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près huit mois de mobilisation contre le système “Hirak”- pouvoir : le bras de fer se poursuit

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  • près huit mois de mobilisation contre le système “Hirak”- pouvoir : le bras de fer se poursuit

    Au trente-cinquième vendredi de mobilisation populaire, le pouvoir et le mouvement citoyen campent sur leurs positions.

    Alors que le pouvoir a tout fait pour annihiler ou du moins réduire la mobilisation populaire, les Algériens sont sortis en masse, une nouvelle fois, pour formuler les mêmes revendications. Il est vrai que les slogans changent d’une semaine à une autre et sont souvent adaptés à l’actualité. C’est le cas de ces deux dernières semaines où les manifestants ont intégré le retrait de l’avant-projet de loi sur les hydrocarbures à leurs revendications.
    La libération des détenus politiques et d’opinion fait également partie des exigences du moment. Mais cela n’a rien changé à la donne. L’apparition de nouvelles demandes n’a pourtant pas fait oublier aux Algériens les deux principales revendications, que sont le départ de tous les symboles du système et le refus d’accepter la tenue de l’élection présidentielle qui, dans les conditions actuelles, est perçue comme un moyen de permettre au système de se régénérer.
    Ni la répression, ni l’emprisonnement d’animateurs du mouvement populaire, ni encore moins de figures politiques de l’opposition n’ont réussi à faire reculer la mobilisation populaire. La détermination des manifestants reste intacte et rien ne semble avoir ébranlé la conviction des centaines de milliers d’Algériens qui manifestent les mardis et vendredis. Cela se voit à travers la mobilisation, mais également par les slogans qui sont scandés ou portés sur des banderoles.
    En face, le pouvoir continue de faire la sourde oreille. Il veut, à tout prix, organiser une élection présidentielle que tout le monde sait pourtant comme une voie sans issue. L’Autorité nationale indépendante des élections (Anie) continue de faire comme si le pays vivait dans une situation normale. Comme seul appui visible à cette entité, le chef d’état-major de l’armée continue sa tournée des régions militaires pour plaider la poursuite du processus électoral.
    Si l’Anie avait enregistré, jusqu’à jeudi, plus de 140 candidats à la candidature, la scène politique sent plus la poussière des manifestations que le bruit des meetings de campagne électorale. À moins de deux mois de la date du scrutin, rien, dans l’ambiance générale, ne laisse penser que le pays s’apprête à connaître des élections. Pis encore, même les inscriptions sur les listes électorales n’ont pas attiré grand monde, ce qui a poussé l’Anie à prolonger d’une semaine les délais réglementaires fixés initialement.
    Pour tenter de briser l’embarras dans lequel il s’est mis, les rares soutiens publics dont bénéficie l’élection présidentielle du 12 décembre tentent la riposte. Ils essaient, depuis quelques jours, des manifestations et rassemblements en faveur de la présidentielle et pour “la sauvegarde de la stabilité du pays”. Le problème est que, jusque-là, ces manifestations tournent au fiasco et, ne drainant que très peu de monde, suscitent plutôt des sarcasmes sur les réseaux sociaux.
    Alors que le mouvement populaire atteindra, ce mardi, son huitième mois de mobilisation, les deux protagonistes continuent de suivre chacun sa ligne, évoluant comme sur deux droites parallèles qui ne sont pas près de se rencontrer. À moins d’un spectaculaire revirement de situation dont on ne voit pas encore les signes avant-coureurs.

    source: Liberté

  • #2
    Avec des œillères, EL GAID et ses sbires continuent leur marche forcée,

    tout droit contre le mur populaire !


    Le choc sera rude.
    Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

    Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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    • #3
      Les mafieux du cartel ANP/FLN avaient non seulement soutenus avec ferveur le 5e mandat illégal et scandaleux du mafieux zombie Bouteflika, mais pire encore, ils avaient diabolisés les Algériens opposés à ce 5e mandat en les accusant d'être des ennemis de l'Algérie et une menace à la sécurité nationale. Dès la 1ère manifestation du Hirak en février, le mafieux crapuleux Gaid Salah par exemple avait diabolisé les manifestants en les traitant de "ennemis de l'Algérie".

      Il n'est donc malheureusement pas surprenant que les mafieux du cartel ANP/FLN, à commencer par le gros porc mafieux Gaid Salah, persistent depuis février à diviser les Algériens et à tenter d'étouffer le Hirak à coup de répression et toutes sortes de bassesses politiciennes, judiciaires, médiatiques...etc.

      Le régime mafieux du cartel ANP/FLN est si pourri et si dépravé qu'il était littéralement prêt à offrir un 5e mandat à un zombie qui était inapte à être président depuis 2013. Ces mafieux du cartel ANP/FLN ont trainé l'Algérie dans la boue et ont fait d'elle une risée du monde dirigée par un zombie mais ils ont l'audace de donner des leçons de patriotisme aux Algériens. Ces mafieux n'ont ni dignité ni honte.

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      • #4
        Ces mafieux n'ont ni dignité ni honte.

        Et pourtant, ICI ils ont leurs supportaires!
        Toutes les fleurs de l'avenir sont dans les semences d'aujourd'hui.

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        • #5
          Et pourtant, ICI ils ont leurs supportaires!
          ICI et LA-BAS... chez nous!

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