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Un journaliste sahraoui a été condamné, mercredi, à six ans de prison par la Cour d'appel de Laâyoune pour avoir participé à des altercations avec la police marocaine. Walid Salek Batal, connu pour ses positions proches de la thèse séparatiste, a été accusé de «franchir des barrages routiers, outrage à des agents publics et possession d'armes», a déclaré son avocat, Lahbib Rguibi à l’agence espagnole EFE.
L'avocat a expliqué que Walid Salek Batal avait été arrêté à Smara en avril dernier après une «altercation avec la police qui avait établi une clôture autour du domicile d'un activiste sahraoui». Les autorités voulaient «empêcher les militants sahraouis de commettre des actes répréhensibles après la sortie de prison du militant», explique-t-il.
Batal a également été accusé d'avoir participé à des manifestations nocturnes à Smara en mars 2018, qui ont dégénéré en émeutes. Lors de son procès, Batal a «dénoncé les mauvais traitements infligés par la police lors des manifestations et son arrestation, tout en niant toutes les accusations qui lui sont adressées», a ajouté son avocat.
En septembre dernier, neuf sahraouis pro-Polisario ont été condamnés à une peine d'emprisonnement de un à deux ans et demi par un tribunal à Laâyoune pour leur implication dans des émeutes enregistrées en juillet dernier.
Y.Biladi.ma
L'avocat a expliqué que Walid Salek Batal avait été arrêté à Smara en avril dernier après une «altercation avec la police qui avait établi une clôture autour du domicile d'un activiste sahraoui». Les autorités voulaient «empêcher les militants sahraouis de commettre des actes répréhensibles après la sortie de prison du militant», explique-t-il.
Batal a également été accusé d'avoir participé à des manifestations nocturnes à Smara en mars 2018, qui ont dégénéré en émeutes. Lors de son procès, Batal a «dénoncé les mauvais traitements infligés par la police lors des manifestations et son arrestation, tout en niant toutes les accusations qui lui sont adressées», a ajouté son avocat.
En septembre dernier, neuf sahraouis pro-Polisario ont été condamnés à une peine d'emprisonnement de un à deux ans et demi par un tribunal à Laâyoune pour leur implication dans des émeutes enregistrées en juillet dernier.
Y.Biladi.ma
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