financiers dont elles souffrent et qu’elles traînent depuis de longues années», rapporte le communiqué.
Lors de cette rencontre avec le ministre, les discussions ont porté sur la mise à niveau des entreprises qui constitue une des priorités du département de Benbada, sur l’environnement économique des entreprises, leurs attentes et leurs difficultés qui risquent de s’accentuer et de se compliquer avec l’intensification de l’ouverture du marché. La résolution du problème de l’endettement ne constitue visiblement qu’un volet parmi d’autres puisque le ministre, cité par le communiqué du FCE, parle d’un certain nombre d’actions qui «sont menées pour mettre à la disposition des entreprises les moyens nécessaires à l’amélioration de leur compétitivité». Le FCE qui voit dans cette démarche «les prémices de la réforme d’ensemble qui permettrait de moderniser et d’adapter notre économie», a été invité «à apporter sa contribution et proposer des mesures concrètes permettant à la PME de se débarrasser du fardeau d’un endettement», fait-il encore savoir.
Par La Tribune
Bonne nouvelle pour les chefs d’entreprise. Une très vieille revendication commune à l’ensemble des organisations patronales pourrait trouver sa résolution dans quelques jours en concertation avec les pouvoirs publics.
Il s’agit de la sempiternelle question des dettes des entreprises privées auprès des banques publiques accumulées en conséquence directe de la conjoncture économique du pays, à commencer par la dévaluation du dinar, les pertes de change qui en ont découlé en passant par les dégâts considérables engendrés par le terrorisme durant la décennie noire.
C’est ce que nous annonce le Forum des chefs d’entreprises (FCE) dans un communiqué parvenu hier à notre rédaction. A l’issue d’une rencontre, lundi dernier, de cette association, représentée par son président, Reda Hamiani, avec le ministre de la Petite et Moyenne Entreprise, M. Mustapha Benbada, il a été révélé qu’un «groupe de travail mixte composé de représentants du ministère de la PME, de celui de la réforme financière, du conseil national pour la promotion des PME, des associations professionnelles et des banques publiques a été installé pour étudier la question de l’assainissement des entreprises privées au même titre que les entreprises publiques». Aussi, le ministre a fait savoir que «le gouvernement prendra des mesures permettant d’assainir la situation des entreprises privées lourdement affectées par le poids des frais financiers dont elles souffrent et qu’elles traînent depuis de longues années», rapporte le communiqué.
Lors de cette rencontre avec le ministre, les discussions ont porté sur la mise à niveau des entreprises qui constitue une des priorités du département de Benbada, sur l’environnement économique des entreprises, leurs attentes et leurs difficultés qui risquent de s’accentuer et de se compliquer avec l’intensification de l’ouverture du marché. La résolution du problème de l’endettement ne constitue visiblement qu’un volet parmi d’autres puisque le ministre, cité par le communiqué du FCE, parle d’un certain nombre d’actions qui «sont menées pour mettre à la disposition des entreprises les moyens nécessaires à l’amélioration de leur compétitivité». Le FCE qui voit dans cette démarche «les prémices de la réforme d’ensemble qui permettrait de moderniser et d’adapter notre économie», a été invité «à apporter sa contribution et proposer des mesures concrètes permettant à la PME de se débarrasser du fardeau d’un endettement», fait-il encore savoir.
Par La Tribune
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