salam
Selon un rapport de la Banque mondiale, la croissance économique au Maroc ne dépassera pas 2,7% en 2019 et cette baisse de croissance affectera le bien-être et le revenu des familles, notant que jusqu'à 9 millions de Marocains peuvent être considérés comme pauvres ou menacés de pauvreté.
Selon le dernier rapport de la Banque sur le suivi de la situation économique, le secteur agricole a contribué à la volatilité du taux de croissance de l'économie marocaine, tandis que les autres secteurs ont enregistré une reprise modeste et que la contribution des exportations nettes restera négative, ce qui se répercutera sur la compétitivité des exportations.
Les retards dans la mise en œuvre de réformes structurelles et financières majeures pourraient saper les opportunités de croissance et augmenter les tensions sociales au Maroc, a déclaré la banque.
Des risques tels que les effets du changement climatique sur le secteur agricole, l'augmentation de la demande sociale de main-d'œuvre, les déficits commerciaux persistants, les prix élevés du pétrole et la volatilité des prix des produits de base pourraient avoir un impact négatif sur l'économie marocaine et affecter les revenus des ménages, en particulier ceux sur les seuils, a indiqué la banque. Seuil de pauvreté.
Selon la banque, alors que le revenu quotidien par habitant était de 5,5 dollars, 9 millions de Marocains sont pauvres ou menacés de pauvreté, soit 24% de la population.
La Banque a noté que ce qui sera réalisé au niveau de la réduction de la pauvreté au Maroc sera modeste compte tenu des faibles perspectives de croissance de l’économie marocaine et que le PIB par habitant continuera de baisser.
La Banque mondiale a appelé le Maroc à entreprendre des réformes durables, notamment en maintenant la discipline budgétaire, en augmentant les recettes fiscales, en améliorant la gouvernance et en assouplissant les taux de change.
lakome
Selon un rapport de la Banque mondiale, la croissance économique au Maroc ne dépassera pas 2,7% en 2019 et cette baisse de croissance affectera le bien-être et le revenu des familles, notant que jusqu'à 9 millions de Marocains peuvent être considérés comme pauvres ou menacés de pauvreté.
Selon le dernier rapport de la Banque sur le suivi de la situation économique, le secteur agricole a contribué à la volatilité du taux de croissance de l'économie marocaine, tandis que les autres secteurs ont enregistré une reprise modeste et que la contribution des exportations nettes restera négative, ce qui se répercutera sur la compétitivité des exportations.
Les retards dans la mise en œuvre de réformes structurelles et financières majeures pourraient saper les opportunités de croissance et augmenter les tensions sociales au Maroc, a déclaré la banque.
Des risques tels que les effets du changement climatique sur le secteur agricole, l'augmentation de la demande sociale de main-d'œuvre, les déficits commerciaux persistants, les prix élevés du pétrole et la volatilité des prix des produits de base pourraient avoir un impact négatif sur l'économie marocaine et affecter les revenus des ménages, en particulier ceux sur les seuils, a indiqué la banque. Seuil de pauvreté.
Selon la banque, alors que le revenu quotidien par habitant était de 5,5 dollars, 9 millions de Marocains sont pauvres ou menacés de pauvreté, soit 24% de la population.
La Banque a noté que ce qui sera réalisé au niveau de la réduction de la pauvreté au Maroc sera modeste compte tenu des faibles perspectives de croissance de l’économie marocaine et que le PIB par habitant continuera de baisser.
La Banque mondiale a appelé le Maroc à entreprendre des réformes durables, notamment en maintenant la discipline budgétaire, en augmentant les recettes fiscales, en améliorant la gouvernance et en assouplissant les taux de change.
lakome
Commentaire