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Face à la raréfaction de l’offre d’ingénieurs informaticiens au Maroc, il y a ceux qui subissent et n’arrivent plus à préserver leur compétitivité et il y a ceux qui cherchent des solutions…quitte à sortir des sentiers battus. Le groupe français Sopra Steria fait résolument partie de ces derniers.
Sopra Steria, un des leaders européens de la transformation digitale et de l’ingénierie des systèmes d’information, explore actuellement un projet de lancement d’une offre d’hébergement et de conciergerie pour les jeunes ingénieurs de ses différentes filiales marocaines. L’objectif est de fidéliser les nouvelles recrues de moins de 5 ans d’ancienneté (qui présentent le taux de turnover le plus élevé) en leur assurant un hébergement adapté, à loyer modéré et mitoyen à leurs sites de travail. Ce qui pourrait incarner un avantage considérable dans une ville comme Casablanca où les déplacements urbains créent un véritable stress pour les salariés et où la cherté des loyers vient éroder le pouvoir d’achat des jeunes cadres primo-accédant au marché de l’emploi… et les poussent entre autres à envisager l’exode en Europe de plus en plus facilitée par les pays d’accueil.
ertes, l’opération qui devra mobiliser plusieurs dizaines de millions de dirhams n’a pas encore obtenu le feu vert des instances dirigeantes du groupe coté à la bourse de l’Euronext Paris, mais le management local en fait un cheval de bataille pour accompagner sa forte croissance au Maroc (principalement portée par ses filiales Sopra Banking Software Morocco et Sopra HR Software) où il compte doubler d’effectif à moyen terme pour dépasser la barre de 500 salariés.
Rappelons que le groupe Sopra Steria emploie plus de 45.000 collaborateurs dans 25 pays et revendique un chiffre d’affaires consolidé de 4,1 milliards d’euros en 2018 (près de 45 milliards de dirhams).
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Sopra Steria, un des leaders européens de la transformation digitale et de l’ingénierie des systèmes d’information, explore actuellement un projet de lancement d’une offre d’hébergement et de conciergerie pour les jeunes ingénieurs de ses différentes filiales marocaines. L’objectif est de fidéliser les nouvelles recrues de moins de 5 ans d’ancienneté (qui présentent le taux de turnover le plus élevé) en leur assurant un hébergement adapté, à loyer modéré et mitoyen à leurs sites de travail. Ce qui pourrait incarner un avantage considérable dans une ville comme Casablanca où les déplacements urbains créent un véritable stress pour les salariés et où la cherté des loyers vient éroder le pouvoir d’achat des jeunes cadres primo-accédant au marché de l’emploi… et les poussent entre autres à envisager l’exode en Europe de plus en plus facilitée par les pays d’accueil.
ertes, l’opération qui devra mobiliser plusieurs dizaines de millions de dirhams n’a pas encore obtenu le feu vert des instances dirigeantes du groupe coté à la bourse de l’Euronext Paris, mais le management local en fait un cheval de bataille pour accompagner sa forte croissance au Maroc (principalement portée par ses filiales Sopra Banking Software Morocco et Sopra HR Software) où il compte doubler d’effectif à moyen terme pour dépasser la barre de 500 salariés.
Rappelons que le groupe Sopra Steria emploie plus de 45.000 collaborateurs dans 25 pays et revendique un chiffre d’affaires consolidé de 4,1 milliards d’euros en 2018 (près de 45 milliards de dirhams).
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