ALGER, 10 octobre (Reuters) - La Banque mondiale a annoncé jeudi qu'elle prévoyait une croissance de l'économie algérienne de 1,3% cette année, contre 1,5% en 2018 et moins que la prévision du gouvernement de 2,6%, en raison de "l'incertitude politique".
La crise politique qui a suivi les manifestations de masse a nui à l’économie du pays membre de l’OPEP, fortement tributaire du pétrole et du gaz.
"Les retards dans la sortie de l'impasse politique et l'incertitude politique pourraient nuire davantage à l'économie du pays", a déclaré la banque dans une note de pays, incluse dans sa mise à jour économique régionale.
«L'évolution de la situation politique devant influer sur l'activité économique, il est également prévu que davantage de ressources seront consacrées aux mesures sociales, au détriment des dépenses d'investissement public».
L'Algérie prévoit de réduire les dépenses publiques de 9,2% et de maintenir la politique de subventions inchangée en 2020, tout en recherchant des emprunts extérieurs pour financer des projets économiques et faire face à la pression exercée sur les finances publiques.
La crise politique qui a suivi les manifestations de masse a nui à l’économie du pays membre de l’OPEP, fortement tributaire du pétrole et du gaz.
"Les retards dans la sortie de l'impasse politique et l'incertitude politique pourraient nuire davantage à l'économie du pays", a déclaré la banque dans une note de pays, incluse dans sa mise à jour économique régionale.
«L'évolution de la situation politique devant influer sur l'activité économique, il est également prévu que davantage de ressources seront consacrées aux mesures sociales, au détriment des dépenses d'investissement public».
L'Algérie prévoit de réduire les dépenses publiques de 9,2% et de maintenir la politique de subventions inchangée en 2020, tout en recherchant des emprunts extérieurs pour financer des projets économiques et faire face à la pression exercée sur les finances publiques.
Commentaire