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Le Congrès américain s’intéresse à la situation politique en Algérie

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  • Le Congrès américain s’intéresse à la situation politique en Algérie

    Le Congrès américain s’intéresse à la situation politique en Algérie

    Une délégation du Congrès américain conduite par M. Stephen Lynch a été reçue hier, mardi 8 octobre à Alger, par le ministre des Affaires étrangères, Sabri Boukadoum, indique l’agence de presse officielle.

    Lors de l’audience, qui s’est déroulée au siège du ministère des Affaires étrangères à Alger, plusieurs questions internationales et régionales d’intérêt commun ont été au centre de l’échange entre le chef de la diplomatie algérienne et les parlementaires américains. Les relations d’ensemble entre les deux pays ont également été passées en revue à l’occasion de cette rencontre.

    L’évolution de la situation politique en Algérie a été abordée par les deux parties. Les représentants du Congrès américain s’intéressent aux récents développements de la crise algérienne et le plan des autorités pour une sortie de crise.

    La délégation parlementaire américaine est composée de parlementaires des partis républicain et démocrate, conduits par M. Stephen Lynch, membre républicain de la chambre des représentants. Cette visite rentre dans le cadre du « volet parlementaire des consultations politiques entre l’Algérie et les États-Unies ».


    Le Congrès américain saisi pour le gel des avoirs des oligarques algériens aux États-Unis
    Au mois de mai dernier, Chafik Ben Guesmia, journaliste algérien résidant aux États-Unis d’Amérique, a saisi le Congrès américain par correspondance, lui demandant le gel des avoirs douteux des oligarques algériens dans les banques américaines.

    Le journaliste a demandé au président du comité des affaires étrangères au Congrès d’étudier les mécanismes juridiques permettant de bloquer les avoirs douteux appartenant aux dignitaires du régime algérien aux USA. Il lui demande aussi de permettre la restitution à la Banque d’Algérie de l’argent dilapidé.

    Toutefois, aucune démarche dans ce sens n’a été entreprise par le comité des affaires étrangères de la Chambre des représentants des États-Unis.

    OBSERVALGERIE
    المجد والخلود للرفيق والمناضل المغربي ابراهام سرفاتي

  • #2
    Le Congrès américain s’intéresse à la situation politique en Algérie


    C'est jamais bon signe.

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    • #3
      Nos maffieux sont si en détresse qu'ils cherche tout azimut des appuis des puissances étrangères.

      Alors ils ont décider d'offrir notre sous-sol aux multinationales américaines sur un plateau d'argent, et ce, grâce à l'ignominie contenue dans la nouvelle loi sur les hydrocarbures.

      Alors, contents du cadeau que nos MAFFIEUX leur donnent, les membres du congrès américains sont venu les remercier, pour les appuyer dans leur démarche, et surtout pour les aider dans leur passage en force lors leur mascarade d'election !

      Après, nos maffieux viennent traiter tout ceux qui exige leur départ,de HARKIS qui travaillent pour les mains étrangères ! ha ha ha !

      Alors qui sont les véritables Harkis ici ?
      Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

      Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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      • #4
        C'est jamais bon signe.
        Encore moins lorsque la délégation est présidée par cet interventionniste de Lynch, qui a voté pour la guerre en Irak et plein d'autres actions en Afghanistan, Pakistan, etc.
        Fortuna nimium quem fovet, stultum facit.

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        • #5
          Le Congrès américain s’intéresse à la situation politique en Algérie
          Contre l'ingérence étrangère et on accueille une délégation américaine en quête d'ingérence dans les affaires politiques du pays. Waw la cohérence !
          La guerre c'est le massacre entre gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent mais qui ne se massacrent pas.

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          • #6
            Azul, bonjour, salam,


            Est ce que quelqu un a la liste complete des representants americains qui ont visite' Alger?


            Merci.


            M
            Lu-legh-d d'aq-vayli, d-ragh d'aq-vayli, a-d'em-tegh d'aq-vayli.

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            • #7
              Congressman Stephen Lynch is going to hear from me soon. He will be briefed about the Algerian Hirak if the ambassador failed to do that.
              Align American interests with the American principles of the founding fathers.



              M.
              Lu-legh-d d'aq-vayli, d-ragh d'aq-vayli, a-d'em-tegh d'aq-vayli.

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              • #8
                On s'en fout des ricains. Les algériens doivent avoir leur destin en main. L'Algérie n'est pas Israel.

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                • #9
                  Encore moins lorsque la délégation est présidée par cet interventionniste de Lynch, qui a voté pour la guerre en Irak et plein d'autres actions en Afghanistan, Pakistan, etc.
                  C’est des gens intelligents, ils planifient sur le long terme, ils sont patients et persévérants, ils exécutent leurs plans et ils arrivent toujours à atteindre leurs objectifs.

                  Lorsqu’ils avaient dit que l’Algérie sera le pays qui suivra la Syrie après la Lybie, ce n’était pas des paroles de circonstances. En politique ces gens-là n’ont pas d’émotions, ils ont des plans et ils les exécutent toujours.

                  La situation actuelle de l’Algérie est très inquiétante, la division du peuple entre les pros et les anti-élections, les attaques virulentes des uns contre les autres et la stigmatisation des uns et des autres ne peut mener à moyen terme qu’a l’affrontement. Les américains, le makhzen, les français, les sionistes à travers leurs agents ne vont pas rester les mains croisées et attendre que l’Algérie regèle tous ses problèmes internes pour revenir plus forte.

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                  • #10
                    La situation actuelle de l’Algérie est très inquiétante, la division du peuple entre les pros et les anti-élections, les attaques virulentes des uns contre les autres et la stigmatisation des uns et des autres ne peut mener à moyen terme qu’a l’affrontement. Les américains, le makhzen, les français, les sionistes à travers leurs agents ne vont pas rester les mains croisées et attendre que l’Algérie regèle tous ses problèmes internes pour revenir plus forte.


                    Et c'est quoi l'action de ces forces obscures..

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                    • #11
                      Envoyé par 30pourcent
                      On s'en fout des ricains. Les algériens doivent avoir leur destin en main.
                      Moi ce que font les Americains vis a vis de l Algerie m interesse enormement.
                      Think globally and act locally.

                      Je presume que tu es sur place. Moi pas. De ton cote', tu t assures que tu participes au hirak sur place. De mon cote', je participe sur place, ici, comme je suis dans le meme etat que ce representant. Innahu ad'3afu l-mussanadate (a defaut de l-i-man).


                      que chacun apporte sa petite pierre a la fondation de cette Algerie nouvelle a laquelle nous aspirons tous/toutes.


                      Qu il m ecoute, importe peu. Toujours est il que s il est en contact avec Boukadoum, cela lui travaillera les meninges... sinon je lui rappelerai ses deboires du temps ou il etait representant local :-).


                      Do your work man... I'll do mine.


                      amicalement... comme dirait l autre.


                      M.
                      Lu-legh-d d'aq-vayli, d-ragh d'aq-vayli, a-d'em-tegh d'aq-vayli.

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                      • #12
                        Que les mickeys (MikiZ) s'occupent de leurs pbs.
                        Dernière modification par 30pourCent, 13 octobre 2019, 04h11.

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                        • #13
                          Et c'est quoi l'action de ces forces obscures..
                          Même si leurs actions ne sont pas toutes toujours visibles aux communs des citoyens, les conséquences de leurs actions seront non seulement visibles mais vécus par toute la population. Il y a plus qu’un pays qui est passé par leurs planification, ils ont vécu tous a quelques variantes près les mêmes étapes.

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                          • #14
                            Ahhh ce besoin de clamer son destin entre des mains exterieures. pour finalement justifier sa médiocrité et sa paresse.

                            Commentaire


                            • #15
                              Political Crisis Deepens as Presidential Election Looms in Algeria
                              Publication: Terrorism Monitor Volume: 17 Issue: 19
                              By: Hakim Briki
                              October 4, 2019 06:53 PM Age: 1 week


                              People carry national flags during a protest against the appointment of interim president, Abdelkader Bensalah demanding radical changes to the political system in Algiers, Algeria April 10, 2019. REUTERS/Ramzi Boudina
                              Eight months after the start of the anti-government protests in Algeria, the popular movement known as Hirak (the movement) is seeking to step up its actions. The standoff between Hirak and the regime is reaching an unprecedented climax. After Army Chief-of-Staff General Ahmed Gaid Salah imposed a crackdown on political activists and opposition members, arresting hundreds since February, Hirak has hardened its position against the military command, and vividly voiced its rejection of the upcoming presidential election.

                              The gap between the people and the regime has grown significantly since the resignation of Abdelaziz Bouteflika last April. Despite the imprisonment of various former government officials for corruption and conspiracy against the state and the promise of deep political reforms, protesters continue to demand the removal of remnants of the Bouteflika regime and denounce a military power grab (TSA-Algerie, April 6). General Ahmed Gaid Salah, who was once considered a savior for pushing the former president out of office, has become the main target of the popular movement and is widely seen as the obstacle to a better future. The general has repeatedly tried to break the momentum of Hirak since the summer season. The army chief banned the Amazigh flag during the protests and ordered the arrest of those carrying them, triggering outrage among the Berber community (Elwatan, June 16). In September, he blockaded the entire capital in an effort to curtail protest turnout after stating that obscure parties were seeking to destabilize the country. Most recently, he ordered the arrest of opposition leaders, including two of the main Hirak figures, Karim Tabbou and Samir Benlarbi for “undermining the army’s morale” and “inciting riots” (Liberte Algerie, September 18).

                              The most unexpected move that the army chief has made, however, remains the large-scale reshuffling of the military and police, which has allowed him to install loyal officers in high-ranking positions (Algerie Toute Heure, September 10). This signals fears of a possible overthrow attempt, amid growing reports of dissensions within the military (L’Obs, September 8). The army chief-of-staff’s relationship with Interim President Abdelkader Bensalah has been worsening in recent months, due to political disagreements. The former has reportedly refused to sign a decree submitted to him by the Ministry of Defense to give more power to Gaid Salah (Algerie Part, September 2).

                              The political crisis has fueled social unrest at the local level. Emboldened by Hirak, populations across Algeria have been denouncing poor living conditions, unemployment, and infrastructure problems in uncoordinated protests which have led to road closures, strikes, and the shutting down of government buildings. An uptick in illegal immigration toward Europe via the Mediterranean Sea also shows that Algerian youths are losing faith in deep and meaningful change (Elwatan, September 30).

                              Hirak protesters and leaders are seeking to send strong signals to the army chief-of-staff and the interim president about the boycott of the presidential election. The protesters believe that, under the current circumstances, a transparent and legitimate election cannot be guaranteed. Interim President Bensalah and General Gaid Salah are however adamant that holding the election before year-end is the only way out of the crisis. Hirak has flatly rejected the election schedule, and more than 100 elected officials refused to take part in the election process in Tizi Ouzou, Bejaia and Algiers, among other provinces. In addition to fears of election fraud, the lack of fresh blood in the political arena is a major concern. Former Prime Ministers (PM) Abelmadjid Tebboune and Ali Benflis, both of whom served under Abdelaziz Bouteflika, maybe the most recognizable candidates, but they have failed to rally enough support among voters to be considered major contenders. A large number of opposition parties have refused to take part in the election. The Alternative Democratic Forces (FAD), a coalition of opposition parties, human rights groups and other NGOs, recently came out against holding the election, which they claim are being “shoved down the throats” of the Algerian people. AFD called for a longer transition period, governed by a constituent assembly (APS, September 9).

                              In this respect, the forthcoming election has heightened the likelihood of civil disobedience. While the protests have been mainly peaceful since February 22, Hirak members are now pondering joining strike actions. Twelve independent trade unions announced a plan to launch nationwide strikes and sit-ins to oppose the elections. Such actions would paralyze many sectors, including education, public administration, trade, healthcare, and construction. This would further incapacitate an already struggling economy, at a time when the government is seriously considering foreign financial help for the first time in more than a decade.

                              The crisis will persist in Algeria in the near to mid-term, and it will likely worsen before the upcoming presidential election, as Hirak and the authorities seem unwilling to make compromises. The popular movement will strive to give young civilians greater access to governance, so as to rekindle hope in the Algerian youth, and pave the way for deep political, social, and economic reforms. Despite the peaceful aim of the protest movement, strategic miscalculations or responses by the military as well as hostile groups’ efforts to hijack the movement leaves Algeria in a combustible and precarious position

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