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salam
Les véhicules de transport routier qui quittent le Maroc sont pris d’assaut par de jeunes Marocains qui tentent de s’y accrocher pour se rendre à Melilla. L’objectif est de franchir la frontière de Beni Enzar pour se retrouver enfin en Espagne.
La scène qu’offrent ces jeunes enfants marocains candidats à l’immigration clandestine est pathétique.
Surtout avec la fin de l’été qui connaît le retour des vacanciers et d’autres touristes, on note une recrudescence de ces actes d’incivisme dont les conséquences sont incalculables, indique El periodico.
La scène la plus dangereuse de ces derniers jours s’est déroulée le mardi 8 octobre à Nador, la ville marocaine voisine de Melilla.
Ainsi, plusieurs mineurs ont tenté de s’agripper à la remorque d’un camion de la société espagnole, J.Cuenca, qui essaie d’avancer pour rejoindre la ville autonome avec sa cargaison.
Cependant, le chauffeur est empêché de poursuivre son trajet à cause des dizaines de mineurs non accompagnés qui cherchent désespérément une place au niveau des espaces entre les roues, dans le moteur ou même sous la remorque.
Souvent dépassés par les événements, les chauffeurs n’utilisent, pour toute action de dissuasion, que leurs klaxons, en espérant que les enfants renoncent à leurs tentatives, surtout que, généralement, les policiers marocains n’interviennent pas.
bladi
Les véhicules de transport routier qui quittent le Maroc sont pris d’assaut par de jeunes Marocains qui tentent de s’y accrocher pour se rendre à Melilla. L’objectif est de franchir la frontière de Beni Enzar pour se retrouver enfin en Espagne.
La scène qu’offrent ces jeunes enfants marocains candidats à l’immigration clandestine est pathétique.
Surtout avec la fin de l’été qui connaît le retour des vacanciers et d’autres touristes, on note une recrudescence de ces actes d’incivisme dont les conséquences sont incalculables, indique El periodico.
La scène la plus dangereuse de ces derniers jours s’est déroulée le mardi 8 octobre à Nador, la ville marocaine voisine de Melilla.
Ainsi, plusieurs mineurs ont tenté de s’agripper à la remorque d’un camion de la société espagnole, J.Cuenca, qui essaie d’avancer pour rejoindre la ville autonome avec sa cargaison.
Cependant, le chauffeur est empêché de poursuivre son trajet à cause des dizaines de mineurs non accompagnés qui cherchent désespérément une place au niveau des espaces entre les roues, dans le moteur ou même sous la remorque.
Souvent dépassés par les événements, les chauffeurs n’utilisent, pour toute action de dissuasion, que leurs klaxons, en espérant que les enfants renoncent à leurs tentatives, surtout que, généralement, les policiers marocains n’interviennent pas.
bladi