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Le maroc attire une "vague" d'investissements en automobiles, selon jeune afrique

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  • Le maroc attire une "vague" d'investissements en automobiles, selon jeune afrique

    LE MAROC ATTIRE UNE "VAGUE" D'INVESTISSEMENTS EN AUTOMOBILES, SELON JEUNE AFRIQUE


    Écrit par*Leseco.ma avec MAP

    L'arrivée du constructeur automobile français Peugeot à Kénitra a entraîné une "vague" d'investissements d'équipementiers automobiles, notamment chinois, dans le Royaume, écrit l'hebdomadaire "Jeune Afrique" dans son dernier numéro.

    "Un symbole à lui seul : l'investissement massif - 350 millions d’euros - du groupe chinois Citic Dicastal dans une usine de jantes inaugurée, à la fin de juin, à Kénitra, témoigne du dynamisme de l’automobile au Maroc et de l’irruption des équipementiers de l’empire du Milieu dans ce pays", souligne la publication, notant que depuis deux ans, d’autres opérateurs comme Aetocar, Regal, Nanjing Xiezhong ou encore le sino-américain Nexteer y ont ouvert des usines.

    Selon le journal, il s'agit de l'effet de l'implantation de Peugeot et des liens que l'entreprise française entretient avec la Chine, faisant observer que les investissements européens, américains, japonais ou chinois, "n'ont jamais fléchi depuis le début de la décennie et l'ouverture de l'usine géante de Renault à Tanger, en 2012".

    Et d'ajouter que le site Peugeot de Kénitra donne un "nouvel élan" au secteur, précisant que le tissu industriel s'affiche déjà "sans équivalent" sur le continent africain, en raison notamment des taux d'intégration visés par les deux constructeurs dans le cadre de leurs relations contractuelles avec l'Etat : 65 % à l’horizon 2023 pour Renault et 80 % pour Peugeot (60 % actuellement).

    La publication estime qu'en dépit d'un SMIC presque deux fois plus élevé en comparaison avec des pays du voisinage et d'un foncier assez coûteux, les "industriels plébiscitent le Maroc pour sa politique libérale (le pays n'impose pas de capitaux locaux), pour ses aides publiques (jusqu'à 10% des projets), mais surtout pour son volume de production". Avec l'usine PSA et celle de Renault à Tanger et à Casablanca, le Royaume devrait produire plus de 700.000 véhicules par an à l'horizon 2022 - dont 90% pour l'export - et ainsi devenir le numéro 1 sur le continent africain, relève-t-on.
    Dernière modification par LockDown, 07 octobre 2019, 03h03.

  • #2
    c'est un pari gagné ,aujourd'hui le tissu industriel automobile est plus dense ,ce qui augure de l'implantation d'autres constructeurs dans l'avenir ,le plus dur est passé

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    • #3
      L'état doit protéger les pme locales par des allègements des charges, sinon elles risquent de faire faillite au profit des grands groupes qui viennent de s'installer et qui opèrent dans le même domaine.

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      • #4
        le ministère de l'industrie avait pour objectif d'attirer 1% des 85 millions d'emplois chinois qui allaient être délocalisés d'ici 2020.

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        • #5
          @Mtim,

          Matkhafch, rahoum jayin lderb omar.

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          • #6
            c'est un pari gagné ,aujourd'hui le tissu industriel automobile est plus dense ,ce qui augure de l'implantation d'autres constructeurs dans l'avenir ,le plus dur est passé
            Il faut continuer à le renforcer et à attirer les producteurs de matières premières destinées à l'automobile.

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            • #7
              Il faut continuer à le renforcer et à attirer les producteurs de matières premières destinées à l'automobile.
              il va falloir arrêter avec cette mentalité, il faut créer des producteurs de matières premières, certifiés, capables de remplir tout les engagements nécessaires, et ils doivent cravacher pour trouver leurs places, avec comme argument, la qualité bien sur, et le coût logistique, et les délais de livraison bien évidement....sinon on ne fait que patiner dans cette boue....

              mais vraiment quel gâchis!!!!

              t'imagines qu'on importe même de la bande adhésive là ou je bosse, parce qu'on a pas trouvé de fournisseurs au Maroc...même les palettes en bois au norme UE on en trouve pas...



              les normes et les standards sont difficile à respecter pour les nôtres....

              Commentaire


              • #8
                il va falloir arrêter avec cette mentalité, il faut créer des producteurs de matières premières, certifiés, capables de remplir tout les engagements nécessaires, et ils doivent cravacher pour trouver leurs places, avec comme argument, la qualité bien sur, et le coût logistique, et les délais de livraison bien évidement....sinon on ne fait que patiner dans cette boue....

                mais vraiment quel gâchis!!!!*

                t'imagines qu'on importe même de la bande adhésive là ou je bosse, parce qu'on a pas trouvé de fournisseurs au Maroc...même les palettes en bois au norme UE on en trouve pas...



                les normes et les standards sont difficile à respecter pour les nôtres....
                C'est exactement ce que je te dis il va falloir attirer des fournisseurs de matières premières qu'ils soient nationaux ou étrangers pour ne plus opérer avec des matières premières d'importation. Pour ce qui concerne la qualité c'est une histoire de prix de revient, de rentabilité et de marché. Tout dépend de la stratégie de l'entreprise et des marchés qu'elle veut conquérir ! L'investissement nationale de masse et de qualité ça ne se décrète pas ça se construit sur la longueur !

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                • #9
                  Une vague et ... bilan sur les 8 premiers mois 2019 : -30% pour les IDE.

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                  • #10
                    le ministère de l'industrie avait pour objectif d'attirer 1% des 85 millions d'emplois chinois qui allaient être délocalisés d'ici 2020.

                    une chose que je crains sérieusement c'est un déplacement anarchique d’ateliers entiers de fabrication mécanique avec leurs ouvriers et leurs machines modernes,l'étouffement du secteur locale serait effectif dés les premiers mois vu les salaires des ouvriers chinois et leurs productivité.

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                    • #11
                      l'étouffement du secteur locale
                      Si on se réfère au HCP et vu des emplois locaux, les chinois n'étoufferont rien du tout.
                      Dernière modification par jawzia, 08 octobre 2019, 16h51.

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                      • #12
                        Si on se réfère au HCP


                        cela n'a rien avoir jawzia,
                        le peu d’atelier de fabrication mécanique au Maroc sont a mon avis en retard en terme technique et technologique,artisanal même,au contraire des chinois qu'aucun ne peut battre dans le domaine de la sous traitance,si la fabrication est réalisée par eux sur place c'en est fini des emplois qui sont tributaires de ce se secteur d'activité.

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                        • #13
                          البنك الدولي يحذر المغرب من "صدمات اقتصادية" بسبب المديونية
                          هسبريس - أمال كنين
                          8-أكتوبر-2019 13:00
                          حمل البنك الدولي تحذيرات للبلدان السائرة في طريق النمو بشأن ارتفاع مستوى مديونيتها، بما فيها المغرب الذي قال إنه استفاد من الأداء الاقتصادي المستقر، فيما ارتفعت التدفقات به إلى 54 بالمائة، بقيمة 3 مليارات دولار، موجهة بشكل أساسي إلى قطاعي البنية التحتية والسيارات.

                          البنك الدولي، وضمن تقرير يحمل عنوان "إحصاءات الديون الدولية 2020"، أوضح أن الديون الخارجية طويلة الأمد للمملكة انتقلت من 19.242 مليون دولار عام 2008 لتصل إلى 41.469 مليون دولار عام 2017، ثم عرفت تراجعا لتصل إلى حوالي 40.803 ملايين دولار.

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                          • #14
                            البنك الدولي يحذر المغرب من "صدمات اقتصادية"
                            البنك الدولي، وضمن تقرير يحمل عنوان "إحصاءات الديون الدولية 2020"، أوضح أن الديون الخارجية طويلة الأمد للمملكة انتقلت من 19.242 مليون دولار عام 2008 لتصل إلى 41.469 مليون دولار عام 2017
                            2008-2017 : Environ 2,469 Mds USD /an

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                            • #15
                              2008-2017 : Environ 2,469 Mds USD /an
                              à partir de 2008 les taux ont beaucoup baissé à l'étranger contrairement au marché local, c'est ce qui a poussé le gvt a favorisé l'endettement exterieur. en plus de ça il ne concurrence pas les entreprises locales, surtout les PME, sur leurs accès aux financements. avant l'état et les entreprises publiques prenaient presque tout, en ne leur laissant que des miettes, ce n'est plus le cas maintenant.

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