3 octobre 20197730
Le candidat à la prochaine présidentielle du 12 décembre prochain Abdelmadjid Tebboune, gagne de plus en plus de points face à ses concurrents et adversaires pour cette décisive échéance déterminant le devenir du pays, avant même la validation des candidatures et l’entame de la campagne électorale.
Une semaine après le retrait des formulaires pour la collecte des signatures, indispensable pour la validation des candidatures, Abdelmadjid Tebboune se voit propulsé au-devant de la scène politique nationale par ses adversaires, en s’attaquant immoralement à sa personne et son fils accusé dans une affaire de foncier, en relation avec le principal accusé des 701 kg de cocaïne. Ali Benflis a été le premier à commettre l’erreur de considérer la candidature de Tebboune, comme un cinquième mandat, non déclaré, sachant qu’Ali Benflis, ancien directeur de campagne de Bouteflika, ancien chef de gouvernement, avait été l’un des premiers qui cautionnera le cinquième mandat, en participant à la présidentielle de 2014, ouvrant la voie à Bouteflika de briguer un quatrième mandat, sans faire de campagne, tout en demeurant collé à son fauteuil roulant. Ali Benflis n’est pas le seul à rouler pour ses arguments débiles, puisqu’il est rejoint par Abdallah Djaballah et Abderrazek Makri, annonçaient leur retrait de cette échéance, confirmant leur appartenance à la bande et ses acolytes qui s’activent pour pérenniser la crise que vit le pays. Malgré toutes les garanties accordées, dans le cadre constitutionnel, via la création d’une autorité nationale indépendante des élections, et l’engagement de l’ANP, à ne cautionner aucun candidat, ces pleurnichards de la politique continuent de véhiculer les mots-clés de la suspicion chez l’algérien pour maintenir leur présence, et sauvegarder leurs intérêts.
Ces politicards se font rejoindre par le sulfureux journaliste et agent du Makhzen, Nicolas Beau, qui entre en jeu, en « accusant » Tebboune d’être l’ami des militaires. Pour ces plumes et voix prêtées du néocolonialisme, jouir d’une bonne réputation chez l’ANP est considérée comme une accusation. Sur ce registre, il faut bien marteler, que l’ANP, héritière de l’ALN, est l’unique armée au monde, qui défend crânement la constitution et ne cesse d’appeler à la tenue d’élections, à l’inverse des juntes militaires de d’autres pays qui préfèrent garder pour de longues durées les transitions. Il suffit de revenir à deux ou trois années pour constater les accointances de Nicolas Beau, avec certains propagandistes et escrocs, utilisant les tribunes des journaux, pour assouvir leurs délits, comme le chantage, et l’extorsion de fonds comme c’est le cas pour Abdou Semmar, alias Louise Dimitrakis, qui signait des articles chez le média Mondafrique, dirigé par Beau, qui n’a rien de beau, lorsqu’il s’agit de l’Algérie.
Zakaria Habibi
algerietouteheure
Le candidat à la prochaine présidentielle du 12 décembre prochain Abdelmadjid Tebboune, gagne de plus en plus de points face à ses concurrents et adversaires pour cette décisive échéance déterminant le devenir du pays, avant même la validation des candidatures et l’entame de la campagne électorale.
Une semaine après le retrait des formulaires pour la collecte des signatures, indispensable pour la validation des candidatures, Abdelmadjid Tebboune se voit propulsé au-devant de la scène politique nationale par ses adversaires, en s’attaquant immoralement à sa personne et son fils accusé dans une affaire de foncier, en relation avec le principal accusé des 701 kg de cocaïne. Ali Benflis a été le premier à commettre l’erreur de considérer la candidature de Tebboune, comme un cinquième mandat, non déclaré, sachant qu’Ali Benflis, ancien directeur de campagne de Bouteflika, ancien chef de gouvernement, avait été l’un des premiers qui cautionnera le cinquième mandat, en participant à la présidentielle de 2014, ouvrant la voie à Bouteflika de briguer un quatrième mandat, sans faire de campagne, tout en demeurant collé à son fauteuil roulant. Ali Benflis n’est pas le seul à rouler pour ses arguments débiles, puisqu’il est rejoint par Abdallah Djaballah et Abderrazek Makri, annonçaient leur retrait de cette échéance, confirmant leur appartenance à la bande et ses acolytes qui s’activent pour pérenniser la crise que vit le pays. Malgré toutes les garanties accordées, dans le cadre constitutionnel, via la création d’une autorité nationale indépendante des élections, et l’engagement de l’ANP, à ne cautionner aucun candidat, ces pleurnichards de la politique continuent de véhiculer les mots-clés de la suspicion chez l’algérien pour maintenir leur présence, et sauvegarder leurs intérêts.
Ces politicards se font rejoindre par le sulfureux journaliste et agent du Makhzen, Nicolas Beau, qui entre en jeu, en « accusant » Tebboune d’être l’ami des militaires. Pour ces plumes et voix prêtées du néocolonialisme, jouir d’une bonne réputation chez l’ANP est considérée comme une accusation. Sur ce registre, il faut bien marteler, que l’ANP, héritière de l’ALN, est l’unique armée au monde, qui défend crânement la constitution et ne cesse d’appeler à la tenue d’élections, à l’inverse des juntes militaires de d’autres pays qui préfèrent garder pour de longues durées les transitions. Il suffit de revenir à deux ou trois années pour constater les accointances de Nicolas Beau, avec certains propagandistes et escrocs, utilisant les tribunes des journaux, pour assouvir leurs délits, comme le chantage, et l’extorsion de fonds comme c’est le cas pour Abdou Semmar, alias Louise Dimitrakis, qui signait des articles chez le média Mondafrique, dirigé par Beau, qui n’a rien de beau, lorsqu’il s’agit de l’Algérie.
Zakaria Habibi
algerietouteheure
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